végéta*isme ; abattoirs, prédation = HéCATOMBE, HOLOCAUSTE, éCOCIDE, PLANéTICIDE, DéICIDE, MOLOCH-BAAL, ENFER ; je suis embauché dans une entreprise qui vend notamment des fruits et légumes _ « "ETHIQUE ET PROGRES" (2023)

Monsieur le Président de la République Française,

J’ACCUSE le système politique (législatif, exécutif, et judiciaire) d’être défaillant, et de condamner des victimes certainement innocentes et potentiellement innocentes.

J’ACCUSE l’État français d’être responsable et coupable de crime contre le règne animal. Les vidéos du site L214 montre en caméra caché les conditions d’élevages et d’abatage des animaux, dans les pires souffrances, y compris en France, y compris lorsque la production est dite biologique, y compris récemment, et de manière omniprésente. De nombreux fonctionnaires sont complices de ce génocide, de cet holocauste, de la même manière qu’une grande partie des fonctionnaires de Vichy étaient complices de l’holocauste commis par les nazis contre les juifs et contre les autres peuples nomades et semi-nomades, lors de la seconde guerre mondiale. Selon Wikipédia, la signification étymologique et originelle du terme «holocauste», c’est le sacrifice d’un animal par le feu, qui était pratiqué par la tradition israëlite (jusqu’à ce que Moïse s’y oppose), et par la tradition grecque. Sa signification s’est ensuite élargie pour désigner le génocide contre les juifs lors de la Seconde Guerre Mondiale (1939\1945). En effet, l’anti-racisme est indissociable de l’antispécisme, car le spécisme est une forme de racisme. Le spécisme consiste à considérer une espèce (généralement la sienne) comme supérieure aux autres espèces; il s’agit d’espèces animales (dont l’humanité). Maltraiter un humain pour sa couleur de peau est aussi grave que de maltraiter un animal sous-prétexte qu’il a un forme différente de celle des humains. Maltraiter un animal pour sa conscience supposée réduite et pour son intelligence supposé réduite, c’est aussi grave que de maltraiter un humain autiste ou trisomique sous-prétexte que son intelligence et que sa conscience sont réduites.

J’ACCUSE l’élevage (même artisanal), d’être l’un des principaux responsables des gaz à effet de serre, et de la destruction de la couche d’ozone. Les excréments des vaches produisent des quantités énormes de méthane. Les scientifiques prévoient pour les décennies à venir une augmentation moyenne de la température mondiale de 5°C (voire davantage), si on ne modifie pas à temps et drastiquement notre mode de vie. Dans les décennies à venir, il pourrait y avoir des pics de température dépassant les 50°C en France, l’été; ainsi que des feux de forêt à répétition. Si tous les terriens consommaient autant de ressources que les français, il faudrait plusieurs planètes. Il reste très peu de temps devant nous pour changer RADICALEMENT notre mode de vie, sinon la planète deviendra invivable pour l’espèce humaine. Le risque que la Terre devienne comme Mars ou comme la lune, ce risque est hélas réel, même s’il est moindre. Pour des raisons écologiques, et de santé humaine, et éthiques, la quantité optimale de chair animale est de zéro. La chair animale est davantage cancérigène que la cigarette. Les poissons sont plein de métaux lourds, et moins bons pour la santé que les algues comestibles, lorsqu’ils vivent dans des conditions équivalentes. Les poissons consomment davantage d’eau que les algues, donc les algues ont aussi l’avantage sur les poissons en terme d’écologie. Une partie de l’industrie du business carniste dénonce l’insanité du business carniste. Le rapport Campbell (dont l’auteur travaillait dans le business carniste avant de devenir adepte de la cause animale), il prouve que le chair animale est mauvaise pour la santé même en quantité dite «modérée», et qu’en quantité infime elle aura au mieux une fonction neutre sur la santé humaine. Il présente des centaines de références et études scientifiques. Il précise que les protéines d’origine végétale ne sont pas cancérigènes. Malgré ce qui est dit par les détracteurs contre le Rapport Campbell, les protéines d’origine végétale et bactérienne peuvent combattre l’anémie. Pour que le risque de carence soit proche de zéro, y compris pour les espèces animales dîtes carnivores, le binum (végétaux\algues) est suffisant, ou le binum (végétaux\bactéries) est suffisant. Il suffit de mettre du fumier d’excréments (même d’humains) dans une parcelle de terre pour que les bactéries nutritives s’y développent à toute vitesse. Les protéines, les bactéries, le fer, le calcium, la taurine, la vraie vitamine B12 bio-disponible, les phyto-stérols (équivalent du cholestérol) et les autres nutriments… ne peuvent pas manquer si la végétation est diversifiée et riche en bactéries. Si tout le monde était végéta_ien, la faim dans le monde disparaîtrait, et une grande partie des guerres disparaîtrait, et maintes forêts renaîtraient. Lorsqu’ un humain qui consomme des animaux ayant consommé des végétaux, cela demande en moyenne une surface de terre 9 fois plus grande qu’un humain consommant directement des végétaux.

J’ACCUSE la plupart des prétendus refuges prétendument véganes pour animaux (sauf peut-être une minorité), d’être des simulacres, et de faire du commerce de viande pour chiens et chats et pour furets, et de faire du commerce d’animaux. C’est un business très lucratif. La plupart des membre de cette égrégore est responsable et coupable des mêmes horreurs que l’industrie de la viande conventionnelle. Cette égrégore est majoritairement constituée de gens racistes, homophobes, et pour le Front-National. Beaucoup sont corrompus par la Chine pour blâmer le Mahatma Gandhi et le 14ème Dalaï-Lama. Le gouvernement chinois, maoïste-spontex (maoïste-pontané), prend progressivement le contrôle d’Internet, et des médias du monde entier, pour corrompre certains journalistes (même en France). Il envoie des pseudo-pro-shougden infiltrer le bouddhisme, pour tenter de le détruire de l’intérieur. Le Tibet a presque disparu. Le gouvernement chinois n’est pas le seul à tenter de prendre le contrôle de l’information, mais la liste serait trop longue à citer.

J’ACCUSE le personnage imaginaire (Magic Jack) d’être hypocrite. Présent dans Internet dans les vidéos youtube, Magic Jack est un dieux jaloux qui souhaite la mort des banquiers. Magic Jack prône la haine envers toute forme de religion ou de spiritualité. Le moine bouddhiste végétaLien Matthieu RICARD (félicité par l’association végane L214) est un contre-exemple de la propagande haineuse et mensongère commise par Magic Jack. Le gendarme chrétien Arnaud Beltrame, qui avait sauvée une otage, puis qui s’était sacrifié pour sauver une autre otage, est un autre contre-exemple. Bouddha est aussi un contre-exemple car il avait interdit d’une manière générale la consommation de chair animale; les bouddhistes du grand véhicule ne font aucune exception à la règle et représentent un peu + que 50% des bouddhistes; la minorité de bouddhiste qui consomme encore de la chair animale est flexitarienne en conversion progressive vers le végéta_isme. Une grande partie des complices réels de Magic Jack font de la diffamation mensongère sur le 14ème Dalaï-Lama et sur le Mahatma Gandhi. D’ailleurs, Adolphe HITLER était un athée. C’est au nom de l’environnement et au nom de la cause animale qu’Adolphe HITLER a commis un génocide contre les peuples nomades et semi-nomades (dont les juifs).

J’ACCUSE le système judiciaire d’être défaillant, et d’avoir condamné sans preuve Tariq RAMADAN, malgré quelques lacunes dans l’enquête. J’emprunte le terme «J’accuse» à Émile ZOLA qui savait qu’Alfred DREYFUS était un innocent condamné à cause de ses origines juives. Le terme «J’accuse» a été repris pas Michel COLLON («adversaire» de Caroline FOUREST), qui est un spécialiste dénonçant les mensonges médiatiques depuis plusieurs décennies, et ayant fait au moins une (si ce n’est pas plusieurs) conférence avec Tariq RAMADAN. Je ne peux pas affirmer que Tariq RAMADAN est innocent, car je risquerais de me tromper. Ceci dit… lors de sa vie publique en liberté, le maire d’une commune a utilisé tout son pouvoir pour l’empêcher de s’exprimer. Malgré cela, Tariq RAMADAN a écrit un livre intitulé «Le génie de l’islam». Ce livre explique que le prophète Mahomet était pacifiste et tolérant. Mahomet détestait que les humains fassent souffrir les animaux. Mahomet détestait la violence en dehors du cadre strict de la légitime défense, il combattait uniquement les agresseurs mais pas leur famille, il interrompait la riposte (proportionnelle à l’attaque) dès que l’attaque cessait, il épargnait régulièrement ses ennemis, il tolérait les différentes religions et appréciait les chrétiens. Par ailleurs, Tariq RAMADAN s’est publiquement opposé à la lapidation, en expliquant comment convaincre un musulman de ne pas pratiquer la lapidation. Les trois questions respectives à poser sont «Que disent les textes?» (du coran), puis «Comment interpréter les textes?», puis «Dans quelle situation, dans quel contexte le texte a-t-il été écrit?». L’objectif consiste à trouver la faille dans le coran pour convaincre les musulmans à ne pas pratiquer la lapidation. Si un premier passage du coran autorise la lapidation envers certaines personnes, si un deuxième passage du coran interdit la lapidation envers d’autres personnes, et si un troisième passage du coran dit que tous les humains sont égaux, alors la seule solution consiste à ne pas lapider qui que ce soit, si aux yeux du coran, on ne veut ni être coupable d’injustice ni lapider des personnes interdites à lapider. En revanche, Tariq RAMADAN dit qu’on sera rejeté par 80% des musulmans et qu’on sera accusé d’être pour la colonisation, si c’est au nom des valeurs occidentales qu’on s’oppose à la lapidation. En fait, la lapidation envers les dames coupables ou soupçonnées ou accusées d’adultère, ce n’est pas à cause de l’islam, mais c’est malgré l’islam. Il existe des peuples musulmans matriarcaux: notamment certains targui berbères, ainsi que les Minangkabau d’Indonésie. Par ailleurs, Tariq RAMADAN souhaite que les dames qui portent le voile et que les dames qui ne portent pas le voile puissent vivre ensemble sans se taper dessus. Il est absurde d’interdire le voile, au nom de la liberté des dames. Bien que Tariq RAMADAN ait prôné un islam modéré et tolérant et pacifiste (sauf situation de légitime défense), il a été emprisonné. Jésus-Christ de Nazareth, Nelson Mandela, et le Mahatma Gandhi, ils ont utilisé tous leur pouvoir pour instaurer la paix, pourtant ils ont été condamnés injustement. Le billet d’avion de Tariq RAMADAN, qui aurait été prétendument temporairement perdu par les enquêteurs dans une enquête qui a été paradoxalement qualifiée de méthodique, il prouve que Tariq RAMADAN est arrivé à Lyon vers midi, donc comment aurait-il pu commettre un viol l’après-midi du même jour aux Etats-Unis? Certains médias disent qu’on a retrouvé du sperme de Tariq RAMADAN, mais les mêmes médias disent dans d’autres articles que les experts se trompent dans les relevés d’ADN. Le risque d’erreur est élevé si on regarde un petit échantillon de la molécule d’ADN, il faut regarder la totalité de la molécule d’ADN. Mais même si on fait cela, le risque d’erreur n’est pas à 0. Il faut diversifier les experts au cas où l’un d’entre eux ne serait pas neutre. Caroline FOUREST accuse Tariq RAMADAN d’être un violeur. Ceci dit, on peut douter de la fiabilité des dires de Caroline FOUREST, lorsqu’on sait pourquoi elle a été exclue du groupe de Laurent RUQUIER, et lorsqu’elle fait des clash avec Aymeric CARON, sachant qu’Aymeric CARON est un journaliste connu pour son sérieux et pour combattre le racisme et le spécisme. Certains graphologues avaient affirmé avoir reconnu l’écriture d’Alfred DREYFUS dans un courrier postal comportant des menaces de morts, donc ces graphologues ont accusé Alfred DREYFUS d’être le tueur. D’autres graphologues disaient que ce n’était pas l’écriture d’Alfred DREYFUS. En fait, Alfred DREYFUS a été accusé à tort d’avoir commis un assassinat, car il était juif. Aussi, Léo Franck était un état-unien accusé à tort d’avoir commis un viol et un meurtre (aux Etats-Unis) car il était juif. Certains journaux français font de la diffamation mensongère sur le Mahatma Gandhi et sur Nelson Mandela. L’un des articles du journal «Le Monde» accuse mensongèrement le Mahatma Gandhi d’avoir été un pédophile. L’un des articles du journal «Libération» accuse mensongèrement le 14ème Dalaï-Lama d’être complice avec des nazis, bien que ce journal ait aussi rédigé un contre-article. Lorsqu’une partie de nos médias commettent une telle désinformation, il est difficile de leur faire confiance. L’Irak a été accusé à tort d’avoir des armes de destruction massive, ce qui a déclenché une guerre inutile contre l’Irak. L’affaire d’Outreau a eu trois version; la deuxième a été très médiatisée et a accusé les enfant d’avoir mentis et d’avoir accusé des innocents d’être des violeurs; mais la troisième version (qui a été étouffée) dit qu’en définitive les enfants n’auraient pas forcément mentis. Je suis incapable pour le moment de dire laquelle des trois versions a raison. Cela dit… je ne voit pas comment on peut faire confiance en un système judiciaire qui fait la girouette. Je me demande si les tribunaux séculiers ont vraiment disparu.

J’ACCUSE certaines autorités d’être responsables et coupables d’un complot mondial contre notre santé. Avec nos connaissances actuelles, il est possible de guérir presque 100% des maladies dans presque 100% des cas, à condition de ne pas attendre que la victime soit proche de la mort. Pour cela, voir les liens Internet http://ethiqueetprogres.unblog.fr/2017/04/10/b-2-1-anti-maladies ainsi que http://ethiqueetprogres.unblog.fr/2017/11/01/b-2-2-anti-maladies-22/ ainsi que http://ethiqueetprogres.unblog.fr/2017/05/29/b-2-3-anti-cancer/ Le pouvoir des médecines naturelles, et le pouvoir de l’esprit sur le corps, ils sont tragiquement sous-estimés. Moult herboristes ont été condamné au bûcher lors du Moyen-Âge. Le métier d’herboriste a été interdit par le gouvernement de Vichy, lors de la Seconde Guerre Mondiale (1939\1945). Maints médecins holistiques se sont fait tuer aux Etats-Unis, et certains en France. Voir le lien Internet http://ethiqueetprogres.unblog.fr/2017/04/17/b-0-2-differents-complots/ Mais une grande partie des décès a été média-maquillé en suicides et en accidents. L’artiste Daniel BALAVOINE a eu un accident, comme par hasard, peu de temps après qu’il dénonce une liste d’assassinats média-maquillés en suicides, même s’il n’étaient pas (ou pas tous) médecins holistiques. Jusqu’à preuve du contraire, les chemtrails sont probablement des épandages de produits neurotoxiques par les avions, mais ce n’est probablement pas de la vapeur d’eau, et ce n’est probablement pas des régulateurs sains et inoffensifs du climat. Lorsqu’on aura la preuve de leur neurotoxicité, le mal sera déjà fait. Le mercure, l’aluminium, et l’albumine (risque de sida), sont des poisons qui ne devraient pas être insérés dans les vaccins. Le phosphate de calcium est un adjuvant sain, contrairement aux métaux lourds qui peuvent engendrer la maladie d’Alzheimer et de Parkinson et l’autisme. Un composant de certains vaccins est le thiomersol, il est constitué à 49% de mercure, mais «thiomersol» est un terme incompréhensible utilisé pour cacher la présence de mercure. Dans la revue intitulé «Initiative citoyenne», il y a plusieurs dizaines d’études scientifiques montrant une corrélation entre les métaux neurotoxiques des vaccins et l’autisme. Dans les dentifrices, l’argile, la théobromine, et l’eau saline, sont efficaces, mais ils ne sont pas neurotoxiques (sauf forte dose de théobromine), contrairement au fluor qui est toxique (même à petite dose). Dans les amalgames dentaires, la céramique est l’idéal, l’or peut provoquer l’eczéma, mais l’or est un moindre mal par rapport à l’aluminium et au mercure. L’alimentation crudi-végétale (enrichie en bactéries) est l’idéal.

Depuis longtemps (si ce n’est pas depuis toujours), Emmanuel MACRON, vous êtes le premier président de la République française à mener une politique centriste, et à coopérer avec des écologistes tels que Nicolas HULOT. Si vous vous intéressez au sort des français, il ne faut pas faire les mêmes erreurs que Louis XVI (même en étant bien-intentionné), car toute économie (même minime) est primordiale. Louis XVI disait en toute sincérité et sans hypocrisie qu’il faut partager avec les pauvres, et il faisait des efforts, mais il vivait quand-même dans le luxe. Une partie de la bourgeoisie n’a pas supporté cela, et à déclenché (sous la responsabilité directe ou indirecte de Maximilien de Robespierre) la Révolution Française. Louis XVI n’a hélas pas fait appel à temps à suffisamment de soldats étrangers pour se protéger. La Révolution est responsable d’un génocide (à la guillotine) contre les riches (une grande partie des nobles), ainsi que de la Terreur. Quelques temps plus tard, le Révolutionnaire Napoléon Bonaparte Ier a pris le pouvoir. Il a tenté de conquérir le monde entier. Des millions d’individus (dont des soldats) sont morts dans des conditions atroces (famine, maladies, blessures infectées, noyades…). Je pense que vous pouvez empêcher l’Histoire tragique de se répéter. Il en tient à vous de faire vos preuves.

Je ne suis ni politicien ni enquêteur ni journaliste ni écrivain ni chroniqueur ni intellectuel. Je suis un individu ordinaire.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République Française, en l’expression de mes salutations.
ANNEXES SUR TARIQ RAMADAN:

¤ Tariq RAMADAN (semble un musulman modéré):
- (racisme) http://www.informaction.info/image-problematique-sociale-comment-clouer-le-bec-un-ami-raciste-0
* http://www.dailymotion.com/video/xc04wo_tariq-ramadan-le-moratoire_webcam (Tariq RAMADAN est totalement contre la lapidation. Il enseigne même une stratégie de communication pour tenter de convaincre des musulmans de ne pas appliquer la lapidation. Il faut répondre à trois questions. Que disent les textes? [Il y a plusieurs interprétation acceptées] Quelles sont les conditions d’application des textes? [Certains textes peuvent s'opposer à la lapidation] Dans quels contexte et environnement ce texte a-t-il été écrit?)
* https://www.youtube.com/watch?v=LSbeaObaFcs (Tariq RAMADAN face à un suisse d’extrême droite)
* https://www.youtube.com/watch?v=pgJPhjjFJOw (arguments tirés par les cheveux contre Tariq RAMADAN)
* http://www.rts.ch/info/monde/7058859-tariq-ramadan-l-europe-a-besoin-d-immigres-ils-sont-une-aubaine-economique.html (Tariq RAMADAN parle des bénéfices économiques de l’immigration des musulmans vers l’Europe.
* https://www.youtube.com/watch?v=LpR37zqCI7c (Arrêtez avec la peur de l’Islam), (le génie de l’islam)
* https://www.youtube.com/watch?v=6ds2DEjAKzo&feature=share Tariq Ramadan, Eric Zemmour
* https://www.youtube.com/watch?v=_8a-cJSM0z8&feature=share (débat sur le conflit israël 2\7)
* https://www.youtube.com/watch?v=XImD4P82GFY&feature=share (Tariq Ramadan clash lina ben mhenni)
* https://www.youtube.com/watch?v=9gNhD8uo8Vg&feature=share [ Tariq Ramadan détruit un député français à l’assemblée nationale (regardez et comparez, Algérie)
* https://www.youtube.com/watch?v=tJ-Ws0EcnfE&feature=share (Tariq Ramadan et les intellectuels juifs, 2004)
* https://www.youtube.com/watch?v=DKjcwspxnO8&feature=share ( 3 – Tariq Ramadan, the best of façon puzzle)
* https://www.youtube.com/watch?v=dVpphGHxb8k&feature=share ( Tariq Ramadan clash best of 2012 demolition)
* https://www.youtube.com/watch?v=lKCXa31_BDY&feature=share Tariq Ramadan le magnifique
* https://www.youtube.com/watch?v=21HjMmyBtEc&feature=share Israël 0 paix, Stephane Hessel
- Tariq RAMADAN est contre la lapidation. Tariq RAMADAN suggère un moratoire pour éviter la violence. Cela est compatible avec le fait d’interdire et d’empêcher la lapidation. Si les interlocuteurs voulaient vraiment comprendre, ils ne ressentiraient pas le besoin de couper régulièrement la parole à Tariq RAMADAN. Si on coupe tout dialogue avec la communauté musulmane, alors on agrandira le fossé qui sépare les musulmans et les NON musulmans, et une guerre pseudo-religieuse risque d’éclater. Voir vidéos Stan Maillaud. Voir https://www.youtube.com/watch?v=jjBTGMQsf_0
° Tariq RAMADAN (l’histoire du moratoire ne prouve pas qu’il est pour la lapidation):
* https://www.youtube.com/watch?v=4EHUnGq6FB8 (Tariq Ramadan vs Sarkozy a propos du moratoire)
\ Nicolas SARKOSY fait semblant de ne pas comprendre Tariq RAMADAN. Aussi, Nicolas SARKOSY, volontairement, il ne laisse pas Tariq RAMADAN terminer ses phrases.
\ Tariq RAMADAN souhaite utiliser tout son pouvoir pour améliorer le sort des dames et pour empêcher la lapidation. Mais il n’a ni le pouvoir d’inverser totalement les mentalités du jour au lendemain, ni le pouvoir d’empêcher la lapidation partout sur Terre. Il ne peut pas faire mieux que de procéder étape par étape pour atteindre ces objectifs, comme on monte un escalier marche par marche.
\ Si on refuse un musulman modéré comme Tariq RAMADAN, alors on risque d’osciller tantôt vers le Front National tantôt vers un islam trop radical.
\ Le paragraphe suivant montre que Tariq RAMADAN parle du moratoire dans le monde musulman qui applique la lapidation, mais il ne parle pas de moratoire dans un milieu dans lequel il n’y a pas de lapidation.
«…la lapidation de façon extrêmement précise, je me suis exprimé en disant que dans ma position elle n’est pas applicable, et que je demandais, car je sais que ma position est minoritaire aujourd’hui dans le monde musulman, un moratoire pour qu’il y ait un vrai débat intra…»
«Un moratoire ça veut dire qu’on cesse absolument l’application de toutes ces peines là pour qu’il y ait un vrai débat; et ma position c’est que si on n’arrive pas à un consensus entre les musulmans, il faudra le cesser. Mais vous ne pouvez pas… vous savez… quand vous êtes dans une communauté… je peux aujourd’hui à la télévision faire plaisir aux français qui nous regardent en disant »moi, c’est ma position». Ce n’est pas simplement ma position à moi qui compte, c’est de faire évoluer les mentalités musulmanes.»
«Ma position à moi c’est qu’elle n’est pas applicable, mais aujourd’hui (…) je parle à des musulmans du monde entier, je parle à des musulmans du monde entier, je collabore, que ce soit aux États-Unis… dans le monde musulman. Vous devez avoir une posture pédagogique qui fasse discuter les gens. Vous ne pouvez pas décider tout seul d’être progressiste sans les communautés.»
* Un individu avait tenté de tué le pape Jean-Paul II. L’agresseur s’est retrouvé en prison. Le pape Jean-Paul II a rendu visite à son agresseur en prison. Le pape Jean-Paul II a dialogué avec son agresseur. Lorsque le pape Jean-Paul II est mort de vieillesse, et que son ancien agresseur a terminé sa peine de prison, il s’est mis à fleurir la tombe de Jean-Paul II. Donc il ne faut pas couper la communication http://www.lexpress.fr/actualite/societe/religion/celui-qui-voulait-tuer-jean-paul-ii-fleurit-sa-tombe_1635947.html
* https://www.facebook.com/official.tariqramadan/videos/1356328554381437/ (message de paix) (Tariq RAMADAN)
** Il arrive aussi à Nicolas SARKOZY d’être maladroit en disant vouloir nettoyer une cité au Karcher. Voir http://www.ina.fr/video/I09086606 Si on voulait juger sans pitié les propos de Nicolas SARKOZY, alors on pourrait le soupçonner de vouloir faire allusion au nettoyage ethnique (génocide, déportation, viol…). Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Nettoyage_ethnique
° Complot contre Tariq RAMADAN:
* https://www.youtube.com/watch?v=4QFF-fkUb9k L’affaire Tariq RAMADAN – Ismaïl MOUNIR
* https://www.youtube.com/watch?v=ciUuM6GiwO8&t=342s La défense de Tariq Ramadan !
* https://www.youtube.com/watch?v=qYfMJUMsT4A La femme de Tariq Ramadan s’exprime pour la première fois.
* https://www.youtube.com/watch?v=Yf8JnMxsdOE Deuxième prise de parole pour l’épouse de Tariq Ramadan
* https://blogs.mediapart.fr/rachid-barbouch/blog/311017/henda-ayari-ses-propos-contradictoires «Il avait une assiette de pâtisseries orientales à la main. Il m’en propose. Donc, moi je lui dis non», confie-elle à la journaliste.» Sauf que dans son livre, elle écrit mot à mot : «J’en pris une pour ne pas me montrer impolie, mais j’avais la gorge nouée. Je la gardais bêtement à la main» Deuxième contradiction de haute importance, elle affirme toujours à la journaliste que Tariq Ramadan après avoir «abusé » d’elle lui aurait dit : «Tu partiras discrètement après moi..» Or dans son livre, elle écrit : «Il m’obligea à quitter la chambre bien avant lui.»
* https://www.youtube.com/watch?v=AYslpedDfMw&t=13s (Nabil Ennasri sur l’affaire Tariq Ramadan : viol ou procès politique ?) (Dans une enquête menée à priori méticuleusement, le billet d’avion de Tariq RAMADAN aurait été MOMENTANEMENT perdu ; le billet d’avion prouve que Tariq RAMADAN ne pouvait pas commettre le viol car il n’était pas encore à destination ; il était dans l’avion ou avant de monter dans l’avion ; le billet d’avion a finalement été retrouvé, mais peu d’importance lui a été accordé. Le dossier accusant Tariq RAMADAN de viol serait plein de contradictions, mais Tariq RAMADAN n’y aurait pas accès. L’accusatrice Nabil Ennasri serait une amie de Caroline FOUREST qui fut condamnée pour avoir fait de la diffamation contre une jeune fille musulmane voilée.
* https://www.youtube.com/watch?v=Q1hVVeIuQSo Tariq Ramadan prisonnier politique ?
* https://www.youtube.com/watch?v=fTrv-LWz8Kw medecins reclament la libération d.islamologue TRIK RAMADAN
* https://www.youtube.com/watch?v=vlaquLxohso DOCTEUR Fanny Bauer-Motti Sur Tariq Ramadan. « Lettre ouverte »
* https://www.youtube.com/watch?v=3JAPOPM07yM Affaire Ramadan : Quand un jeune démasque un journaliste imposteur
° Parenthèse:
Avant l’affaire Tariq RAMADAN, le journal «le Monde» en l’an 2010 https://www.lemonde.fr/technologies/article/2010/12/10/adn-quand-les-experts-se-trompent_1451949_651865.html et le journal »Le Figaro» en 2006 ou 2007 http://www.lefigaro.fr/sciences/2006/02/23/01008-20060223ARTFIG90541-les_tests_adn_sont_ils_fiables_.php ils disaient que les tests ADN ne sont pas fiables, et que les experts se trompent. Prétendre reconnaître l’ADN de Tariq RAMADAN dans le sperme examiné me semble aussi risqué de prétendre reconnaître l’écriture de Dreyfus https://www.police-scientifique.com/dreyfus/les-expertises-en-ecriture afin de l’accuser.
D’autre part, le 26 mars 2018, le journal »Libération» http://www.liberation.fr/france/2018/03/26/un-alibi-de-tariq-ramadan-s-effondre_1638953 affirme : » le théologien suisse était bien arrivé en fin de matinée le 9 octobre 2009 à Lyon accréditant le témoignage de «Christelle» qui l’accuse de l’avoir violée, cet après-midi-là, à l’hôtel Hilton.» (en Amérique).
Tariq RAMADAN était arrivé à Lyon en fin de matinée, donc il n’a matériellement pas pu commettre une agression sexuelle en Amérique durant l’après-midi de la même journée, sauf erreur de l’enquête.
Tout cela montre qu’on n’a aucune preuve que Tariq RAMADAN est coupable.
PS : Nicolas HULOT a été accusé d’être un détraqué sexuel au moment précis où il commencer à prendre des mesures politiques en faveur de l’écologie. Donc il est difficile d’être convaincu par ces accusations. Julien ASSANGE (ami d’Edward SNODEN) a été accusé d’être un détraqué sexuel depuis qu’il a confirmé les travaux d’Edward SNODEN
° Coran de la Mecque:
Il existe deux corans. Le coran de la Mecque est pacifiste. Le coran de Médine est partiellement violent. Le véritable prophète Mahomet et la véritable religion musulmane correspondent au coran de la Mecque.
* https://coran.oumma.com/ (lire les deux corans)
* https://blog.sami-aldeeb.com/2014/01/31/entre-lislam-de-la-mecque-et-lislam-de-medine/
* http://memri.fr/2015/11/23/sami-aldeeb-il-existe-deux-corans-il-faut-degager-le-coran-de-la-mecque-du-coran-de-medine-qui-renferme-les-germes-de-la-violence/
* https://www.youtube.com/watch?v=vcMGjEUJd0A (Les preuves de l’innocence de Tariq Ramadan par Nabil Enasri, docteur en science politique)
* https://www.youtube.com/watch?v=4QFF-fkUb9k (L’affaire Tariq RAMADAN – Ismaïl MOUNIR)
[ Les 3 passoires de Socrate: As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai? Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bon? Est-il utile que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait? ]; [ « Il suffit à quelqu'un de répéter tout ce qu'il entend pour être un menteur. » (Malik Ibn Anas) ]; [ Dans un fameux Hadith, le Prophète (BSDL) dit à l'un de ses Compagnons: "Garantis-moi la pureté de ce qui est entre tes deux mâchoires (la langue) et la pureté de ce qui est entre tes deux cuisses (le sexe) et je te garantis le Paradis". ]
* https://www.youtube.com/watch?v=ciUuM6GiwO8 (La défense de Tariq Ramadan !)
* https://www.youtube.com/watch?v=bzYT7t7znbo (Témoignage de l’EPOUSE DE M. TARIQ RAMADAN… Témoignage Hors série)
* https://www.change.org/p/lib%C3%A9reztariq-ramadan-free-tariq-ramadan (Libérez Tariq Ramadan/Free Tariq Ramadan)
ANNEXES SUR L’ISLAM:

¤ Religion Mahométane (autres informations):
«Les personnes sont égales comme les dents d’un peigne» dit Mahomet.
\ Pour canaliser sa colère, l’islam conseille de garder une gorgée d’eau dans sa bouche, sans l’avaler; jusqu’à ce que la colère disparaisse. L’islam conseille d’être comme la mort face à la colère, donc ne jamais se mettre en colère.
\ Coran – Sourate V – verset 32: «C’est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d’Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d’un meurtre ou d’une corruption sur la terre, c’est comme s’il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c’est comme s’il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet, nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu’en dépit de cela, beaucoup d’entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre»
\ Mahomet conseille de tuer celui qui quitte la religion. Dans quel contexte? Un mahométan a le droit de devenir chrétien ou bouddhiste ou judaïste. Celui qui par les armes a combattu les mahométans, s’il a été épargné et qu’il a fait semblant de se repentir, et qu’il a par la suite trahit la religion, alors c’est un ennemi potentiel qui prend l’apparence d’un allié. C’est un espion qui donne des renseignements à l’ennemi pour faire attaquer par surprise les mahométans. Allah et Mahomet détestent ceux qui font semblant de se repentir maintes fois pour trahir maintes fois. En temps de guerre, un bouddhiste qui devient shougden (donc pro-Chine colonisatrice) ou qui devient 969 (donc islamophobe), c’est un traître à sa religion. En temps de paix, un français qui souhaite prendre la nationalité allemande ne fait de mal à personne. En temps de guerre, un français qui achète ses vêtements en Allemagne ne fait de mal à personne. En temps de guerre (1939/1945), un français qui s’engage dans l’armée allemande est un traître à la nation française.
\ Mahomet prônait l’islam (qui provient de »salam» qui signifie la paix. Le Mahatma Gandhi faisait des grèves de la faim pour la paix. Tous les deux préfèrent la paix à la guerre; ils savent que la loi du talion est inefficace; ils sont contre une riposte excessive par rapport au danger ou à l’agression. Mais ils détestent la lâcheté, et ils ne veulent pas que le pacifisme soit un prétexte pour consentir aux forces du mal. Ils préfèrent utiliser la violence pour combattre les forces du mal que de laisser les forces du mal dominer le Monde.
\ Mahomet n’a jamais demandé à ce que les homosexuels ou les coupables d’adultères soient maltraités. Mahomet prône une religion éthique et tolérante.
\ Coran – Sourate VI – verset 151: «Ne tuez pas la personne humaine car Allah l’a déclarée sacrée»
* http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/il-est-ecrit-dans-le-coran-tu-ne-15679
«Tu as tué un être innocent qui n’avait jamais tué personne, tu as commis un acte abominable. (Sourate 18, verset 73 ou 74 suivant l’édition du Coran)»
«Vous trouverez parmi les chrétiens des hommes humains et amicaux à l’égard des croyants car il y a chez eux des prêtres et des moines qui ne sont pas gonflés d’orgueil. (sourate 5, verset 82 ou 85)»
«Les hypocrites, en réalité, c’est dans l’armée musulmane qu’ils se trouvaient, jusque dans l’entourage du Prophète, prêts à le trahir (Tabari, page 308). Les mécréants, c’était ses adversaires d’Arabie, en particulier les Mecquois.»
* http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/jamais-mahomet-n-a-preche-la-14287
» l’archange Gabriel dit à Mahomet: «Malheur aux mécréants qui violent un pacte à l’impromptu… Quant à toi, n’agis pas de même, procède avec eux à l’annulation du traité, de façon à retrouver ta liberté en toute justice (Le Coran, sourate VIII, versets 58 à 60).» » L’archange Gabriel ne souhaitent pas que Mahomet (ou qui que ce soit d’autre) tue celui qui quitte les religions. Aucun ne deux ne souhaite qu’on tue celui qui change de religion.
«Bien sûr, on me donnera l’exemple où Mahomet aurait fait passer au fil de l’épée plus de huit cents juifs après la bataille du fossé.7 Scepticisme de ma part; aucun auteur ne s’est fait l’écho d’un tel holocauste. Il ne faut pas oublier, d’autre part, que ceux qui relatent les faits d’armes de Mahomet étaient des poètes et s’exprimaient dans un langage imagé. En réalité, les bourreaux musulmans tranchaient la mauvaise âme qui planait au-dessus de la tête des juifs par un coup de sabre symbolique. Et ensuite, ces vaincus devenaient musulmans.»
(Mahomet voulait épargner les innocents (y compris les familles des ennemis tant que les familles restent pacifistes), et il ne voulait pas que les ennemis vaincus soient maltraités. Mais certaines personnes le trahissait.)

* http://haniramadan.blog.tdg.ch/archive/2008/05/03/l-islam-et-le-respect-des-animaux.html
L’Islam et le respect des animaux
L’Islam comprend des enseignements qu’il peut être utile de soumettre à tous ceux qui défendent la dignité des animaux. Le Coran affirme ainsi: «Nulle bête marchant sur terre, nul oiseau volant de ses ailes, qui ne soit comme vous en communautés.» (Coran, 6,38).
Cela signifie que les espèces animales bénéficient du statut de créature, tout comme les êtres humains.

Le Prophète Muhammad lui-même s’est exprimé très clairement sur ce thème en de nombreuses occasions. Il dit un jour:
«Une femme a été tourmentée en enfer à cause d’une chatte qu’elle avait enfermée jusqu’à ce qu’elle pérît. A cause de l’animal, elle entra en enfer. Elle ne l’avait ni nourrie, ni abreuvée alors qu’elle l’avait enfermée,ne lui laissant pas la possibilité de manger.» (Al-Bukhârî, Muslim)
Un jour, des enfants avaient attaché un oiseau vivant en le prenant pour cible. Ibn ‘Umar, disciple du Prophète, s’exclama: «Le Prophète a maudit celui qui se sert comme cible de tout être vivant (attaché).» (Al-Bukhârî, Muslim)
Le Prophète vit une fois un âne marqué sur le visage. Il désapprouva la chose et déclara: «Que Dieu maudisse celui qui l’a marqué!»
Evoquons encore ces événements: « Nous étions en voyage. Nous vîmes alors un oiseau avec ses deux petits. Nous prîmes les oisillons et leur mère se mit à voler au-dessus de nos têtes. A ce moment arriva le Prophète qui demanda: « Qui a fait de la peine à cet oiseau en lui prenant ses petits? Allez, rendez-lui ses enfants!»Un autre jour, il apprit que des hommes avaient brûlé une fourmilière. Il demanda alors: « Qui l’a brûlée?» Ses compagnons répondirent: «Nous.» Il déclara: « Il ne convient à personne de châtier par le feu, sinon le Maître du feu.» (Abû Dâwûd)
Cela se passait au VIIe siècle, bien avant que l’on envisage en Europe des associations pour la protection des animaux.
Aimer et protéger les animaux fait donc partie des enseignements de l’Islam.
Le Prophète raconta un jour ce récit:
«Alors qu’un homme cheminait, il fut pris d’une grande soif. Il trouva un puits dans lequel il descendit et but. Quand il en sortit, il vit un chien haletant qui mangeait de la boue sous l’effet de la soif. L’homme se dit: « Ce chien est en proie à une soif semblable à celle que je viens d’éprouver il y a peu.» Il descendit alors dans le puits et remplit d’eau sa chaussure qu’il tint entre ses dents jusqu’à ce qu’il se hissât en dehors du puits. Ainsi, il donna à boire au chien. Dieu lui en fut reconnaissant de sorte qu’il lui pardonna, et le fit entrer au paradis.» Les compagnons du Prophète lui demandèrent (surpris): «Ô Messager de Dieu, nous serions récompensés pour (avoir été compatissants envers) des animaux?» Le Prophète dit: «Pour tout foie humide (c’est-à-dire tout être vivant), il y a une récompense.» (Al-Bukhârî, Muslim)
Le même événement est rapporté, mais cette fois en faveur d’une prostituée. Le Prophète a dit: «Un chien à demi-mort de soif tournait autour d’un puits, lorsqu’il fut remarqué par une prostituée juive qui enleva sa chaussure et s’en servit pour lui donner à boire. Ce geste lui valut d’être pardonnée.» (Al-Bukhârî, Muslim)
On voit combien les portes de la clémence divine restent ouvertes à toutes et à tous.
Tel est l’Islam, tel est notre Prophète.

* http://www.livres-mystiques.com/partieTEXTES/Apocryphes/Delapaix/paix07.htm La viande Hallal est une incompréhension du régime sans chair animale. Il est interdit de consommer de la chair animale et du sang. Même si un animal est vidé de son sang, il est interdit de consommer sa chair. «II a été enseigné à vos ancêtres: « Honore le Père céleste et la Mère, la Terre, et suis leurs commandements afin que tes jours soient prolongés sur la terre.»
«Et aussitôt après ce commandement, il en fut donné un second: »Tu ne tueras point», car la vie a été donnée à tous par Dieu, et, ce que Dieu a donné, il n’appartient pas à l’homme de le reprendre. Car je vous le dis, en vérité, c’est d’une mère unique que procède tout ce qui vit sur terre. Voilà pourquoi celui qui tue, tue son frère. Or, de cet homme criminel, la Mère, la Terre, s’en détournera et elle le privera de son sein vivifiant. Et ses anges l’éviteront, alors Satan prendra demeure en son corps. Et la chair des animaux abattus deviendra pour son corps son propre tombeau. Car je vous le dis, en vérité, celui qui tue, se tue lui-même et celui qui mange la chair des animaux abattus, mange le corps de mort.»
«Et dans son sang, chaque goutte de leur sang tourne en poison; dans son haleine, on aperçoit leur haleine fétide; dans sa chair, leur chair se tourne en abcès purulents; dans ses os, leurs os se calcifient; dans ses intestins, leurs intestins se putréfient; dans ses yeux, leurs yeux s’écaillent et dans ses oreilles, leurs oreilles tournent en sécrétions cireuses. Et leur mort deviendra sa mort.»
¤ ANNEXES SUR DES DIZAINES D’ATTAQUES SOUS FAUSSES BANNIERE RECONNES PAR LEUR AUTEUR:
* https://lesmoutonsenrages.fr/2015/02/16/terrorisme-detat-42-attaques-sous-fausse-banniere-admises-par-leurs-auteurs/

Terrorisme d’État: 42 attaques sous fausse bannière admises par leurs auteurs
lundi 16 février 2015BenjiModifier l’article
L’affaire Charlie Hebdo à mis en avant un problème que les médias comme les politiques ont du mal à maîtriser: la suspicion de-un false-flag, en clair: la théorie du complot. Si effectivement il y a des détails qui semblent gêner et qui peuvent permettre d’avoir quelques doutes, officiellement, cela reste indiscutable: c’est l’œuvre d’islamistes, des musulmans radicaux pour qui la vie d’un humain n’a que peu d’importance si ce dernier ne respecte pas l’Islam. Et donc, la France des «Charlie» s’est mis à combattre tous ceux relayant le moindre doute sur la version officielle notamment quelques journalistes capables de faire dans la diffamation (exemple ici), comme si un false-flag n’était pas possible! Peut-être dans ce cas, mais dans d’autres? Cela est déjà arrivé de manière indiscutable, la preuve avec cet article traduit par Guy Fawkes du site Fawkes-News qui présente 42 false-flags avérés.

Cette liste est loin d’êtreexhaustive. Elle ne représente quequelquesexemples d’attaques qui sont aujourd’hui documentées comme étant sous fausse bannière. La liste réelle serait bien trop longue tant cette «culture du false flag» est solidement ancrée dans nos gouvernements «démocratiques». Voilà pourquoi chaque attentat terroriste fortement médiatisé en Europe de nos jours a tendance à être soupçonné d’être un attentat sous faux drapeau: l’histoire nous montre que nos soupçons sont fondés.

Cet article n’aborde pas les attentats en France mais nous aurions tort de penser que notre gouvernement est blanc comme neige. Cette pratique, quoique fortement popularisée par les américains, est comme nous allons le voir,extrêmementrépandue dans les gouvernements de par le monde. Il s’agit tantôt d’attaques réelles de terroristes soutenus par des états, tantôt des attaques réalisées par des services de renseignements, parfois des attaques simulées que l’on nous vend comme réelles. En gros, nos gouvernements considèrent que tout leur est permis tant que cela permet d’entretenir la peur dans la population et faire avancer leur agenda politique. Fawkes
Les gouvernements du monde entier admettent qu’ils organisent des false flags.
Il existe de nombreuses attaques sous fausse bannière documentées, où un gouvernement procède à une attaque terroriste …puisaccusefaussement son ennemi à des fins politiques.
Dans les 42 cas suivants, les fonctionnaires du gouvernement qui ont effectué l’attaque (ou sérieusement proposé une attaque) l’ont admis, que ce soit oralement ou par écrit:
(1) Les troupes japonaises ont déclenché une petite explosion sur une voie ferrée en 1931, et l’ont faussement attribué à la Chine pour justifier une invasion de la Mandchourie. Ceci est connu comme l»«Incident de Mukden» ou le «Manchurian incident».
Le Tribunal militaire international de Tokyoa statuéque: «Plusieurs des participants dans le plan, y compris Hashimoto [un officier de l’armée japonaise de haut rang], ontà plusieurs reprises reconnu leur rôledans l’intrigue et ont déclaré que l’objet de l’« incident » était de donner une excuse pour l’occupation de la Mandchourie par l’armée japonaise du Guandong …. «(voir également).
(2) Un major nazi aadmis au procès de Nurembergque, sous les ordres du chef de la Gestapo, lui et quelques autres agents nazis ont organisé des attaques sur leurs propre peuple et installations, attaques qui étaient attribuées aux Polonais pour justifier l’invasion de la Pologne.
(3) Le général nazi Franz Halder a également témoigné au procès de Nuremberg que le dirigeant nazi HermannGoering avait admis avoir mis le feu au bâtimentdu parlement allemand en 1933, puis avoir blâmé faussement les communistes pour l’incendie criminel.
(4) Le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtcheva admispar écrit que l’Armée rouge de l’Union soviétique a bombardé le village russe de Mainila en 1939 – tout en blâmant l’attaque sur la Finlande – afin de lancer la «guerre d’hiver» contre la Finlande. Le Président russe Boris Eltsinea reconnuque la Russie avait été l’agresseur dans la guerre d’Hiver.
(5) Le Parlement russe, l’actuel président russe Vladimir Poutine et l’ancien dirigeant soviétique Gorbatchevadmettent tousque le dirigeant soviétique Joseph Staline ordonna a sa police secrète d’exécuter 22 000 officiers et civils de l’armée polonaise en 1940, tout enblâmant faussement les nazis.
(6) Le gouvernement britanniqueadmetqu’entre 1946 et 1948, il a bombardé cinq navires transportant des Juifs qui tentaient de fuir l’Holocauste en quête de sécurité en Palestine, mit en place un faux groupe appelé les «défenseurs de la Palestine arabe», puis ce pseudo groupe revendiqua à tort la responsabilité des attentats (voirceci,cecietcela).
(7) Israëladmetqu’en 1954, une cellule terroriste israélienne opérant en Egypte a posé des bombes dans plusieurs bâtiments, y compris des installations diplomatiques américaines, puis a a laissé des «preuves» impliquant des Arabes comme étant les coupables (une des bombes a explosé prématurément, permettant aux Égyptiens d’identifier les responsables, et plusieurs des Israéliens avouèrent ultérieurement) (et voircecietcela).
(8) La CIAadmetqu’il ont embauché des Iraniens dans les années 50 afin qu’ils se présentent comme des communistes et organisent des attentats à la bombe en Iran dans le but que le pays se révolte contre son premier ministre démocratiquement élu.
(9) Le Premier ministre turca admisque le gouvernement turc a réalisé l’attentat de 1955 sur un consulat de Turquie en Grèce, endommageant aussi le berceau du fondateur de la Turquie moderne à proximité – et blâmant la Grèce, dans le but d’inciter et de justifier la violence contre les grecs.
(10) Le Premier ministre britanniquea admisà son secrétaire à la défense que lui et le président américain Dwight Eisenhower avaient approuvé un plan en 1957 pour mener des attaques en Syrie et en rejeter la faute sur le gouvernement syrien comme un moyen pour effectuer un changement de régime.
(11) L’ancien Premier ministre italien, un juge italien, etl’ancien chef du contre-espionnageitalien admettent quel’OTAN, avec l’aide du Pentagone et de la CIA, ont réalisé des attentats terroristes en Italie et d’autres pays européens dans les années 1950 et ils accusèrent les communistes, afin de rallier le soutien des gens pour leurs gouvernements en Europe dans leur lutte contre le communisme. Comme un participant à ce programme autrefois secret a déclaré:«Vous deviez attaquer des civils, des gens, des femmes, des enfants, des innocents, des personnes inconnues éloignées de tout jeu politique. La raison en est assez simple. Ils étaient censés forcer ces gens, le public italien, à se tourner vers l’État pour demander une plus grande sécurité «(et voirceci) (l’Italie et d’autres pays européens soumis à la campagne de terreur avaient adhéré à l’OTAN avant que les attentats n’aient lieu). Et regarderce documentaire de la BBC. Ils auraient également mené des attaques terroristesen France, Belgique, Danemark, Allemagne, Grèce, Pays-Bas, Norvège, Portugal, Royaume-Uniet d’autres pays.
(12) En 1960, le sénateur américain George Smathersa suggéréque les Etats-Unis lancent «une fausse attaque sur la base de Guantanamo qui nous donnerait l’excuse de fomenter effectivement un combat qui nous donnerait une excuse pour y aller et [renverser Castro]» .
(13) Des documents officiels du Département d’état montrent qu’en 1961, le responsable du comité des chefs d’état-major interarmées et d’autres responsables de haut niveauont proposéde faire exploser un consulat de la République dominicaine pour justifier une invasion de ce pays. Les plans n’ont pas été mis à exécution mais ils ont été discutés comme des propositions sérieuses.
(14) Comme cela fût admis par le gouvernement américain, des documents récemment déclassifiés montrent qu’en 1962, les chefs d’état-major interarmées américain ont signé un plan visant à faire exploser des avions américains (en utilisant un plan élaboré impliquant la commutation d’avions), et aussi de mettre en oeuvre des actes terroristes sur le sol américain, puis à blâmer les Cubains pour justifier une invasion de Cuba. Voirle rapport suivant d’ABC News;les documents officiels; etcette entrevueavec l’ancien producteur d’investigation de Washington pour ABC World News Tonight avec Peter Jennings.
(15) En 1963, le département américain de la Défense a écrit un article surla promotion d’attaquessur des nations au sein de l’Organisation des États américains – tels que Trinité-et-Tobago ou la Jamaïque afin de les imputer faussement à Cuba.
(16) Le ministère américain de la Défense a mêmesuggéré de payersecrètement une personne dans le gouvernement de Castro pour attaquer les Etats-Unis: «La seule hypothèse restante à considérer serait alors de soudoyer un des commandants subordonnés de Castro afin qu’ils lancent une attaque sur Guantanamo.»
(17) La NSAadmetqu’elle a mentisur ce qui se s’est réellement passé dans le golfe du Tonkin en 1964 … manipulant des données pour faire comme si des bateaux nord-vietnamiens avaient tiré sur un navire américain de manière à créer une fausse justification pour la guerre du Vietnam.
(18) Un comité du Congrès américaina admis que– dans le cadre de sa campagne «Cointelpro» – le FBI avait utilisé de nombreux provocateurs dans les années 1950 à 1970 pour perpétrer des actes violents et les attribuer faussement à des militants politiques.
(19) Unhaut généralturca admisque les forces turques ont brûlé une mosquée à Chypre dans les années 70 et qu’ils ont attribué l’attaque sur leur ennemi.Il a expliqué: «Dans la guerre spéciale, certains actes de sabotage sont mis en scène et imputés à l’ennemi pour augmenter la résistance du public. Nous l’avons fait à Chypre; nous avons même brûlé une mosquée. «En réponse au regard incrédule du correspondant, le général a dit,» je donne un exemple «.
(20) Le gouvernement allemanda admis(voir ceci) qu’en 1978, les services secrets allemands ont fait exploser une bombe dans la paroi extérieure d’une prison et donné des «outils d’évasion» à un détenu – un membre de la Faction de l’Armée Rouge – sur qui les services secretssouhaitaientattribuer l’attentat.
(21) Un agent du Mossada admisqu’ en 1984, le Mossad a posé un émetteur radio dans la concession de Kadhafi à Tripoli. La Libye a diffusé desfausses transmissions terroristes enregistrés par le Mossad, afin de faire passer Kadhafi pour un partisan du terrorisme. Ronald Reagan a bombardé la Libye immédiatement après.
(22) La Commission Sud-africaine de la vérité et de la réconciliationa constatéqu’en 1989, le Bureau de la coopération civile (une branche secrète des Forces de défense d’Afrique du Sud) a approché un expert en explosifs et lui a demandé «de participer à une opération visant à discréditer l’ANC [le Congrès national africain] en bombardant le véhicule de police de l’enquêteur de l’assassinat», désignant l’ANC comme responsable de l’attentat.
(23) Un diplomate algérien et plusieurs officiers de l’armée algérienneont admisque, dans les années 90, l’armée algérienne a souvent massacré des civils algériens puis blâmé des militants islamistes des meurtres (voircette vidéo, et l’Agence France-Presse, 27/09/2002, la Cour française Rejette le procèsalgérienen diffamation contre un auteur).
(24) Une équipe d’investigation indonésienne a enquêté sur de violentes émeutes qui ont eu lieu en 1998, et a déterminé que«des éléments de l’armée avaient été impliqués dans les émeutes, dont certaines ont été délibérément provoquées».
(25) Des officiers supérieurs militaires et de renseignement russesont admisque le KGB a fait sauter des immeubles d’habitation russes en 1999 et ont faussement blâmé les Tchétchènes, afin de justifier une invasion de la Tchétchénie (voirce rapportetcette discussion).
(26) Selon leWashington Post, la police indonésienne a admis que l’armée indonésienne a tué des enseignants américains en Papouasie en 2002 et a blâmé les meurtres sur un groupe séparatiste papou afin d’obtenir que ce groupe soit considéré comme une organisation terroriste.
(27) L’ancien présidentrespectéindonésiena admiségalement que le gouvernement avait probablement joué un rôle dans les attentats de Bali.
(28) Tel que rapporté par laBBC, leNew York TimesetAssociated Press, les responsables macédoniens ont admis que le gouvernement a assassiné sept immigrés innocents de sang-froid et a prétendu qu’il s’agissait de soldats d’Al-Qaïda ayant tenté d’assassiner la police macédonienne, afin de rejoindre le «guerre contre le terrorisme «.
(29) Des hauts fonctionnaires de police à Gênes, Italieont admisqu’en Juillet 2001, au sommet du G8 à Gênes, deux cocktails Molotov avaient été apportés et l’agression d’un agent de police simulée, afin de justifier unerépression violentecontre les manifestants.
(30) Bien que le FBI admet maintenant que les attaques à l’anthrax de 2001 ont été effectuées par un ou plusieurs scientifiques du gouvernement des États-Unis, un haut responsable du FBI dit que le FBIa été sommé de blâmer les attaques à l’anthrax sur Al-Qaïda par des fonctionnaires de la Maison Blanche(rappelez-vousà quoi ressemblaientles lettres à l’anthrax). Les représentants du gouvernement confirment également que la Maison Blanche a essayé derelier l’anthrax à l’Irakpour justifier un changement de régime dans ce pays.
(31) De même, les États-Unis ontfaussement blâmé l’Irakcomme ayant joué un rôle dans les attaques du 11 Septembre, comme le montre unenote du secrétaire à la défense, ce qui fût l’une desprincipales raisonspour démarrer la guerre en Irak. Même après que la Commission du 11 Septembreait admisqu’il n’y avait pas de lien, Dick Cheneya déclaréque la preuve est «accablante» qu’Al-Qaïda avait une relation avec le régime de Saddam Hussein, que Cheney avait «probablement» des informations indisponibles pour la Commission, et que le les médias ne «faisaient pas leurs devoirs» en ne communiquant pas sur ces liens. Des hauts représentants du gouvernement des États-Unisadmettent aujourd’huique la guerre en Irak a été vraiment lancée pour le pétrole … pas le 11 Septembre ou des armes de destruction massive (malgré les affirmations précédentes de «loup solitaire», de nombreux responsables gouvernementaux américainsdisentmaintenant que le 11 Septembre était du terrorisme d’État; mais l’Irak n’tait pas l’Etat qui a soutenu les pirates de l’air).
(32) L’ancien avocat du ministère de la Justice John Yooa suggéréen 2005 que les États-Unis devraient passer à l’offensive contre al-Qaïda, en «faisant en sorte que nos agences de renseignement créer une fausse organisation terroriste. Elle pourrait avoir ses propres sites Web, des centres de recrutement, des camps d’entraînement et des opérations de collecte de fonds. Elle pourrait lancer de fausses opérations terroristes et revendiquer de véritables attaques terroristes, en aidant à semer la confusion dans les rangs d’al-Qaïda, semant le doute aux seins des agents et questionnant la validité des communications. »
(33) United Press Internationala rapportéen Juin 2005:
Des Officiers de renseignement américains rapportent que certains des insurgés en Irak utilisent des modèles récents de pistolets Beretta 92 , mais les pistolets semblent avoir eu leurs numéros de série effacés. Les chiffres ne semblent pas avoir été retiré physiquement; les pistolets semblent provenir d’une ligne de production sans numéros de série. Les analystes suggèrent que l’absence de numéros de série indique que les armes étaient destinées à des opérations de renseignement ou à des cellules terroristes avec le soutien substantiel du gouvernement. Les analystes pensent que ces armes sont probablement soit du Mossad soit de la CIA. Les analystes pensent que des agents provocateurs peuvent utiliser les armes intraçables alors même que les autorités américaines utilisent des attaques d’insurgés contre des civils comme des preuves de l’illégitimité de la résistance.
(34) Des soldats israéliens sous couvertureont admisen 2005 avoir lancé des pierres sur d’autres soldats israéliens afin qu’ils puissent rejeter le blâme sur les Palestiniens, comme une excuse pour réprimer des manifestations pacifiques des Palestiniens.
(35) La Sûreté du Québeca admisqu’en 2007, des voyous apportant des pierres à une manifestation pacifique étaient en fait des policiers en civil du Québec (etvoir ceci).
(36) Lors des protestations du G20 à Londres en 2009, un membre du parlement britanniquea vudes agents de police en civil qui tentaient d’inciter la foule à faire usage de la violence.
(37) Des politiciens égyptiensont admis(voir ceci) que des employés du gouvernement ont pillé des objets de musée inestimables en 2011 pour tenter de discréditer les manifestants.
(38) Un colonel de l’armée colombiennea admisque son unité a assassiné 57 civils, puis les a vêtus d’uniformes et a affirmé qu’ils étaient des rebelles tués au combat.
(39) L’écrivain très respecté du Telegraph Ambrose Evans-Pritchard dit que le chef du renseignement saoudien – le prince Bandar – arécemment admisque le gouvernement saoudien contrôle les»terroristes tchétchènes».
(40) Des sources américaines de haut niveauont admisque le gouvernement turc, membre de l’OTAN, a mené les attaques d’armes chimiques blâmé sur le gouvernement syrien; et des membres de haut rang du gouvernement turcont admisleurs plans de mener des attaques et les attribuer au gouvernement syrien.
(41) L’ancien chef de la sécurité ukrainienneadmetque les attaques de tireurs embusqués qui ont marqué le commencement du coup d’état ukrainien ont été effectuées afin de blâmer d’autres personnes.
(42) L’agence d’espionnage de la Grande-Bretagnea admis(voir ceci) qu’elle effectue des attaques sous fausse bannière «numériques» sur des cibles,piégeant des gensen écrivant des textes offensant ou illégaux … et rejetant la faute sur la cible.
Source:Washingtons Blog
Traduction:Fawkes News
ANNEXE prouvant que le 14ème Dalaï-Lama et les Tibétains et les bouddhistes n’ont aucun rapport avec le nazisme:

* L’article suivant est un copié-collé dont la Source http://www.liberation.fr/tribune/2008/05/06/reponse-sur-les-liens-entre-le-dalai-lama-et-les-nazis_71041

Le mythe de la connexion entre le Tibet et les nazis est une création d’auteurs français : le premier, Teddy Legrand publia en effet en 1933 un roman intituléles Sept têtes du dragon vertdont un passage fut repris et développé par Louis Pauwels et Jacques Bergier dans leur célébrissimele Matin des magiciens(1960). Ce mythe a été démonté très clairement par Isrun Engelhardt (université de Bonn), reconnue dans le milieu scientifique pour la qualité de ses travaux sur le Tibet et les nazis.
Dès les années30, toutefois, Himmler, dont les idées mystiques et ésotériques étaient très fortement décriées par Hitler, voulait utiliser des chercheurs allemands pour la propagande nazie et pour prouver ses idées : il pensait en effet que des descendants de l’Atlantide avaient migré pour fonder une grande civilisation en Asie centrale. Il proposa son aide à Ernst Schäfer (1910-1992), chercheur allemand qui désirait monter une expédition scientifique au Tibet. Ce brillant zoologue avait déjà participé à deux expéditions organisées, en 1930-1932 puis en 1934-1936 en Chine et au Tibet, par l’Américain Brooke Dolan, avec des résultats scientifiques particulièrement remarquables. Schäfer refusa les pseudo-chercheurs que Himmler voulut lui imposer et l’expédition ne fut finalement pas financée par les SS. Toutefois, il conserva le soutien de Himmler.
Après plusieurs refus du gouvernement tibétain, l’expédition de Schäfer au Tibet (1938-1939) fut autorisée à pénétrer au Tibet, atteignit Lhassa le 19janvier1939 et y resta deux mois. Schäfer ne put pas rencontrer le quatorzième dalaï-lama, alors âgé de 4 ans : en effet, ce dernier n’avait même pas commencé le long voyage qui, de sa région d’origine (Amdo), l’amena à Lhassa seulement le 8octobre1939. En revanche, il rencontra le régent, Reting Rinpoché. Sur l’insistance du scientifique allemand qui voulait une preuve de son succès, le régent adressa une simple lettre de courtoisie et quelques présents à Hitler. Malgré cela, il n’y eut jamais de contact officiel entre le gouvernement tibétain et les nazis. Le fait que Schäfer ne put faire parvenir la lettre du régent à Hitler que trois ans après son retour suffit à montrer le manque d’intérêt du gouvernement allemand pour le Tibet.
Il semble que Laurent Dispot, dans le texte publié le 25avril dansLibération, ait confondu deux personnages : Ernst Schäfer, le scientifique, et Heinrich Harrer, l’alpiniste Ce dernier, ayant rejoint les SS en 1938 dans le cadre sportif, quitta l’Allemagne un an plus tard pour une expédition d’alpinisme au Nanga Parbat (aujourd’hui au Pakistan). Il fut capturé, à Karachi, ainsi que tous ses compagnons par les Britanniques, trois jours avant le début de la guerre. Avec un compagnon de captivité, il s’échappa en 1944 et atteignit Lhassa en janvier1946. La première entrevue entre Heinrich Harrer et le dalaï-lama n’eut lieu qu’en 1949. Ils se rencontrèrent ensuite durant un an avec l’autorisation du gouvernement tibétain qui encourageait ainsi l’ouverture du jeune hiérarque sur le monde extérieur, et ses dispositions pour les connaissances techniques. Néanmoins, aucune source n’a jamais fait apparaître Harrer chargé d’une mission par Hitler. Heinrich Harrer quitta le Tibet en 1951, à la suite de l’invasion chinoise.
Quoi qu’en dise Laurent Dispot, l’expédition Schäfer fut scientifique et celle de Harrer, une expédition d’alpinisme. Peut-être l’auteur s’inspire-t-il de mythes propagés depuis les années90 par certains groupuscules néonazis, mythes que le gouvernement chinois aime à relayer (Beijng Reviewmars1998,«Nazi authors Seven Years in Tibet») ? Le texte de Dispot, comme tous les autres textes de cette sorte, relève de la théorie du complot. Il n’est pas étonnant qu’au moment des événements tibétains ces idées ressurgissent. Cependant, elles sont infondées scientifiquement.
Sources :
- Isrun Engelhardt, «Tibetan Triangle. German, Tibetan and British relations in the context of E. Schäfer’s expedition, 1938-1939», inAsiatische Studien,LVIII.1, 2004.
- Isrun Engelhardt (sous la direction de),Tibet in 1938-1939 : Photographs from the Ernst Schäfer Expedition to Tibet, Serindia, Chicago, 2007.
- Isrun Engelhardt, «Mishandled Mail: The Strange Case of the Reting Regent’s Letters to Hitler», inProceedings of the Tenth Seminar of the International Association for Tibetan Studies2003, Oxford (sous presse).
- Isrun Engelhardt, «The Nazis of Tibet : A twentieth century myth», in Monica Esposito (sous la direction de),Images of Tibet in the 19th and 20th Centuries,Ecole française d’Extrême Orient, coll. «Etudes thématiques», 2008, (sous presse).
- Martin Brauen,Dreamworld Tibet,Orchid Press, Bangkok, 2004.
- Thierry Dodin et de Heinz Räther (sous la direction de),Imagining Tibet. Realities, Projections and Fantasies, Wisdom Publication, Boston, 2001.
ANNEXES SUR L’ÉCOLOGIE DU VEGETA_ISME:
ANNEXES PROUVANT QUE LE CHRISTIANISME ORIGINEL INTERDIT LA CONSOMMATION DE CHAIR ANIMALE:

¤ Notre Créateur souhaite que les humains rendent végéta_iens les prédateurs sauvages ainsi que l’arrêt de tout sacrifice d’animaux: une religion est souvent éthique au départ, mais les humains la déforment progressivement selon leurs intérêts.
\ Ce paragraphe comprend des paroles de Jésus-Christ de Nazareth, reprise dans le tome 1 de la série de livres intitulée «L’évangile essénien de la paix», rédigé par Edmond Bordeaux Székely, et traduit par le Docteur Edouard Bertholet. Les Sources d’origine sont les anciens textes araméens et slavons, datant du Ier siècle après Jésus-Christ de Nazareth, et se situant dans la bibliothèque du Vatican. Cet évangile est le plus ancien et le plus fiable. C’est le seul à ne pas avoir été traduit et recopié maintes fois, contrairement à une information relayée qui se déforme au jeu du téléphone arabe. «Ne tuez pas et ne mangez pas la chair de vos innocentes victimes si vous ne voulez pas devenir les esclaves de Satan. Car voilà le chemin de la souffrance qui conduit à la mort.» (pages 54 et 55) «Voilà, je vous ai donné chaque herbe portant semence qui se trouve sur la surface de toute la terre et chaque arbre sur lequel est le fruit d’un arbre portant une graine; pour vous, faîtes en votre nourriture. Et à chaque animal sur Terre, à chaque oiseau dans l’air et à tout ce qui rampe sur la terre, à toutes ces bêtes dans lesquelles il y a un souffle de vie, je leur donne toute herbe verte pour nourriture. (…) Quant-à la chair et au sang qui vivifie les animaux, vous ne devez pas en manger. Et certes, je vous redemanderai compte de leur sang bouillonnant, leur sang dans lequel demeure l’âme. Je vous redemanderai compte pour chaque animal tué, de même que pour les âmes de tous les hommes tués. (…) » (page 55) «celui qui, sans raison, tue une bête lorsqu’elle ne l’attaque pas, que ce soit par plaisir de tuer, pour se procurer sa chair, sa peau ou ses défenses, celui-là commet un acte mauvais, car i se transforme lui-même en bête féroce. C’est pourquoi sa fin ressemble aussi à celle des bêtes sauvages.» (page 56)
* http://saintebible.com/isaiah/65-25.htm (Ésaïe 65:25) «Le loup et l’agneau paîtront ensemble. Le lion, comme le bœuf, mangera de la paille.»
* http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.biblegateway.com/passage/%3Fsearch%3DGenesis%2B1%253A29-30&prev=search
(Ésaïe 11:6-7-8-9) «6 Le loup habitera avec l’agneau, Et la panthère se couchera avec le chevreau; Le veau, le lionceau, et le bétail qu’on engraisse, seront ensemble, Et un petit enfant les conduira. 7 La vache et l’ourse auront un même pâturage, Leurs petits un même gîte; Et le lion, comme le boeuf, mangera de la paille. 8 Le nourrisson s’ébattra sur l’antre de la vipère, Et l’enfant sevré mettra sa main dans la caverne du basilic. 9 Il ne se fera ni tort ni dommage Sur toute ma montagne sainte; Car la terre sera remplie de la connaissance de l’Eternel, Comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent.»
(Genèse 1 : 29 – 30) «Puis Dieu dit: »Je vous donne toute herbe portant semence sur la face de toute la terre, et tout arbre qui a des fruits avec la semence en elle. Ils seront votre nourriture. 30 Et à toutes les bêtes de la terre et tous les oiseaux du ciel et tous les reptiles qui rampent sur la terre, tout ce qui a le souffle de vie en elle-je donne toute herbe verte pour nourriture.» Et cela fut ainsi.»
ANNEXES SUR ADOLPHE HITLER:

* https://fr.wikipedia.org/wiki/Vues_religieuses_d%27Adolf_Hitler (Adolphe HITLER était un athée très anti-clérical, un traître qui faisait semblant d’avoir des convictions religieuses, car il ne voulait pas mettre tout de suite presque tout le monde contre lui)

Adolphe HITLER était flexitarien. Il a réduit sa consommation de chair animale pour des raisons de santé, mais sans la supprimer complètement. Il n’est jamais devenu végétarien.

* L’ARTICLE SUIVANT EST UN COPIE-COLLE DONT LA SOURCE EST http://bibliodroitsanimaux.free.fr/patterson.html

Charles Patterson,
Un Eternel Treblinka,
tr.fr.(légèrement modifiée) Dominique Letellier,
Calmann-Lévy, 2008, p. 185-192.
Hitler n’a jamais été végétarien

Comme beaucoup de ses frères humains, Adolf Hitler utilisait des noms d’animaux pour avilir les autres. Il traitait souvent ses adversaires de « gorets[1]» et de « sales chiens[2]». Les bolcheviks étaient des « animaux» et les Russes, ce « peuple bestial», une famille de lapin » slave, que Staline avait transformée en Etat totalitaire[3]. Après la conquête de la Russie, Hitler voulut que « la centaine de millions de Slaves ridicules » vive « dans des porcheries[4]». Il traitait les diplomates britanniques de « vers de terre[5]», et quant au peuple d’Amérique « mi-judaïsé, mi-négrifié », il avait « le cerveau d’une poule[6]». Hitler n’avait que mépris pour son propre peuple, auquel il faisait référence en disant « le grand troupeau stupide de notre peuple moutonnier[7]», et tandis que les défaites s’accumulaient à la fin de la guerre, il rejetait sur eux la faute de n’avoir pas été à la hauteur du défi. Hitler traitait ses propres soeurs de « petites dindes[8]».
Quelles qu’aient pu être les déficiences dont souffrait leVolkgermanique, Hitler considérait pourtant que la race aryenne-nordique était infiniment supérieure à la mer de sous-hommes qui l’entourait, « ces monstruosités, entre homme et singe[9]», comme il le dit clairement dans un discours à Munich en 1927 :

Nous avons devant nous la race aryenne, qui est manifestement porteuse de toute culture, la véritable représentante de toute l’humanité. Notre science industrielle est sans exception le travail des Nordiques. Tous les grands compositeurs, de Beethoven à Richard Wagner, sont aryens. L’homme doit tout ce qui a quelque importance au principe de lutte et à une race qui a porté en elle le succès. Retirez les Allemands nordiques et il ne reste rien que la danse des singes[10].

Hitler aimait les chiens, en particulier les bergers allemands (il considérait que les boxers étaient « dégénérés[11]»), qu’il aimait contrôler et dominer. Au front, pendant la Première Guerre mondiale, il s’était lié à un terrier blanc, Fuchsl, qui avait traversé les lignes ennemies. Plus tard, quand son unité avança et qu’on ne retrouva pas Fuchsl, Hitler en fut bouleversé. «Je l’aimais tant, se souvint-il. Lui seul m’obéissait. » Hitler tenait souvent un fouet et l’utilisait parfois pour frapper son chien, à la manière cruelle dont son père frappait son propre chien[12]. Au quartier général du Führer pendant la Seconde Guerre mondiale, le berger allemand de Hitler, Blondi, lui offrit ce qu’il connut de plus proche de l’amitié[13]. « Mais avec ses chiens, comme avec tout être avec qui il entrait en contact, écrit Jan Kershaw, toute relation était fondée sur la subordination au maître qu’il était[14]. »
Si Hitler consommait des produits animaux comme le fromage, le beurre et le lait, il tentait d’éviter la viande pour calmer son « estomac nerveux ». Il souffrait d’indigestions et de douleurs épisodiques depuis l’adolescence[15], ainsi que de flatulences et d’une sudation incontrôlable[16]. La première preuve de ses tentatives pour soigner ses problèmes d’estomac en veillant à son régime figure dans une lettre écrite en 1911, quand il vivait à Vienne : « Je suis heureux de pouvoir vous informer que je me sens déjà beaucoup mieux [...]. Ce n’était rien qu’un petit dérangement de l’estomac, et je tente de me soigner par un régime de fruits et de légumes[17]. » Il découvrit que lorsqu’il réduisait sa consommation de viande, il ne transpirait pas autant et qu’il y avait moins de taches sur ses sous-vêtements. Hitler fut aussi bientôt convaincu que manger des légumes améliorait l’odeur de ses flatulences, un problème qui l’ennuyait terriblement et lui causait bien de l’embarras[18]. Il avait très peur du cancer, qui avait tué sa mère, et croyait que la consommation de viande et la pollution causaient le cancer[19].
Néanmoins, jamais Hitler ne renonça complètement à ses plats préférés de viande, surtout pas aux saucisses bavaroises, aux boulettes de foie et au gibier farci[20]. La cuisinière Dione Lucas, qui travaillait comme chef dans un hôtel de Hambourg avant la guerre, se souvient qu’on l’appelait souvent pour qu’elle prépare le plat préféré de Hitler. « Je ne veux pas vous gâcher l’appétit pour les pigeonneaux farcis, écrivit-elle dans son livre de cuisine, mais cela vous intéressera peut-être de savoir que c’était un grand favori de M. Hitler, qui dînait souvent à l’hôtel. Mais n’en tenons pas rigueur à cette belle recette[21]! » Un de ses biographes prétend que Hitler, en matière de viande, s’en tenait presque uniquement aux saucisses[22].
Quelles qu’aient été ses préférences culinaires, Hitler montra peu de sympathie pour la cause végétarienne en Allemagne. Quand il arriva au pouvoir, en 1933, il interdit les sociétés végétariennes, arrêta leurs chefs et fit fermer la rédaction du principal magazine végétarien publié à Francfort. Les persécutions nazies contraignirent même les végétariens allemands, petite minorité dans une nation de carnivores, soit à fuir le pays, soit à se cacher. Pacifiste et végétarien allemand, Edgar Kupfer-Koberwitz s’enfuit à Paris, puis en Italie, où la Gestapo l’arrêta et l’envoya au camp de concentration de Dachau (voir ch. VIII). Pendant la guerre, l’Allemagne nazie interdit toutes les organisations végétariennes dans les territoires occupés, alors même qu’elles auraient aidé à soulager la pénurie de nourriture en temps de guerre[23].
Selon l’historien Robert Payne, le mythe qui veut que Hitler ait été strictement végétarien fut principalement l’oeuvre du ministre de la Propagande de l’Allemagne nazie, Joseph Goebbels :

L’ascétisme de Hitler joua un rôle important dans l’image qu’il projetait sur l’Allemagne. Selon une légende à laquelle beaucoup croyaient, il ne fumait ni ne buvait, il ne mangeait pas non plus de viande et n’avait aucune liaison. La première affirmation seule était vraie. Il buvait de la bière et souvent du vin coupé d’eau, il aimait tout particulièrement les saucisses bavaroises et il avait une maîtresse, Eva Braun, qui vivait avec lui discrètement au Berghof – entre autres aventures discrètes avec des femmes. Son ascétisme était une fiction inventée par Goebbels pour faire croire au don total de sa personne, au contrôle qu’il exerçait sur lui, à la distance qui le séparait des autres hommes. En faisant publiquement étalage de son ascétisme, il pouvait prétendre être tout dévoué au service de son peuple[24].

En fait, Hitler était « remarquablement complaisant envers lui-même et n’avait pas le moindre instinct ascétique », écrit Payne[25]. Son cuisinier, un homme incroyablement gros appelé Willi Kannenberg, confectionnait des repas délicieux et jouait les fous du roi. « Si Hitler n’avait pas de goût pour la viande, sauf sous forme de saucisses, s’il ne mangeait jamais de poisson, il adorait le caviar[26]. C’était un connaisseur en bonbons, fruits confits et gâteaux à la crème, qu’il consommait en quantités impressionnantes. Il buvait du thé et du café qu’il noyait de crème et de sucre. Aucun dictateur n’a autant aimé les sucreries[27]. »
Quant à la compassion et la douceur (gentleness), c’étaient des anathèmes pour Hitler, qui considérait que la force prime sur le droit et que les puissants méritent d’hériter de la terre[28]. Il n’avait que mépris pour la philosophie végétarienne non violente et se moquait de Gandhi[29]. Intimement convaincu que la nature était gouvernée par la loi de la jungle[30], il voulait que les jeunes Allemands soient brutaux, autoritaires, sans peur et cruels (« La jeunesse qui va grandir dans ma forteresse effraiera le monde »). Ils ne devaient être ni faibles ni gentils. « La lumière de la merveilleuse bête de proie libre doit à nouveau éclairer leurs yeux. Je veux que ma jeunesse soit forte et belle[31]. » Hitler a un jour résumé sa vision du monde en une courte phrase : « Qui ne possède pas la force perd le droit de vivre[32]. »
La prétendue affection de Hitler et d’autres grosses huiles nazies pour les animaux, en particulier leurs chiens[33], a été replacée dans sa bonne perspective par Max Horkheimer et Theodor Adorno. Pour certaines personnalités autoritaires, écrivent-ils, « l’amour des animaux » fait partie de la manière dont ils intimident les autres. Quand les magnats de l’industrie et les dirigeants fascistes veulent un animal de compagnie, leur choix se porte sur des animaux intimidants comme les dogues allemands et les bébés lions, qui doivent ajouter à leur puissance par la terreur qu’ils inspirent. « Le colosse fasciste meurtrier se dresse de manière si aveugle devant la nature qu’il ne considère les animaux que comme un moyen d’humilier les hommes. L’intérêt passionné des fascistes pour les animaux, la nature et les enfants s’enracine dans le besoin de persécuter. » En présence du pouvoir, aucune créature n’est un être de plein droit. « Une créature n’est qu’un matériau pour assouvir les buts sanglants du maître[34]. »

[1]Quand les détails du complot de 1944 furent connus, Hitler dit : « Maintenant, je tiens enfin les porcs qui sabotent mon travail depuis des années. » Ian Kershaw,Hitler, 1936-1945 Nemesis, New-York, Norton, 2000, p. 658 ; voir aussi p. 192
[2]Fritz Redlich,Hitler, Diagnosis of a Destructive Prophet,New York,OxfordUniversityPress,1999, p. 149.
[3]Ian Kershaw,Hitler, 1936-1945Nemesis, op. cit., p. 429, 452, 388.
[4]Robert G. L. Waite,The Psychopathic God Adolf Hitler,New York, Basic Books, 1977,p. 90.
[5]Fritz Redlich,Hitler, Diagnosis of a Destructive Prophet, op. cit., p. 166.
[6]Robert G. L. Waite,The Psychopathic God Adolf Hitler, op. cit., p. 469.
[7]Ibid., p. 86
[8]Fritz Redlich,Hitler, Diagnosis of a Destructive Prophet, op. cit., p. 8.
[9]Ibid., p. 134. Hitler insistait sur le fait que seules les personnes douées de talents devraient être instruites, convaincu que c’était « une lubie criminelle de continuer à former des singes mal nés jusqu’à ce qu’on croie avoir fait d’eux des avocats».Ibid.,p. 142, 375.
[10]Institut für Zeitgeschichte (dir.),Hitler, Reden, Schriften, Anordnungen, Februar 1921 bis Januar 1933. Livre II, 1, Juli 1926 – juli 1927,Munich, Londres, K. G. Saur, 1992, p. 229. Ici, Hitler se faisait l’écho des opinions de son idole, Richard Wagner, qui a écrit que les « races inférieures » peuvent retracer leurs origines « depuis les singes », alors que les aryens retracent les leurs « depuis les dieux ». Boria Sax,Animals in the Third Reich, Pets, Scapegoats, and the Holocaust, New York, Continuum, 2000,p. 54.
[11]Fritz Redlich,Hitler, Diagnosis of a Destructive Prophet, op. cit. , p. 565.
[12]Robert G. L. Waite,The Psychopathic God Adolf Hitler, op. cit., p. 155. En 1926, Hitler frappa son chien férocement en présence de Mimi Reiter, seize ans, qui avait attiré son attention et qu’il voulait apparemment impressionner. « Il fouetta son chien comme un fou[Irrsinniger]de sa cravache en le tenant par sa laisse courte. Il s’excita à l’extrême [...]. Je n’aurais jamais cru que cet homme pouvait frapper un animal avec tant de cruauté – un animal dont il avait dit un instant auparavant qu’il ne pourrait vivre sans lui. Et voilà qu’il fouettait son compagnon le plus fidèle ! »Ibid.,p. 192. Devant une autre jeune fille, à une autre occasion, quand son chien ne lui obéit pas, « il fit une démonstration de son idée de la virilité, de la maîtrise et du pouvoir en fouettant brutalement l’animal ».Ibid.,p. 259.
[13]Louis P. Lochner (dir.),Goebbels’ Tagebücher. Aus den Jahren 1942-1943, op. cit.,p. 154, 404 ; Albert Speer,Erinnerungen,Berlin , Propyläen, 1969, p. 314 ; Ian Kershaw,Hitler, 1936-1945Nemesis, op. cit.,p. 1174. Le 29 avril 1945, la veille du jour où il se suicida, Hitler empoisonna Blondi pour s’assurer que les capsules de cyanure que Himmler lui avait données étaient efficaces. Ian Kershaw,Hitler, 1936-1945Nemesis, op. cit.,p. 1175 ; Robert G. L. Waite,The Psychopathic God Adolf Hitler, op. cit.,p. 489 ; Fritz Redlich,Hitler : Diagnosis of a Destructive Prophet, op. cit.,p. 254.
[14]Ian Kershaw,Hitler, 1889-1936 Hubris,New-York, Norton, 1998, p. 91.
[15]Fritz Redlich, Hitler,Diagnosis of a Destructive Prophet, op. cit., p. 79, 92.
[16]Neil Kressel,Mass Hate : The Global Rise of Genocide and Terror,New York, Perseus Book, 1996, p. 133. Pour l’analyse de Kressel sur la santé mentale de Hitler, voir p. 132 à 134. Un jour, selon un intime, pendant la campagne électorale de 1932, Hitler, désolé de ne manger qu’une soupe de légumes, « demanda d’un air plaintif si on pouvait l’assurer que ce régime végétarien pourrait guérir ses crampes d’estomac, sa sudation excessive et sa mélancolie ». Robert G. L. Waite,The Psychopathic God Adolf Hitler, op. cit., p. 47.
[17]Colin Spencer,The Heretic’s Feast, A History of Vegetarianism,Londres, Fourth Estate, 1990, p. 306.
[18]Robert G. L. Waite,The Psychopathic God Adolf Hitler,op. cit., p. 27.
[19]Kapleau,To Cherish All Life : A Buddhist Case for Becoming Vegetarian, second edition, Rochester, NY, The Zen Center, 1986, p. 103, n° 71. Selon Otto Wagener, Hitler devint strictement végétarien après avoir assisté à l’autopsie de sa jeune nièce Angela (Geli) Raubal, en 1931, mais Wagener ne constitue pas une source fiable, puisqu’il n’y a pas eu d’autopsie. Fritz Redlich,Hitler: Diagnosis of a Destructive Prophet, op. cit.,p. 92, 545.
[20]Redlich écrit que Hitler adorait manger le plat de viande autrichien appeléLeberknodl(boulettes de foie). Fritz Redlich,Hitler : Diagnosis of a Destructive Prophet, op. cit.,p. 92.
[21]Dione Lucas,The Gourmet Cooking School Cookbook, Classic Recipes, Menus, and Methods as Taught in the Classes of the Gourmet Cooking School,New York, Bernard Geis Associates, 1964, p. 89. CitéinRynn Berry, « Humankind’s True Moral Test », dans Satya, juin 1994, p. 3.
[22]Robert Payne,The Life and Death of Adolf, New York, Praeger, 1973, p. 346.Vers la fin de la guerre, le médecin personnel de Hitler, le docteur Theodor Morell, le mit à un régime strict, qui comportait une petite quantité de lard et de beurre, du blanc d’oeuf, du babeurre et de la crème. Fritz Redlich,Hitler: Diagnosis of a Destructive Prophet, op. cit.,p. 296.
[23]Colin Spencer,The Heretic’s Feast, A History of Vegetarianism, op. cit., p. 308-309.
[24]Robert Payne,The Life and Death of Adolf Hitler, op. cit.,p. 346. Ralph Meyer écrit que ce portait de Hitler en paisible végétarien brossé par Goebbels trompa même les hommes d’État et les biographes. « Ce canular est répétéad nauseamaux végétariens et aux avocats des droits des animaux. Combien de gens ont été découragés avantmême d’envisager le problème tant ils abhorrent tout ce qui peut être associé à Hitler ? » Ralph Meyer, « The «Hitler Diet» for Disease and War ». Ralph Meyer, végétarien depuis l’âge de neuf ans, a quitté l’Allemagne nazie en 1935. « Est-il possible, demande-t-il, que si, peut-être, les humains avaient une inhibition à l’idée de maltraiter les animaux, ils puissent aussi avoir une inhibition à l’idée de se maltraiter les uns les autres ? » Conversation personnelle avec l’auteur.
[25]Hitler « collectionnait les peintures et les gravures rares, offrait des cadeaux onéreux à sa maîtresse et s’entourait de serviteurs, dont la fiabilité était assurée grâce à la surveillance des SS. Il avait toute une flotte d’automobiles et d’avions toujours à sa disposition. Presque chaque soir, il se faisait projeter des films en privé. Le service de table était dans la plus belle porcelaine de Meissen, chaque assiette, soucoupe et tasse gravée d’un A. H. doré et d’un swastika ». Robert Payne,The Life and Death of Adolf Hitler, op. cit.,p. 346-347.
[26]Dans ses Mémoires, Albert Speer écrivit que, dès que Hitler découvrit le goût du caviar, il en mangea « d’un bel appétit [...] à pleines cuillères », jusqu’à ce qu’il apprenne par Kannenberg combien c’était cher. Bien que la dépense ait été insignifiante comparée au train de vie de la chancellerie, Hitler rejeta le caviar, une extravagance car « l’idée d’un Führer mangeant du caviar lui était insupportable ». Albert Speer,Au coeur du Troisième Reich,Paris, Fayard, 1971, p. 184.
[27]Robert Payne,The Life and Death of Adolf Hitler, op. cit.,p. 346. Dans les derniers jours de la guerre, Hitler vivait pour son repas favori du jour : chocolat et gâteaux. Robert Waite écrit : « Si dans les premiers temps il mangeait au plus trois parts, il faisait maintenant remplir son assiette trois fois. Il disait qu’il ne mangeait pas grand-chose au dîner, qu’il pouvait donc manger plus de gâteaux. » Robert G. L. Waite,The Psychopathic God Adolf Hitler, op. cit.,p. 479.
[28]Ian Kershaw,Hitler, 1936-1945 Nemesis, op. cit., p. 397, 399.
[29]Ralph Meyer, « The «Hitler Diet» for Disease and War », p. 1.
[30]Ian Kershaw,Hitler, 1936-1945Nemesis, op. cit.,p. 571. « Les plus forts imposent leur volonté, déclara Hitler, c’est la loi de la nature. » Hugh Gregory Gallagher,By Trust Betrayed, Patients, Physicians, and the License to Kill in the Third Reich, op. cit.,p. 53.
[31]Peter Sichrovsky,Born Guilty, Children of Nazi Families,New York , Basic Books, 1988, p. 169. Pour éliminer tout ce qui pouvait en eux être faible ou gentil(gentle), certains membres des SS devaient élever un berger allemand pendant douze semaines, puis étrangler le chiot devant un officier. Boria SAX,Animals in the Third Reich, Pets, Scapegoats, and the Holocaust, op. cit.,p. 169.
[32]Ian Kershaw,Hitler, 1936-1945 Nemesis, op. cit., p. 285.
[33]Selon James Serpell, parmi les nazis amoureux des chiens, il y avait Göring, Goebbels, Hess et l’amiral Dönitz. James Serpell,In the Company of Animals, A Study of Human-Animal Relationships, Londres, BasilBlackwell,1986, p. 33.
[34]Max HORKHEIMER et Theodor W. ADORNO,Dialectik der Aufklärung. Philosophische Fragmente,Francfort-sur-le-Main, Fischer, 1969, p. 270. Je suis reconnaissant au docteur Roberta Kalechofsky, de Jews for Animal Rights (JAR), d’avoir attiré mon attention sur cette référence.
ANNEXES RÉHABILITANT LE RAPPORT CAMPBELL SUR LES VERTUS DU VÉGÉTA_ISME:

«Santé Nature Innovation» fait de la diffamation mensongère sur le rapport Campbell. La créatine https://www.fitadium.com/fitipedia/alimentation/supplements/creatine/ et la taurine https://fr.wikipedia.org/wiki/Taurine sont constituées d’acides aminés. Le corps humain est capable de synthétiser la créatine et la taurine à partir des acides aminés. On trouve tous les acides aminés essentiels et NON essentiels dans maints végétaux, et en quantité suffisante dans certains végétaux, y compris pour permettre au corps humain de synthétiser 100% de sa créatine et de sa taurine. Dans la nature, il n’existe aucune protéine totalement dépourvue en un ou plusieurs acides aminés. Le corps humain est capable de synthétiser les acides gras oméga-3 à chaînes longues (EPA et DHA) à partir des acides gras oméga-3 à chaînes courtes (ALA) présents dans maints végétaux. http://vegecru.com/omega3 Contrairement à ce que dit «Santé Nature Innovation», dans les pays asiatiques et les pays émergents (dont les chinois), la consommation de viande (y compris dans les villes rurale de Chine) est l’une des causes du cancer http://documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/47607/Cancero_dig_2012_3_140_144.pdf Accuser le Rapport Campbell de ne pas avoir vérifié si le régime alimentaire de ses sujets, c’est une affirmation sans preuve et sans fondement; pas + que d’accuser «Santé Nature Innovation» de ne pas vérifier l’indépendance de ses Sources.
Jérémy FOURESTIER a fait une critique faussement scientifique contre le Rapport Campbell

P 7: Les rats avec 5% de caséine (tous types confondus) dans leur alimentation ne déclarent pas de cancer, mais ceux à 20% de caséine (d’origine animale) déclarent des cancers hépatiques. Une carence en protéines est dangereuse pour la santé. Donc pour être en bonne santé, il faut consommer suffisamment de protéines végétales ou bactériennes. Le Rapport Campbell dit justement que les protéines végétales sont meilleures pour la santé que les protéines animales.

P 64:

La chair animale mal conservée rend malade beaucoup + facilement que les végétaux mal conservés. Dès qu’on arrête de surveiller les humains, le travail est souvent mal fait. Donc on peut en conclure qu’il vaut statistiquement mieux pour la santé avoir une alimentation complète végétale (avec bactéries) que d’avoir une alimentation carnée, si on souhaite être en bonne santé.

Une diminution des protéine ne réduit pas le risque d’attraper le virus de l’hépatite B, mais elle réduit la longévité de ce virus qui finira par mourir de faim. Par conséquent, le taux d’hépatite B sera réduit.

Le fait qu’un pays se développe est une cause qui a pour conséquences une augmentation de la consommation de chocolat et une augmentation des prix Nobel. Le fait d’augmenter la consommation de viande est une cause qui a pour conséquences l’augmentation du mauvais cholestérol et la dégradation de la santé du consommateur; c’est ce qu’explique le Rapport Campbell.

Les variétés de blé très chargées en gluten ne sont pas forcément meilleures que la viande pour la santé. Mais les variétés naturelles de blé (et peu chargées en gluten et en prolamine et à IG bas) sont largement meilleures pour la santé, à fortiori si elles sont germées… à condition bien-sûr qu‘elles ne soient pas polluées.

Si on clique sur le lien n°6 https://www.ctsu.ox.ac.uk/~china/monograph/Mono_Mortality.pdf de la vidéo n°2, il ne mène pas à la prétendue étude chinoise pro-carniste, mais ce lien ne mène à rien du tout. Jérémy ne cite pas correctement ses sources, et donne volontairement de fausses références.

Les lipides ou graisses d’origine végétale sont meilleures pour la santé que les lipides ou graisses d’origine animale.

Le fait de raffiner ou de transformer un produit le rend moins bon pour la santé, dans la plupart des cas. Cela n’empêche pas le fait que les produits animaux sont moins bons pour la santé que les produits végétaux.

Un régime alimentaire paléolithique est meilleur pour la santé qu’un régime omnivore standard, mais moins bon pour la santé qu’un régime végéta_ien de qualité.

La plupart des liens références de Jérémy Fourestier mènent soit à rien du tout soit à des études qui n’ont pas de rapport avec ce qu’il dit (et parfois trop nombreuses pour pouvoir être toutes lues).

Le régime alimentaire paléolithique est une version «édulcorée» de l’industrie de la viande.
¤ RÉFÉRENCES ET ÉTUDES SCIENTIFIQUES SUR LA NOCIVITÉ DE LA CHAIR ANIMALE (DONT LES POISSONS MÊME NON POLLUÉS) MÊME SI LES ANIMAUX CONSOMMATEURS ONT LES DENTS POINTUES: (XVI\XVI)

¤ Rapport Campbell:
* https://www.changersoncorps.com/regime-campbell/ «Dans une étude sur des animaux, chaque animal ayant consommé 20% de protéines animales avait développé un cancer et aucun animal ayant consommé 5% de protéines animales n’a développé de cancer.» Mais il y a une exception. Il est conseillé à tout bébé animal de consommer du lait maternel provenant de son espèce, si son espèce produit du lait, même si le lait est très protéiné.

Le régime Campbell, que je suis depuis plus d’un mois maintenant, est celui que je trouve le plus scientifique et le plus naturel et je voudrais le partager avec vous.Il s’appuie sur une étude faite en 1980 sur 6500 personnes en Chine et des recherches épidémiologiques ou en laboratoire. Sa préconisation est de ne manger que des aliments complets d’origine végétale.
Voici l’étude originale, les études complémentaires et la pratique de ce régime entièrement végétal.
The China Study ou le rapport Campbell
⦁ Colin Campbell, né en 1934 et professeur à l’université Cornell, est un biochimiste nutritionniste américain, né dans une ferme et élevé au lait et à la viande de vache. En 1980, il conduit en Chine une étude portant sur le comportement alimentaire de 6500 personnes vivant dans 65 comtés, soit 100 personnes âgées de 35 à 64 ans dans chaque ⦁ comté. Elles notaient leurs consommations journalières et des analyses de leur sang et de leurs urines étaient effectuées régulièrement. Voici les principales conclusions de cette étude :
⦁ La viande favorise les maladies cardiaques et le cancer.
⦁ La caséine du lait est un des aliments les plus cancérogènes et favorise des maladies auto-immunes comme la sclérose en plaque.
Des études complémentaires
Colin Campbell a voulu comprendre le pourquoi du comment et s’est intéressé aux protéines animales dont la caséine, une protéine du lait. Il a étudié aussi l’influence de ce régime sur les maladies de cœur et le cancer. Voici quelques données importantes :
⦁ Un régime pauvre en viande et en ⦁ graisse, couplé avec de l’⦁ exercice, guérit le diabète dans 85 % des cas en un mois.
⦁ Les fruits et de ⦁ légumes, grâce à leurs antioxydants (Vitamine C et E) font baisser le risque d’infarctus de 22% avec 3 portions par jour.
⦁ Des études ont montré les bienfaits du poisson sur les maladies cardiovasculaires, bien que ses protéines aient un effet non négligeable sur le cholestérol, tout comme les protéines animales.
⦁ Dans une étude sur des animaux, chaque animal ayant consommé 20% de protéines animales avait développé un cancer et aucun animal ayant consommé 5% de protéines animales n’a développé de cancer.
⦁ Un lien existe entre le cancer de la prostate et la quantité de viande ingérée, par l’augmentation de l’IGF1, une hormone proche chimiquement de l’insuline. Les protéines animales et le calcium en excès, comme dans le lait, empêchent aussi la production de vitamine D «activée».
Voici quelques maladies que ce régime peut améliorer ou soigner : acné, affection pulmonaire chronique, arthrite rhumatoïde, calculs biliaires et rénaux, maladie chronique de rein, cancer : utérin et endométriose, colorectal, prostate (cancer et hypertrophie), estomac, foie, poumon, pancréatique, cataracte et dégénération de la macula, colite ulcérative, diabète (type 1 et type 2), hypertension, hypercholestérolémie, maladie d’Alzheimer, de Crohn et de Parkinson, obésité, reflux gastrique (GERD), sclérose en plaques, ulcères.
Dans son livre “Le régime Campbell”, Colin explique sa difficulté à faire des études “holistiques” et non réductionnistes qui pensent qu’il faut une démonstration de cause à effet dans le corps pour prouver une théorie. Il montre aussi la collusion entre les lobbies de l’industrie agroalimentaires et le monde médical.
Son fils Thomas, médecin qui a participé à l’aventure chinoise, a récemment publié un livre “The China Study solution” détaillant la démarche à suivre. Je me suis naturellement appuyé sur ses écrits pour la suite.
Passer à l’action
Vous avez envie de commencer ? Voici ce que vous pouvez manger et ne pas manger en fonction de votre motivation.
Être motivé
La motivation vient de la satisfaction de vos besoins importants. Répondez aux 6 questions suivantes pour tester vos chances de réussite :
⦁ Vous avez des raisons personnelles justifiant un désir profond de changer votre ⦁ alimentation (poids, santé…) ?
⦁ Vous avez minimisé les obstacles (environnement, intellectuel et physique) ?
⦁ Vous avez les ressources nécessaires et confiance en vous pour changer de régime ?
⦁ Vous avez confiance dans votre nouveau régime et croyez en ses bienfaits ?
⦁ Votre régime est congruent avec votre image de soi et vos valeurs ?
⦁ Vous êtes soutenus par votre environnement personnel ou social ?
Ainsi, vous vérifiez que vos besoins d’autonomie, d’avoir confiance dans vos capacités de changement et de connexion avec votre entourage sont remplis. Si ce n’est pas le cas, revoyez vos besoins fondamentaux, vos objectifs et vos ressources éventuelles. Si c’est le cas, lisez la suite.
Ne manger que des aliments complets d’origine végétale
Colin Campbell et son fils divisent le monde nourricier en trois : les aliments d’origine animale, les aliments d’origine végétale transformés et les végétaux complets. Les aliments d’origine animale contiennent plus de cholestérol et moins de fibres que les aliments complets. Les aliments transformés contiennent moins de Calcium, de Fer et de vitamines. Leur régime conseille donc : les céréales complètes, tous les fruits et les légumes dont les légumineuses.

¤ Davantage le CHAT et le chien mangent de la chair animale (dont des protéines animales), davantage ils tombent malades et meurent tôt.
* http://david.olivier.name/fr/sur-l-alimentation-vegetarienne-des-chats-et-des-chiens
Le système digestif et le métabolisme (aptitude à utiliser et à transformer les aliments) d’un animal carnivore s’adaptent par la force des chose à son alimentation – tant bien que mal, car une alimentation très carnée est toujours déséquilibrée. En particulier, chez le chat, qualifié contrairement au chien de «carnivore exclusif», les reins sont lourdement sollicités par la grande quantité d’azote (protéines) à éliminer. Dans les conditions difficiles de la nature, un chat vit rarement plus de cinq ou six ans, et ses reins peuvent tenir le coup ce temps-là; mais en appartement, où il peut vivre plus de quinze ans, ce sont en général les reins qui lâchent en premier, et, les vétérinaires le disent, «le chat meurt par les reins». Aucun vétérinaire sensé ne recommanderait pour un chat un régime aussi riche en protéines que celui qu’il aurait dans la nature; le régime «naturel» pour un chat n’a aucune raison d’être le meilleur pour lui. Bien au contraire, les vétérinaires sont souvent obligés de se battre pour faire admettre aux gens que leur chat est malade parce qu’il mange trop de viande pure – un tel régime est pire encore pour eux que leur régime «naturel», qui comporte une certaine quantité de plantes (au moins le contenu de l’estomac des proies), et aussi des os.

¤ On trouve de la taurine dans certaines algues, il suffit de choisir les bonnes algues ou de les diversifier:
* http://www.jstor.org/stable/4277749?seq=1#page_scan_tab_contents Des concentrations exogènes de 10 μM à 1 mM de l’acide aminé non protéique taurine ont stimulé la libération de photosynthétate par l’algue dinoflagellée Symbiodinium, fraîchement isolée de l’anémone de mer Aiptasia pulchella. La libération de photosynthétate, induite par la taurine et l’extrait animal, était métaboliquement équivalente aux deux concentrations en ce qu’elle (a) stimulait la libération de photosynthétate dans la même mesure et (b) induisait la libération sélective d’acides organiques dérivés photosynthétiquement. Un mélange complexe d’acides aminés à 75 mM a également favorisé la libération de photosynthétate, mais le taux de libération a été réduit de 34% après l’omission de taurine (3 mM) du mélange, suggérant qu’une grande partie des acides aminés était en grande partie attribuable à la taurine . La taurine exogène marquée au 14C a été absorbée par les cellules et plus de 95% du 14C internalisé a été récupéré sous forme de taurine, indiquant que la libération de photosynthétate induite par la taurine ne dépendait pas du métabolisme de la taurine. L’absorption de taurine et la libération de photosynthétate induite par la taurine par Symbiodinium présentaient une cinétique de saturation, mais avec des valeurs de Km significativement différentes de 68 et 21 μM, respectivement. La différence dans les valeurs Km est compatible avec l’hypothèse que Symbiodinium possède un transducteur de signal taurine responsable de la libération de photosynthétate et distinct du transporteur de la taurine.
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¤ L’impact des flavonoïdes des fruits sur la mémoire et la cognition:
* https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20955649&prev=search
Br J Nutr. 2010 Oct; 104 Suppl 3: S40-7. Doi: 10.1017 / S0007114510003934.
L’impact des flavonoïdes des fruits sur la mémoire et la cognition.
Spencer JP 1 .
Informations sur l’auteur
1
Groupe de nutrition moléculaire, École de chimie, alimentation et pharmacie, Université de Reading, Reading, Royaume-Uni. Jpespencer@reading.ac.uk
Abstrait
Les études portant sur le potentiel des aliments riches en phytochimiques sont très intéressantes pour prévenir la neurodégénérescence liée à l’âge et le déclin cognitif. Des preuves récentes ont révélé qu’un groupe de composés dérivés de plantes connus sous le nom de flavonoïdes peut exercer des actions particulièrement puissantes sur la cognition des mammifères et peut renverser les diminutions liées à l’âge dans la mémoire et l’apprentissage. En particulier, les données suggèrent que les aliments riches en trois sous-groupes spécifiques de flavonoïdes, les flavanols, les anthocyanines et / ou les flavanones possèdent le plus grand potentiel d’action sur les processus cognitifs. Cet examen met en évidence les preuves des actions de ces flavonoïdes, les plus connus dans les fruits, tels que les pommes, les baies et les agrumes, les comportements cognitifs et l’architecture cellulaire sous-jacente. Bien que les mécanismes précis par lesquels ces flavonoïdes agissent dans le cerveau demeurent non résolus, le présent examen se concentre sur leur capacité à protéger les neurones vulnérables et à améliorer la fonction des structures neuronales existantes, deux processus connus pour être influencés par les flavonoïdes et également connus pour soutenir les neuro- Fonction cognitive. Plus particulièrement, nous discutons de leurs interactions sélectives avec les cascades de signalisation de la protéine kinase et des lipides kinase (c’est-à-dire les voies de protéine kinase activées par phosphoinositide-3 kinase / Akt et activées par mitogène), qui régulent les facteurs de transcription et l’expression des gènes impliqués dans la plasticité synaptique et le flux sanguin cérébrovasculaire. Dans l’ensemble, l’examen tente de donner une idée initiale de l’impact potentiel de la consommation régulière de fruits riches en flavonoïdes sur des détériorations normales ou anormales des performances cognitives.
PMID:
20955649
EST CE QUE JE:
10.1017 / S0007114510003934
[Indexé pour MEDLINE]

¤ Manger de la chair animale rend le consommateur violent:
* + la quantité chaire animale (notamment la viande) est réduite, + la violence diminue. L’étude a été faite sur des milliers d’individus. Voir le lien http://come4news.com/la-viande-un-facteur-de-violence/ L’article est copié-collé ci-dessous. La viande, un facteur de violence ? Posté par jacqueline armand | 4, Août, 2008 | Ecologie, Animaux, Nature | 12 | Différents chercheurs se sont penchés très sérieusement sur le lien que pouvait avoir la violence et l’abus de viande. Les résultats de ces études sont manifestement impressionnants et révélateurs. Lorsqu’on compare le monde animal avec l’homme, on se rend compte que celui-ci se rapproche le plus des herbivores que des carnivores et en sachant que l’espèce animale la plus proche de nous est le singe et cette espèce ne mange pas de viande ! L’intestin d’un carnivore mesure 4 à 5 fois la longueur de son corps tandis que chez l’homme cette longueur est 10 à 12 fois plus. Des études ont démontré que cette longueur favorisait la libération de certaines toxines et autres purines qui sont alors absorbés par les intestins pour ensuite passer dans le sang. La viande, en plus de ses effets néfastes sur la santé, la également des effets négatifs sur le comportement d’un consommateur de viande. Aux Etats-units le professeur de sociologie au campus Stanislas de la californa State University, Stephen J. Schoenthaler a effectué une expérience fort enrichissante dans un établissement carcéral de la Virginie. Pendant une durée précise on a servi aux prisonniers une alimentation composée exclusivement de poissons, de viandes maigres, de légumes, de pain complet et de fruits. Les conséquences de cette alimentation ont été rapides et positives puisque les violences verbales et physiques ont diminuées. Mais lorsque l’alimentation fut redevenue habituelle les violences reprirent aussitôt, certains diront une simple coïncidence. Mais Stephen J. Schoenthaler a approfondi ses recherches puisqu’il fit également une expérience sur 8000 adolescents violents répartis dans 8 établissements différents. Pour l’expérience, dans chaque établissement, la viande a été réduite, les légumes et les céréales augmentés ainsi que le retrait de tout distributeur de sodas et de barres chocolatées. Là aussi meme constatation que dans l’établissement carcéral les violences diminuèrent aussitôt. Mais il n’est pas le seul, et heureusement, à se pencher sur ce lien entre la violence et l’abus de viande. Si l’on regarde les journaux télévisés, si l’on écoute la radio ou si l’on lit la presse écrite on constate que la violence est de plus en plus importante et elle touche de plus en plus jeune. Alors pourquoi ne pas se pencher sur le fait qu’il existe peut-être un lien entre l’abus de viande et la violence pour ainsi tenter de réduire une partie, même infime, d’actes violents en sachant bien-sur qu’il existe de nombreux autres facteurs !
* PREUVE CLINIQUE SUR LE FAIT QUE MANGER DE LA CHAIR ANIMALE REND LE CONSOMMATEUR AGRESSIF: Concernant un article du magazine nutrithérapie, visible dans https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15213592 voici un extrait: » La leucine active des voies menant à l’insulino-résistance et elle bloque le passage dans le cerveau du tryptophane. La leucine et les autres acides aminés dits «branchés» qui dominent dans la viande, entrent en compétition au niveau de l’entrée dans le cerveau par la barrière hémato-céphalique avec le tryptophane. Le tryptophane est l’acide aminé qui permet au cerveau de produire la sérotonine et la mélatonine. La sérotonine a pour rôle le contrôle des pulsions et la mélatonine est le chef d’orchestre de la chronobiologie. Autrement dit, manger trop de viande, de produits laitiers et de maïs rend impatient, intolérant aux frustrations, irritable, agressif, perturbe le sommeil et augmente les risques de dépendance au sucré, à l’alcool et au tabac, qui tous sont identifiés par la personne comme calmants car ils remontent la sérotonine. »
* Par ailleurs, le FBI a trouvé une corrélation entre le fait de tuer des animaux et le fait de commettre des crimes envers des humains ETUDE SCIENTIFIQUE visible dans le lien https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15213592
1594/5000
Une étude sur la lutte contre le feu et la cruauté envers les animaux chez les enfants: influences familiales et résultats des adolescents.
Becker KD1, Stuewig J, Herrera VM, McCloskey LA.
Informations sur l’auteur
Abstrait

OBJECTIF:
Enquêter sur les relations entre les facteurs de risque familiaux, la lutte contre la fête de l’enfance et la cruauté envers les animaux, et la délinquance chez les adolescents.

MÉTHODE:
En 1990, les mères et les enfants qui ont participé à une étude prospective de 10 ans ont fourni des informations sur les facteurs de risque familiaux et les comportements problématiques pour l’enfance. Les entrevues subséquentes avec 86% de l’échantillon en 1996 et 1998 et les examens des dossiers judiciaires en 2000 ont fourni des informations sur la délinquance juvénile.

RÉSULTATS:
La violence conjugale (odds ratio [OR] 2,4, 95% d’intervalle de confiance [IC] = 1,1-5,4), l’abus paternel pour animaux de compagnie (OR 2,4, CI = 1,0-5,6) et la consommation paternelle (r = 0,14) ont été liés à la sécheresse du feu, Alors que l’exposition à la violence conjugale (OR 2.3, CI = 1.0-5.1) et paternelle (r = 0.19) et l’éducation maternelle dure (r = 0.14) ont été associées à la cruauté envers les animaux. Les analyses de régression ont indiqué que, après avoir contrôlé le trouble de la conduite, les incendies étaient 3,0 fois (CI = 1,3-6,7) au risque de renvoi des mineurs et 3,3 fois (IC = 1,4-7,6) à risque d’être arrêté pour un crime violent. L’analyse des auto-rapports de délinquance a répliqué ces résultats. La cruauté envers les animaux était liée à des crimes violents autodéclarés (β = 0,16).

CONCLUSION:
Ces résultats indiquent que les variables familiales augmentent la probabilité de la lutte contre le feu et la cruauté envers les animaux et que ces comportements sont liés à la délinquance chez les adolescents.

¤ Rapport du Professeur Colin CAMBELL:
* http://www.amazon.fr/Le-Rapport-Campbell-internationale-nutrition/dp/2896260382 (Acheter rapport Campbell

* https://www.changersoncorps.com/regime-campbell/
Un régime pauvre en viande et en graisse, couplé avec de l’exercice, guérit le diabète dans 85 % des cas en un mois.
⦁ Dans une étude sur des animaux, chaque animal ayant consommé 20% de protéines animales avait développé un cancer et aucun animal ayant consommé 5% de protéines animales n’a développé de cancer.
⦁ Un lien existe entre le cancer de la prostate et la quantité de viande ingérée, par l’augmentation de l’IGF1, une hormone proche chimiquement de l’insuline. Les protéines animales et le calcium en excès, comme dans le lait, empêchent aussi la production de vitamine D «activée».

* http://www.lepalaissavant.fr/bien-manger-8-principes-issus-de-40-ans-detudes-le-rapport-campbell/
Bien manger ? 8 principes issus de 40 ans d’études (Le rapport Campbell)
Publié le 31 mars 2013 par Cécile | 16 Commentaires
En matière d’alimentation, nous sommes souvent confrontés à un flot d’informations contradictoires et changeantes. A qui doit-on se fier? Difficile de connaître les lobbies qui se cachent derrière le financement de telle étude, de ne pas se laisser emporter par les «modes alimentaires» ou d’avoir le recul nécessaire sur notre propre alimentation pour en tirer des conclusions efficaces. Dans ce grand flou, des études comme «Le rapport Campbell» (The China Study) apportent une lumière précieuse.

Le rapport Campbell est l’étude la plus complète et la plus longue jamais menée en matière de santé et de nutrition. L’aboutissement de cette étude de plus de 35 ans menée en partenariat avec l’Université d’Oxford, l’Université de Cornell et l’Académie chinoise de médecine préventive est d’une richesse exceptionnelle.
Voici, pour vous, les «Huit principes sur l’alimentation et la santé» que nous propose cette recherche. Ces principes ne sont pas seulement des préconisations concrètes pour notre assiette mais également des logiques en matière de santé, qu’il est capital de comprendre, pour être judicieusement et efficacement informé.
Ces principes viendront considérablement enrichir vos connaissances et votre approche de l’alimentation, pour des résultats encore plus visibles et concrets.
Principe n°1: En matière de nutrition, n’isolez pas des nutriments ou des aliments, le tout l’emportera toujours sur la somme des parties

A chaque fois que nous mangeons, nous introduisons un «package» de nutriments dans notre corps. C’est un mélange complexe formé par tous les aliments qui ont composé le repas que nous venons de manger. Dès que vous avalez une bouchée, les substances chimiques qui composaient votre repas se lient entre elles, interagissent entre elles et avec votre corps d’une manière unique et très précise.
Penser notre alimentation selon un nutriment ou une substance chimique particulière est une approche bien trop simpliste.
Notre corps réagit à chaque bouchée grâce à un réseau infiniment complexe, de façon à utiliser ce qui lui est profitable et à éliminer ce qui ne l’est pas. Se rassurer en pensant que nous pouvons faire des compartiments de «bons» aliments et de «mauvais aliments» est un leurre car dans votre corps, tout se mélange et se transforme. Votre assiette est un tout. Si votre assiette est «mitigée» (des aliments nutritifs mais également des aliments que vous savez nocifs, que vous ne digérez pas correctement, que vous savez acides), vous aurez des résultats pour votre santé «mitigés».
Principe n°2: Les suppléments vitaminiques ne sont pas la solution

Certes, pour des cas comme la vitamine D qui demande une exposition au soleil qu’on ne peut pas toujours satisfaire, ils conseillent d’introduire quelques suppléments en hiver. Mais étant donné que la nutrition est un système biochimique infiniment complexe (voir principe n°1), prendre des nutriments isolés, a finalement peu ou pas de sens du tout.
L’industrie des compléments vitaminiques est énorme, et même si elle part d’un bon principe (valoriser les nutriments) elle se coupe de la logique corporelle: notre alimentation est un tout et une interaction de molécules chimiques. Pas des composés individuels, coupés du reste, faisant leur petite vie tous seuls. D’autant plus que, bien souvent, les consommateurs ne changent absolument pas leurs aliments habituels, en pensant que des compléments vitaminiques rattraperont le tout. Malheureusement, ce n’est pas ainsi que le corps fonctionne!
Cela ne veut pas dire que ces nutriments ne sont pas importants, car ils le sont, mais en les consommant sous forme de comprimés isolés, avec une alimentation qui n’est pas nutritive et saine, ils n’auront que très peu ou pas d’effet du tout.
Principe n°3: Il n’existe pratiquement aucun aliment végétal qui ne fournisse pas les mêmes nutriments, mais en mieux, que ceux fournis par les aliments d’origine animale

Cette question peut être perçue comme sensible ou dogmatique mais à la lumière dette étude, et de nombreuses autres, il est tout à fait correct d’affirmer que «la consommation de chair animale est très différente sur le pan nutritionnel que la consommation de végétaux». Pourquoi? Prenons un exemple très concret pour montrer cet écart. Le tableau ci-dessous présente une comparaison en matière de nutriments pour deux groupes d’aliments donnés à parts égales (500 calories). D’un côté, un groupe d’aliments d’origine animale (du bœuf, du porc, du poulet et du lait entier) et de l’autre, un groupe d’aliments d’origine végétale (tomates, épinards, haricots, petits pois et pommes de terre). Nous ne parlons pas d’aliments exotiques ou atypiques mais de produits très accessibles et très courants. Prenez le temps de comparer chaque ligne!
Nutriment Aliments d’origine végétale Aliments d’origine animale
Cholestérol (mg) 0 137
Matières grasses (lipides) (g) 4 36
Protéines (g) 33 34
Bêtacarotène (µg) 29919 17
Fibres alimentaires (g) 31 0
Vitamine C (mg) 293 4
Folate (µg) 1168 19
Vitamine E (mg_ATE) 11 0,5
Fer (mg) 20 2
Magnésium (mg) 548 51
Calcium (mg) 545 252
Ce tableau (extrait du rapport) nous montre à quel point les différences nutritionnelles sont grandes entre les aliments d’origine animale et les aliments d’origine végétale. Les aliments d’origine végétale renferment bien plus de vitamines, de fibres et de minéraux que les aliments d’origine animale. Ces derniers sont même «presque complètement privés de ces nutriments». Par contre, ils renferment beaucoup plus de cholestérol et de graisses, là où le bât blesse. En matière de protéines, les deux catégories d’aliments sont ex-æquo (légèrement plus pour les animales), ce qui permettra encore une fois, de dissiper le «faux débat» des carences en protéines si vous réduisez ou arrêtez votre consommation de viande. Seule exception en faveur des aliments d’origine animale: la vitamine B12, plus importante dans la viande.
Cela ne veut pas dire que les aliments d’origine végétale ne soient pas gras. C’est au niveau de la qualité que réside la différence. Par exemple, des aliments comme les amandes ou les graines de sésame sont très gras et plein de protéines. Alors qu’un produit dérivé des animaux, comme le lait écrémé, a très peu de graisses. Mais si on regarde de près, les graisses et les protéines végétales sont bien meilleures pour la santé et en plus, elles sont toujours accompagnées de ce superbe «package» de cadeaux: nutriments, antioxydants, fibres. De quoi bien digérer, bien assimiler et en plus, continuer à investir dans votre capital santé à long terme.
Comprendre ce principe, cela change radicalement notre perception de l’alimentation. D’autant plus en Occident, où la viande et ses produits dérivés ont une place centrale, statut qui n’est ni logique pour notre santé, ni mérité. Mais au même temps, ce principe vous ouvre des portesinouïes: la découverte, la transformation, la capacité à changer notre perception de l’alimentation, la capacité à dépasser nospréconçuset nos habitudes familiales, culturelles, routinières.
Principe n°4: C’est l’alimentation qui active, ou pas, nos gènes et les maladies qu’ilsentraînent

Mon principe préféré! Le comprendre changera votre vie et vous permettra de prendre du recul sur les discours actuels sur le rôle des gènes et leur impact sur notre vie. Désormais, on parle du gène de l’obésité, du cancer, de l’addiction et tant d’autres. Une façon de nous déresponsabiliser («mais je n’y peux rien, c’est dans mes gènes!») et de voir le corps comme un machine froide, où tout serait déjà prédéfini, grâce à ce fameux code génétique hérité.
Pourtant, la nuance que je vais introduire est immense. Oui, toute maladie est d’origine génétique. Car toute l’information existante sur notre corps est dans nos gènes: le bon comme le mauvais. Mais on passe sous silence le point le plus crucial et le plus intéressant: tous les gènes ne sont pas activés dans notre corps et ce pendant toute notre vie. Et oui! Certains de nos gènes resteront muets, à l’état «biochimique latent» et n’auront aucune incidence sur notre santé. Même si le potentiel était là. D’autres s’activeront et joueront un rôle majeur dans notre vie, notre bonheur, notre santé ou nos souffrances. Qu’est-ce qui fait que certains gènes restent inoffensifs et muets, alors que d’autres décident de s’exprimer? Ce n’est pas le hasard, ni votre chance, ni votre destinée. C’est notre environnement qui décide et surtout, notre alimentation. VOUS avez tout le pouvoir.
Par exemple, les gènes qui causent le cancer sont fortement affectés et «titillés» par notre consommation de protéines. Pendant les longues recherches du rapport Campbell, ils ont constaté qu’ils pouvaient bloquer ou au contraire activer les mauvais gènes (source de maladie) en jouant uniquement sur les modifications de protéines consommées. Plus vous consommez de protéines animales (viande + produits laitiers + œufs), plus vous développerez des cancers. Et la réponse n’est pas la même pour les protéines végétales, qui lors des études, n’ont déclenché aucune croissance du cancer.
Même si nos gènes sont cruciaux pour comprendre l’histoire de l’humanité et l’histoire de notre propre corps, finalement, l’activation des gènes est une histoire bien plus passionnante et décisive. Dans cette histoire, il n’est plus question de subir ou d’être victime de son héritage génétique: mais d’assumer et célébrer le fait que nous sommes les créateurs directs de notre corps, de notre santé et de nos possibilités actuelles et à venir.
Principe n°5: L’alimentation peut contrôler les effets des substances chimiques nocives

Qu’est-ce que cela veut dire et implique? Premièrement, que nos études portent trop souvent sur les fameuses substances chimiques qui causent le cancer (acrylamide, édulcorants artificiels, nitrosamines, nitrites, aflatoxine, etc.). Bref, beaucoup de noms très compliquées pour des substances à l’évidence chimiques et nocives qui seraient responsables des cancers. On les imagine se frayer un passage insidieux dans notre corps et déclencher la maladie. Pourtant, même si l’histoire est pleine de suspens, ce n’est pas ainsi qu’elle se passe. C’est beaucoup plus classique et logique.
Une maladie chronique comme le cancer prend de nombreuses années pourcroîtreet se développer. Et notre alimentation a un grand rôle à jouer dans cette histoire. Les substances chimiques sont plus anecdotiques que votre assiette, qui elle est capitale.
Parlons du cancer car c’est «la» maladie de notre époque. Les chercheurs sont arrivés à des conclusions qui valent largement la peine d’être relayées. Le cancer passe par plusieurs phases: l’initiation (première phase du développement) puis la phase de promotion (deuxième phase). Dans la deuxième phase, le cancer peut être bloqué ou accéléré par, vous l’aurez compris, l’alimentation!
L’espoir que ces études scientifiques fontnaîtresont égales à la prise de conscience qu’elles demandent. Notre bouche n’est pas un passage obscur qui peut tout accepter, tout digérer, tout pardonner. Même un chienrefuseraitune nourriture qui ne lui parait pas bonne pour lui! Mais nous les hommes, nous acceptons d’avaler une grande quantité de tout et de n’importe quoi. N’est-ce pas paradoxal?
Principe n°6: L’alimentation qui prévient la maladie dans ses premiers stades (avant le diagnostic) est la même qui arrête ou inverse la maladie dans ses stades supérieurs (après le diagnostic)

Encore une fois, qu’est-ce que cela implique? Comme le rappelle l’auteur, il vaut la peine de répéter qu’une maladie chronique prend plusieurs années à se former. Quel degré d’années? Par exemple, pour le cancer du sein, on estime qu’en général celui-ci commence à l’adolescence et n’est décelable qu’à la ménopause! Est-ce que la conclusionest: mangeons et buvons n’importe quoi, en grand excès, car de toute façon nous sommes condamnés? Live fast, die young ? Oh non! Car un cancer déjà initié, peut être ralenti, arrête ou même inversé par une bonne alimentation.
Leur conclusion finale est sans appel: «une alimentation végétarienne, accompagnée de céréales complètes, peut inverser le cours d’une maladie chronique, aider les personnes obèses à perdre leur surpoids, et les diabétiques à laisser tomber leurs médicaments et à retrouver la vie normale qu’ils avaient auparavant». «Les recherches ont aussi démontré qu’un mélanome avancé, cette forme fatale de cancer de la peau, peut être atténué et inversé par des modifications du mode de vie».
Bien sûr, il y a des maladies comme les maladies auto-immunes (celles où le corps se retourne contre lui-même) qui peuvent être irréversibles. Mais même dans cette catégorie très difficile et quasi sans espoir, certaines maladies se sont avérées être ralenties ou atténués par l’alimentation. Des exemples? La sclérose en plaques ou encore la polyarthrite chronique.
Bref, quelques grammes de prévention valent largement des kilos de guérison (et de souffrance).
Principe n°7: Une alimentation qui est bénéfique pour une maladie le sera pour toutes

Les maladies ont de nombreux traits communs, et même si une alimentation végétarienne avec des céréales complètes sera plus efficace pour traiter des maladies cardiaques qu’un cancer du cerveau, soyez en sur: cette alimentation n’arrêtera pas une maladie pour en favoriser une autre! Elle vous aidera sur tous les fronts, et bien au-delà (principe n°8).
Principe n°8: Une bonne alimentation génère la santé partout (mentale comme physique) car tout est interconnecté

Dans les recherches qu’ils ont menés sur des rats, ils ont constaté que les rats nourris avec des aliments à faible teneur en protéines étaient épargnés par le cancer, mais en plus, qu’ils avaient deux fois moins de cholestérol, plus d’énergie et ils faisaient spontanément deux fois plus d’exercice physiqueque les rats nourris avec des aliments très protéinés.
Cette alimentation vous rendra plus léger mais également plus énergique! Et si l’activité physique est facilitée et accentuée par cette nouvelle sensation, elle génèrera tous les bienfaits mentaux qu’on lui connait: bonne humeur, meilleur e concentration, confiance en hausse et motivation générale. Enfin, cerise sur le gâteau: en mangeant ce qui est positif pour notre santé, nous contribuons également à la santé de la planète. Les aliments d’origine végétale demandent énormément moins d’eau, moins de terres, moins de ressources et génèrent beaucoup moins de pollutions pour notre planète.
Laissez vous inspirer par ces principes, ne soyez pas trop durs avec vous-mêmes mais poussez vous à ouvrir les bras au changement, n’hésitez pas à partager vos connaissances (et nouvelles recettes!) avec des amis ou des membres de la famille qui souffrent de toutes ces maladies chroniques et surtout n’oubliez pas: santé rime avec plaisir, goût, amour de la cuisine et bonheur des papilles. Et vous pouvez tout avoir!:)

¤ La qualité du Rapport Campbell est confirmée par deux autres études relayées par le Figaro:
*** http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/03/11/22099-haro-sur-regimes-trop-riches-proteines-animales
Deux études ternissent la bonne image dont bénéficient dans les pays occidentaux les viandes et les laitages.
Meilleure disponibilité, diminution des coûts: viandes, poissons et laitages sont très présents dans les assiettes des pays occidentalisés. Ces aliments sont les principales sources deprotéinesanimales dont les effets à long terme sur la santé attirent de plus en plus l’attention des scientifiques. Cette semaine, ce sont deux études, parues dans la revueCell Metabolism, qui montrent qu’une alimentation riche en protéines favoriserait la survenue de cancers et diminuerait de manière im­portante l’espérance de vie.
Face à l’épidémie d’obésité qui sévit partout aujourd’hui dans le monde, les consommateurs ont été rendus très attentifs à leur consommation de sucres et de graisses, parfois jusqu’à stigmatiser ces nutriments pourtant essentiels. Les protéines bénéficient, elles, au contraire, d’une image très positive.La plupart des régimes amaigrissants leur font la part belle, à commencer par celui de Pierre Dukan, et de plus en plus de sportifs en ajoutent à leur alimentation pour améliorer performances et récupération. Les recommandations actuelles de 0,83 gramme de protéines par kilo de poids de corps sont souvent dépassées.
«Il est dangereux de penser que les protéines sont des molécules neutres, qui ne peuvent être que bénéfiques pour la ligne ou les muscles, prévient Florence Rossi, membre de l’Association française des diététiciens nutritionnistes, qui exerce en milieu hospitalier. La surconsommation de protéines peut avoir des effets directs sur le fonctionnement des reins et du foie, et l’on commence à mettre en évidence les effets à plus long terme.»
«Aussi dangereux pour la santé que la cigarette»
Une équipe de recherche italo-américaine https://www.cell.com/cell-metabolism/fulltext/S1550-4131(14)00062-X a étudié la consommation de protéines de citoyens américains suivis pendant près de vingt ans. L’analyse montre que les plus gros consommateurs de protéines animales avaient quatre fois plus de risques de mourir d’un cancer, par rapport à ceux qui avaient une alimentation pauvre en protéines animales. «Trop de protéines serait aussi dangereux pour la santé que la cigarette», concluent les chercheurs.
Les protéines sont connues pour stimuler la production d’une molécule, IGF-1, indispensable à la croissance mais qui contribue aussi au développement tumoral. «Les protéines ne déclenchent pas de cancers, mais IGF-1 favorise la croissance des cellules can­céreuses», précise Jean-Michel Lecerf, chef du service de nutrition de l’Institut Pasteur de Lille. De manière intéressante, les chercheurs montrent que la tendance s’inverse après 65 ans. Assurer des apports importants en protéines chez les seniors serait bénéfique, notamment car cela permet de lutter contre la perte osseuse et musculaire. «En vieillissant, la production d’IGF-1 diminue de manière importante, expliquent les auteurs de l’étude. Après 65 ans, il y a donc plus de bénéfices que de risques à manger plus de protéines.»
Privilégier les protéines végétales
Les scientifiques le soulignent: seules les protéines d’origine animale posent problème. «Nous avons délaissé les légumineuses et les céréales, très riches en protéines végétales au profit de la viande et des laitages notamment, rappelle Florence Rossi. Aujourd’hui, ces aliments reviennent doucement sur le devant de la scène et c’est tant mieux car ils sont très intéressants d’un point de vue nutritionnel.»
Ce que confirmele travail d’une équipe australienne. https://www.cell.com/cell-metabolism/fulltext/S1550-4131(14)00065-5 Soumises à différents régimes, les souris qui ont démontré la plus longue espérance de vie sont celles qui consommaient peu de protéines et plus de glucides. «C’est exactement ce qu’apportent les légumes secs et les céréales», relève Florence Rossi, qui souligne tout de même que ces aliments sont à con­sommer avec modération par les personnes en surpoids. «Il faut de toute façon éviter de modifier drastiquement son alimentation sans en discuter avec un spécialiste, conclut la diététicienne. Se nourrir est un acte fondamental qui a des effets bénéfiques ou néfastes sur notre santé, et cela ne peut en aucun cas reposer sur des effets de mode.»

¤ Nocivité des croquettes carnées:
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23639015 Identification des sources non déclarées d’origine animale dans les aliments secs canins utilisés dans les essais d’élimination alimentaire.
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28247445 Détection de l’ADN d’espèces animales non déclarées dans les régimes d’élimination commerciale pour les chiens en utilisant la PCR.
* https://actavetscand.biomedcentral.com/articles/10.1186/s13028-015-0097-z Investigation sur les teneurs en espèces animales des aliments humides populaires pour animaux de compagnie
* https://www.cdc.gov/salmonella/dog-food-05-12/ Épidémie multistatique d’infections humaines àSalmonellaInfantis liées aux aliments secs pour chiens (Mise à jour finale)
* https://www.fda.gov/Safety/Recalls/ucm539900.htm Evanger se souvient volontairement du morceau de boeuf en raison de l’exposition au pentobarbital dans un lot de nourriture
*https://www.fda.gov/AboutFDA/CentersOffices/OfficeofFoods/CVM/CVMFOIAElectronicReadingRoom/ucm129131.htm Food and Drug Administration / Centre de médecine vétérinaire Rapport sur le risque de Pentobarbital dans les aliments pour chiens
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17889389 Mycotoxines et l’industrie des aliments pour animaux de compagnie: preuves toxicologiques et évaluation des risques.
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24919718 Détermination des moisissures et des mycotoxines dans les aliments secs pour chiens et chats en utilisant la chromatographie liquide avec spectrométrie de masse et détection par fluorescence.
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17177480 Les mycotoxines dans les aliments pour animaux de compagnie: un examen de la prévalence mondiale et des stratégies préventives.
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24919718 Détermination des moisissures et des mycotoxines dans les aliments secs pour chiens et chats en utilisant la chromatographie liquide avec spectrométrie de masse et détection par fluorescence.
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18689873 Identification et caractérisation de la toxicité des contaminants dans les aliments pour animaux de compagnie entraînant une flambée de toxicité rénale chez les chats et les chiens.
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22735988 Facteurs liés au régime alimentaire et aux animaux associés au taux d’excrétion urinaire d’oxalate et de calcium chez les chiens et les chats.
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12589739 Effet de l’humidité alimentaire et de la teneur en sodium sur la composition urinaire et sur la sursaturation relative de l’oxalate de calcium chez les schnauzers et les ramasseurs labrador.
* https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11697365&prev=search Association entre les facteurs alimentaires et l’oxalate de calcium et la lithiase urinaire du phosphate d’ammonium et de magnésium chez les chats.
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9868257 L’effet de l’alimentation sur les maladies des voies urinaires inférieures chez les chats.
* https://academic.oup.com/ajcn/article-pdf/24/5/562/24186763/562.pdf Pertes en vitamines et oligo-éléments résultant du traitement et de la conservation des aliments
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12864905 Concentrations de taurine dans les ingrédients d’aliments pour animaux;la cuisson influence la teneur en taurine.
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26530877 Teneur en créatine et créatinine dans différents types de régimes pour chiens – effets de la source et de la transformation.
* https://www.youtube.com/watch?v=FYxIk7YnM4w https://academic.oup.com/jn/article-pdf/120/9/995/23984848/jn1200090995.pdf Effet du traitement sur le devenir de la [14C] taurine alimentaire chez les chats
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9160426 La concentration de créatine dans la viande, les abats et la nourriture commerciale pour chiens.
* https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/%28SICI%291097-0010%28199608%2971%3A4%3C520%3A%3AAID-JSFA612%3E3.0.CO%3B2-X Extruding vs Pelleting of a Feed Mixture Lowers Apparent Nitrogen Digestibility in Dogs
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25088431 La quantification des produits de réaction de Maillard dans les aliments pour animaux de compagnie disponibles dans le commerce.
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23916186 La réaction de Maillard et la transformation des aliments pour animaux de compagnie: effets sur la valeur nutritive et la santé des animaux de compagnie.
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8202552 Les produits finaux avancés de la réaction de Maillard sont associés à la pathologie de la maladie d’Alzheimer.
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23492561 La réaction de Maillard et les allergies alimentaires: y a-t-il un lien?
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24505139 L’ovalbumine modifiée avec la pyrraline, un produit de réaction de Maillard, montre une immunogénicité accrue des cellules T.
* https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00897708/document Les interactions entre les produits de réaction de Maillard, la microflore du tube digestif et métabolisme minéral
* http://journals.sagepub.com/doi/abs/10.1177/1082013207078524 Effects of Consumption of Maillard Reaction Products on Magnesium Digestibility and Tissue Distribution in Rats
* http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0035143 Effect of Dietary Advanced Glycation End Products on Mouse Liver
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17972438 La nourriture, et non les nutriments, est l’unité fondamentale de la nutrition.
* http://www.veterinaryworld.org/Vol.6/Sept-2013/10.pdf Does contemporary canine diet cause cancer? ; A review
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26400072 Digestibilité apparente des nutriments de deux régimes crus chez les chatons domestiques.
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28265505 Les principales familles bactériennes (Clostridiaceae, Erysipelotrichaceae et Bacteroidaceae) sont liées à la digestion des protéines et de l’énergie chez le chien.

⦁ ¤ Miracles de la chlorella VERSUS viande (même biologique) (même pour animaux pseudo-carnivores)



TÉMOIGNAGES

Mon vieux chat Cookie
Je voulais simplement vous dire à quel point la chlorella est bénéfique pour mon chat Cookie qui vient de fêter ses 17 ans ! Il prend 4 comprimés par jour et depuis il a retrouvé une meilleure motricité, la circulation à tous les niveaux est améliorée et même son humeur est plus stable !! Il a même perdu du poids car son appétit s’est régulé .. Merci à votre site et àvotre Naturopathequi y avait témoigné et que j’ai contacté.
Cordialement,
Valérie

Mieux être général
j’ai conseillé la chlorella à ma fille qui ronfle beaucoup depuis son enfance avec des apnées du sommeil. Elle se sent beaucoup mieux, alors que cela ne fait qu’une semaine.
Mon chien se grattait beaucoup et je lui en donne en même temps que moi: il adore et les réclame…et se gratte beaucoup moins.
Par ailleurs, je suis kiné-ostéo et expérimente beaucoup de compléments alim et labos afin de pouvoir conseiller mes patients:je pense pouvoir dire que votre chlorella estde qualité et efficace.
Clotilde

Un miracle pour notre chienne épileptique
Nous ne savons pas si c’est d’un intérêt quelconque pour vous, mais la chlorella a opéré un MIRACLE pour notre chienne recueillie et épileptique. Là encore, elle était condamnée ! Nous n’avons pas baissé les bras ! Nous avons donné de la chlorella petit à petit et l’avons soumise à notre régime mais avec viande bio car soit disant indispensable pour un carnivore !
Les crises étaient moins fréquentes mais néanmoins toujours terribles ! … Nous avons donc supprimé la viande et l’avons en quelque sorte remplacée par la chlorella ! Depuis que notre chienne prend 90 comprimés par jour, c’est-à-dire depuis août 2014, elle n’a plus jamais fait une seule crise !!! … Elle croque les comprimés de chlorela comme des friandises !
Danièle

Gatsby, vieux chien atteint d’un cancer de la rate
GRACE A LA CHLORELLA MON VIEUX CHIEN MALADE D’UN CANCER DE LA RATE A BIEN FINI SA VIE !
Les résultats obtenus avec la Chlorella sur la santé de notre vieux chien de berger anglais Gatsby nous ont convaincus des vertus médicales de cette petite algue précieuse. Nous en consommons depuis lors.
Gatsby est tombé malade en février 2010. Pour être honnête, ce ne fut pas vraiment une surprise, considérant l’âge avancé de notre chien. Il devint anémique et était constamment secoué de spasmes vomitifs. Un examen au scanner, nous a révélé qu’il avait des tâches sur la rate, il était atteint d’un cancer. Compte tenue de son âge, la chirurgie n’était pas envisageable. La seule solution pour le soulager fut de lui administrer de fortes doses de cortisone. Malheureusement il ne pu les supporter. Il tomba vraiment malade, vomissant sans cesse, se tordant de douleur et perdant tout ses poils.
Après deux semaines de ce traitement, et contre l’avis du vétérinaire, nous avons décidé de tout arrêter. Ne supportant plus de voir notre chier souffrir autant, nous devions dû nous résoudre à envisager l’euthanasie.
Ma mère, qui est nutritionniste, a réagi à notre décision et à proposer de faire un essai en mettant Gatsby sous Chlorella quelques temps. Elle utilise la Chlorelle en tant que complément alimentaire depuis de nombreuses années et ne tarie pas d’éloges sur les vertus médicales de cette petite algue.
Nous n’avions rien à perdre à essayer. Nous lui en avons donné 12 comprimés par jour de Chlorella.
A la fin de la 3ème semaine nous avons noté une amélioration de l’état de Gatsby. Il avait plus d’énergie, moins de spasmes et ses gencives avaient retrouvé une couleur rose, signe de la disparition de son anémie.
J’ai eu du mal à croire que c’était la Chlorella qui pouvait être responsable de cet effet, ce qui relevait plutôt du miracle ! mais j’ai dû me rendre à l’évidence, un an plus tard Gatsby, toujours sous Chlorella, son seul remède, était toujours en vie et il allait bien.
Le vétérinaire nous a confirmé que sa rate était à nouveau en bonne santé sans plus aucune tâche cancéreuse. Gatsby est très alerte pour son âge et il a retrouvé un bon poil.
Inutile de vous dire que maintenant toute la famille prend de la Chlorella, de même que le chat et notre autre chien!!
Michael

Alto, labrador de 9 ans, cancer de la rate
Mon chien a été diagnostiqué avec un cancer de la rate depuis début juin, il a 9 ans et le véto m’a juste donné du prévicox pour le soulager. Par contre il a repris à manger sa gamelle mais il se gratte énormément et parfois il tremble.Mon chien est un labrador de 36 kg. J’aimerai avoir plus d’information sur vos produits, merci car je suis un peu démunis de le voir dans cet état et je sais que le véto m’a dit qu’il ne pouvait pas grand chose pour lui, je l’aime mon chien…
Sylvie
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Bonjour,
Je viens vous redonnez des nouvelles de mon chien Alto.
Depuis quelques temps, je me posais des questions sur l’état de santé de mon chien qui va bien, alors qu’au mois de juin l’année dernière nous lui avons diagnostiqué un cancer de la rate.
Mercredi dernier, j’ai vu un autre vétérinaire en lui expliquant tout ce que j’ai fait pour Alto. Celui-ci m’a répondu que c’était bizarre car un chien avec un cancer de la rate, sa durée de vie est de 3 voir 4 mois.
Le vétérinaire lui a fait une échographie et là, je n’en croyais pas mes yeux, sa rate était propre et sans cancer, sans rien du tous, sauf qu’il a un rein un tout petit peu plus gros que la normal, c’est pour ça qu’il boit beaucoup après mangé…Sur sa prise de sang, tout est normal sauf un taux un tout petit plus élevé de calcium, voilà.
En tous cas je pense que la chlorella a beaucoup contribué à l’état de santé de mon gros toutou et je vous en remercie énormément. Je pense que sans vous avoir connu sur la toile, mon chien ne serait plus en vie actuellement.
Merci encore
Sylvie
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Bonsoir Sylvie
Je vous remercie pour votre message et d’avoir eu la gentillesse de me faire partager cette excellente nouvelle.
Je suis absolument ravie d’avoir contribué à la bonne santé de votre compagnon bien aimé.
Vous avez fait la même expérience que des personnes qui m’ont déjà témoigner leur grande surprise et gratitude vis-à-vis de la contribution extraordinaire de la chlorella sur leur animal de compagnie.
Permettez-moi de mettre votre témoignage sur le site?Faite connaitre les bienfaits de la chlorella est toujours beaucoup apprécié.
Je vous en remercie par avance
Très cordialement
Muriel Cathaud
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Bonsoir,
Je vous permet bien entendu de mettre mon témoignage sur le site, je suis si contente de cette bonne nouvelle et encore une fois, un grand merci.
Sylvie

Lola, petite chienne de 8 ans
LOLA, notre petite chienne, a vu sa santé nettement améliorée grâce à la Chlorella
La Chlorella aide beaucoup la chienne de mes beaux-parents, qui souffre d’une maladie de peau.
Cette chienne se nomme Lola, pèse 10 kg, a 8 ans et présente des croûtes noires sur les pattes, la zone génitale et sous la bouche.
Aucun vétérinaire n’a trouvé la cause, et aucun traitement ne l’a soigné. Notre pauvre Lola s’est retrouvée épuisée par tous ces médicaments. En tant que naturopathe, je ne pouvais pas laisser faire cela ! Nous avons donc décidé de stopper tous les médicaments et de passer à la Chlorella.
Cela fait maintenant 1 mois que Lola croque avec entrain 3 g de Chlorella chaque jour !!! Elle adore cela !!!
Elle a retrouvé une belle énergie, mais, malheureusement, l’état de sa peau est toujours le même. Pire, à force de se lécher, la peau est à nue sur ses pattes et la chair suinte.
Nous nous demandons si elle ne souffre pas d’un cancer de la peau. Quoi qu’il en soit, il y a des cellules malades dans son corps.
Des nouvelles de Lola 2 mois plus tard :
Sur les conseils de Muriel Cathaud (la distributrice de Echlorial), nous donnons 20 comprimés à Lola : 10 le matin et 10 l’après-midi, depuis 2 mois.
Depuis qu’on lui donne 20 comprimés par jour (donc 6g), elle ne se lèche plus les pattes ! C’est une grande joie pour nous car les poils vont pouvoir repousser. Elle est en voie de guérison ! Elle a arrêté de se lécher les pattes dès le lendemain de la première prise.
Côté vitalité, elle est toujours aussi fatiguée qu’auparavant, mais garde son très bon appétit. Son corps doit certainement lutter… Elle n’a aucun effet secondaire tel que la diarrhée. C’est qu’elle avait certainement un grand besoin d’une telle dose. Et pourtant, on est passé de 3g à 6g d’un coup…
L’état de Lola s’est nettement amélioré sur le plan de la vitalité. Elle a retrouvé une belle énergie et joue à nouveau. Les croûtes sont toujours présentes, mais nous gardons espoir et continuons à lui donner la Chlorella quotidiennement.
Je conseille cette algue merveilleuse pour tous les animaux.
Carine

¤ Le poisson (même NON pollué) est mauvais pour la santé:
\ Le régime pesco-végéta_ien, même consommé dans les meilleures conditions, n’est pas la meilleure solution. Dans les végétaux et les algues, on peut trouver les avantages mais pas (ou peu) les inconvénients du poisson. Les algues ont des oméga-3 courts (donc facilement bio-digestes) et des protéines très peu inflammatoires, contrairement au poisson.
* https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2013/07/17/un-lien-confirme-entre-les-omega-3-de-poisson-et-le-risque-de-cancer-de-la-prostate_669456 (le poisson est cancérigène)
«Une consommation élevée d’oméga-3 d’origine marine (poisson gras ou suppléments d’huile de poisson) pourrait augmenter le risque de cancer de la prostate. Les hommes ayant des concentrations sanguines élevées d’acides gras oméga-3 ont un risque augmenté de cancer de la prostate.
Si une association de cause à effet reste à prouver, il apparaît prudent pour les hommes d’éviter l’excès d’apport. «La confirmation de ces résultats suggère que ces acides gras sont impliqués dans la tumorigenèse de la prostate et les recommandations pour augmenter l’apport en acides gras oméga 3 devraient prendre en compte leurs risques potentiels», concluent Brasky et coll. dans une étude publiée dans le Journal of the National Cancer Institute.
Un résultat inattendu
La même équipe avait rapporté dans une étude publiée en 2011 que des concentrations sanguines élevées en oméga-3 DHA étaient associées à un risque deux fois plus élevé de cancer de la prostate de haut grade (agressif). Ce résultat était tout à fait inattendu ; les oméga-3, des acides gras poly-insaturés essentiels, sont plutôt réputés pour leur bienfaits sur la santé et possèdent des propriétés anti-inflammatoires.
Or, l’inflammation joue un rôle dans le développement et la croissance de nombreux cancers. Leur nouvelle étude a utilisé les données de l’étude SELECT, menée chez plus de 35500 hommes randomisés entre 2001 et 2004 afin d’evaluer si le sélénium et la vitamine E pouvait prévenir le cancer de la prostate ; les résultats n’avaient pas montré d’effet préventif.
Ils ont comparé les 834 hommes ayant developpé un cancer de la prostate durant le suivi (834 cas, dont 156 cas de cancer agressif) à une sous-cohorte de 1393 hommes appariés pour l’âge et la race et sélectionnés au hasard parmi toute la cohorte initiale de l’étude SELECT (29 ont développé un cancer de la prostate).
Dans cette étude de cas-cohorte, ils ont examiné les associations entre les taux plasmatiques d’acides gras et le risque de cancer de la prostate.
Les hommes, dont les taux sanguins d’oméga-3 à longue chaîne (EPA, DPA, DHA; trouvés dans les poissons) sont situés dans le quartile supérieur, ont un risque de cancer de la prostate augmenté de 43% par rapport aux hommes dont les taux sont les plus bas (dans le quartile inférieur), avec un risque augmenté de 71% pour la forme agressive et de 44% pour la forme peu évolutive. Ces associations sont similaires pour chacun de ces oméga-3.
La différence entre les taux sanguins de ces oméga-3 dans le groupe à haut risque et le groupe à bas risque revient approximativement à manger du saumon deux fois par semaine, estime le Dr Kristal (Fred Hutchinson Cancer Center, Seattle).»
** http://www.medisite.fr/cancer-et-nutrition-les-vitamines-anti-cancer.6239.38948.html?page=0%2C5 «Plusieurs études ont démontré que les oméga-3 (acides gras essentiels au bon fonctionnement de l’organisme) préviendraient les cancers en général (…) plutôt qu’à une supplémentation. Dans ce cas, l’apport en oméga-3 aurait entraîné l’effet inverse (chez les femmes ménopausées). (…) Une étude coréenne réalisée en 2009 a permis de préciser que ce bienfait serait surtout associé à la consommation d’oméga-3 via l’alimentation» et http://vegecru.com/omega3 Les acides gras oméga-3 d’origine bactérienne ou végétale (graines de lin [l'huile de lin rancit est toxique], graines de chia, graines de chanvre, noix commune)
* https://www.youtube.com/watch?v=O6Jb87Yo_b4 Pourquoi j’apprécie tant les algues ! – www.regenere.org
* https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26497591&prev=search
Peptide bioactif de Pyropia yezoensis et ses activités anti-inflammatoires.
Lee HA 1 , Kim IH 1 , Nam TJ 1 .
Informations sur l’auteur
1
Institut des sciences halieutiques, Pukyong National University, Busan 619-911, République de Corée.
Abstrait
Pyropia yezoensis (P. yezoensis) est une importante algue marine. Sa teneur élevée en protéines sert de bonne source de peptides biologiquement actifs. Des effets inhibiteurs puissants sur la production de médiateurs inflammatoires ont été observés dans un peptide bioactif dérivé de P. yezoensis (peptide de P. yezoensis, PPY1), comme démontré dans les macrophages stimulés par les lipopolysaccharides (LPS). La présente étude a montré que des concentrations de peptides allant de 250 à 1000 ng / ml n’avaient pas de cytotoxicité significative dans le test de viabilité cellulaire lorsqu’elles étaient appliquées aux cellules RAW 264.7 pendant 24 h. PPY1 inhibe complètement la libération d’oxyde nitrique (NO) stimulée par LPS de manière dose-dépendante. L’intensité de la fluorescence, correspondant aux espèces intracellulaires d’oxygène réactif (ROS), produite par des cellules stimulées par le LPS à 10 ng / ml, a été significativement décalée, indiquant que le peptide a réduit le niveau de ROS. En outre, le PPY1 a exercé une activité inhibitrice puissante pour réduire la libération de cytokines pro-inflammatoires (NO synthase inducible, cyclooxygenase-2, interleukine-1β et facteur de nécrose tumorale-α) dans les macrophages stimulés par le LPS de manière dose-dépendante. Ces résultats ont également montré que l’activité anti-inflammatoire de PPY1 était associée à la régulation négative de la kinase régulée par le signal extracellulaire, de la protéine 38 et de la phosphorylation de la kinase NH2-terminale c-jun dans les voies de protéine kinase activées par le mitogène. En conclusion, PPY1 peut jouer un rôle important en tant qu’agent anti-inflammatoire, avec un potentiel d’utilisation dans les produits marins.
* looking beyond the terrestrial : the potential of seaweed derived bioactives to the treet non communicable diseases

* https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4584343/&prev=search
Composition lipidique, acides gras et stérols dans les mers Ulva armoricana et Solieria chordalis de Bretagne (France): analyse des perspectives d’activité nutritionnelle, chimiotaxonomique et antiproliférative
Abstrait
Des lipides de la macroalgas proliférative Ulva Armoricana (Chlorophyta) et Solieria chordalis (Rhodophyta) de Bretagne, en France, ont été étudiés. La teneur totale en lipides était de 2,6% et 3,0% de poids sec pour U. armoricana et S. chordalis , respectivement. Les principales fractions de S. chordalis étaient des lipides neutres (37%) et des glycolipides (38%), alors que U. armoricana contenait principalement des lipides neutres (55%). Les acides gras polyinsaturés (PUFA) représentaient respectivement 29% et 15% des lipides totaux dans U. armoricana et S. chordalis. Dans les deux algues étudiées, les phospholipides étaient composés de PUFA pour 18%. En outre, les AGPI représentaient respectivement 9% et 4,5% de glycolipides dans U. armoricana et S. chordalis. Les PUFA essentiels étaient 16: 4 n -3, 18: 4 n -3, 18: 2 n -3, 18: 2 n -6 et 22: 6 n -3 dans U. armoricana et 20: 4 n – 6 et 20: 5 n -3 dans S. chordalis . Il est important de noter que six acides hydroxy-hydroxy, trois, 3-hydroxy et deux acides gras hydroxy monoinsaturés ont également été identifiés et peuvent fournir une base chimiotaxonomique pour les algues. Ces algues présentaient des composés intéressants tels que le squalène, l’α-tocophérol, le cholest-4-en-3-one et les phytostérols. L’effet antiprolifératif a été évalué in vitro sur une ligne de carcinome bronchopulmonaire non cellulaire humain (NSCLC-N6) avec un IC50 de 23 μg / mL pour les monogalactosyldiacylglycérols isolés de S. chordalis et 24 μg / mL pour les digalactosyldiacylglycérols de U. armoricana . Ces résultats confirment les potentialités de valorisation de ces deux espèces dans les domaines de la santé, de la nutrition et de la chimiotaxonomie.
Mots-clés: Ulva armoricana , Solieria chordalis , acides gras, stérols, phospholipides, glycolipides, acides gras polyinsaturés, acides gras hydroxy, chimiotaxonomie, cancer du poumon humain

* nutritional and digestive health benefits of seaweeds

* https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2815322/&prev=search
Effets de la supplémentation d’algues sur la glycémie, le profil lipidique et les activités enzymatiques antioxydantes chez les patients atteints de diabète de type 2
Abstrait
La présente étude a été réalisée pour évaluer les effets physiologiques de la supplémentation d’algues sur les taux de glucose sanguin, le profil lipidique et les activités enzymatiques antioxydantes chez des sujets atteints de diabète sucré de type 2. Les sujets ont été randomisés soit dans un groupe témoin, soit dans un groupe de supplémentation en algues. Des pilules avec des parties égales d’enchevêtrement en poudre en poudre et de moutarde de mer ont été fournies au groupe de supplémentage d’algues trois fois par jour pendant 4 semaines. La consommation quotidienne totale d’algues était de 48 g. Nous avons constaté que l’apport total en fibres alimentaires était 2,5 fois plus élevé chez les sujets recevant des suppléments d’algues que dans le groupe témoin. En conséquence, les taux de glycémie à jeun (p <0,01) et les mesures postopératoires de la glycémie de 2 heures (p <0,05) ont diminué de manière significative chez ceux qui ingèrent des algues. En outre, les concentrations sériques de triglycérides ont diminué et le taux de cholestérol des lipoprotéines de haute densité a augmenté de manière significative dans le groupe de suppléments d’algues (p <0,05). Cependant, les concentrations de cholestérol total et de cholestérol des lipoprotéines de faible densité n’ont pas été affectées par les suppléments d’algues. Le niveau de substances réactives à l’acide thiobarbiturique dans les érythrocytes était significativement plus faible avec la supplémentation d’algues par rapport aux témoins (p <0,05). Les activités de catalase et de glutathion peroxydase avec des suppléments d’algues étaient supérieures aux témoins (p <0,05), mais l’activité de la superoxyde dismutase n’a pas été affectée. Nous concluons donc que l’ingestion d’algues influence le contrôle glycémique, réduit les lipides sanguins et augmente les activités enzymatiques antioxydantes.
Mots-clés: Algues, contrôle glycémique, taux de lipides sanguins, activités enzymatiques antioxydantes

* https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4557026/&prev=search
Protéines et glucides à base de graines rouges: preuve d’effets bénéfiques sur la fonction intestinale et le microbiota
Abstrait
Selon leur composition, les algues marines, et à savoir les algues rouges, sont de bons aliments fonctionnels potentiels. La fonction de la barrière muqueuse intestinale se réfère à la capacité de l’intestin à assurer un confinement adéquat des microorganismes et molécules luminal. Ici, nous allons d’abord décrire le composant des algues et résumerons les effets de ceux-ci sur la régulation de la fonction de la barrière muqueuse. Une attention particulière sera accordée aux composants uniques des algues rouges: les protéines et les peptides dérivés (par exemple, les phycobiliprotéines, les glycoprotéines contenant des «domaines de liaison de la cellulose», les phycolectines et les acides aminés apparentés à la mycosporine) ainsi que les polysaccharides (par exemple, l’amidon floride et les sulfates Galactans, comme les carraghénanes, les agarans et les » dl- hybrides») et les minéraux. Ces composés ont montré qu’ils exercent des effets prébiotiques, pour réguler la prolifération et la différenciation des cellules épithéliales intestinales, des macrophages et des lymphocytes et pour moduler la réponse immunitaire. Les mécanismes moléculaires d’action des peptides et des polysaccharides commencent à être élucidés et des preuves indiquant l’implication du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR), du récepteur du facteur de croissance analogue à l’insuline (IGFR), des récepteurs Toll-like (TLR) et des voies de transduction du signal médiées Par la protéine kinase B (PKB ou AKT), le facteur nucléaire-κB (NF-kB) et les protéines kinases activées par des mitogènes (MAPK) seront également résumés. La nécessité d’une recherche plus poussée est claire, mais les expériences in vivo indiquent un effet anti-inflammatoire global de ces algues, ce qui indique qu’elles peuvent renforcer la fonction de barrière membranaire.
Mots-clés: algues rouges, galactanes sulfatés, peptides bioactifs, Rhodophyta, fonction de barrière muqueuse, immunomodulation, différenciation cellulaire, prolifération cellulaire, NF-κB, MAPK

¤ La taille de cerveau des primates est prédite par le régime mais pas (ou peu) par la sociabilité:

https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.nature.com/articles/s41559-017-0112&prev=search

La taille du cerveau des primats est prédite par le régime mais pas par la socialité
Alex R. DeCasien
⦁ , ⦁ Scott A. Williams
⦁ & ⦁ James P. Higham
⦁ Nature Ecology & Evolution 1 , numéro d’article: 0112 (2017)
⦁ Doi : 10.1038 / s41559-017-0112
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Anthropologie biologique
Évolution sociale
Reçu:
21 septembre 2016
Accepté:
07 février 2017
Publié en ligne:
27 mars 2017
Abstrait
L’hypothèse du cerveau social pose que la complexité sociale est le moteur principal de la complexité cognitive des primates et que les pressions sociales ont finalement conduit à l’évolution du grand cerveau humain. Bien que cette idée ait été soutenue par des études indiquant des relations positives entre la taille relative du cerveau et / ou du néocortex relatif et la taille du groupe, les effets signalés des différents systèmes sociaux et d’accouplement sont très conflictuels. Ici, nous utilisons un échantillon beaucoup plus vaste de primates, des phylogénies plus récentes et des techniques statistiques mises à jour pour montrer que la taille du cerveau est prédite par le régime, plutôt que de multiples mesures de la socialité, après avoir contrôlé la taille du corps et la phylogénie. Plus précisément, les frugivores présentent des cerveaux plus grands que les folivores. Nos résultats mettent en question l’accent actuel sur les explications sociales plutôt que écologiques pour l’évolution des grands cerveaux dans les primates et évoquent une gamme d’hypothèses écologiques et de développement axées sur le fructifère, y compris le stockage de l’information spatiale, la recherche extractive et le dépassement des contraintes métaboliques.
Les primats, en particulier les anthropoïdes, ont des cerveaux relativement importants par rapport aux autres mammifères. Ces observations ont conduit les chercheurs à proposer diverses explications pour l’évolution de la taille accrue du cerveau dans la lignée des primates. En conséquence, de nombreuses analyses comparatives ont été entreprises dans le but d’identifier des variables sociales et / ou écologiques qui expliquent la variation interspécifique de la taille globale du cerveau ou des régions spécifiques du cerveau 1 .
Les premières études ont suggéré que les facteurs écologiques, tels que le régime alimentaire, expliquent la variation relative de la taille du cerveau dans les primates non humains 2 , 3, 4, 5 . Ceci est conforme à l’idée que le traitement de la viande et d’autres aliments a contribué à des augmentations subséquentes de la taille 6 , 7 du cerveau hominin en remplissant les exigences énergétiques plus élevées correspondantes 8 , 9, 10, 11 . Les études comparatives ultérieures ont mis l’accent sur le rôle des facteurs sociaux. En particulier, l’hypothèse du cerveau social pose que la complexité sociale est le moteur principal de la complexité cognitive chez les primates et que les pressions sociales associées au maintien de la cohésion du groupe ont finalement conduit à l’évolution du grand cerveau humain 12 , 13, 14, 15 . Cette hypothèse a été soutenue par des études indiquant des relations positives entre la taille relative du cerveau et / ou du néocortex et la taille moyenne des groupes 2 , 14 , 15, 16, 17 .
Cependant, les recherches sur les relations entre la taille relative du cerveau et les différents types de systèmes sociaux et d’accouplement, qui peuvent différer dans leur complexité sociale relative, ont donné des résultats très contradictoires 17 , 18 . Certaines études ont montré que les espèces de primates polygynandreuses ont le plus grand cerveau 3 , 17 , en cohérence avec l’idée que les systèmes qui favorisent le plus d’interactions et les relations entre le plus grand nombre d’individus pourraient être les plus exigeants. À l’inverse, d’autres études ont montré que les espèces monogames ont le plus grand cerveau 18 et ont soutenu que la monogamie pourrait nécessiter une plus grande déception et des capacités de manipulation 18 pour obtenir des copulations extra-paires, produire un coût relativement élevé de coucou et / ou nécessiter une résolution de conflit et Aptitudes de coordination pour l’entretien des cautionnements 17 .
Ces résultats contradictoires suggèrent que des problèmes méthodologiques ont peut-être conduit différents chercheurs à des conclusions différentes. Tout au long de l’étude comparative de l’évolution de la taille du cerveau des primates, les tailles d’échantillon des espèces utilisées dans les analyses ont été petites et idiosyncratiques, alors que les techniques statistiques disponibles se sont considérablement améliorées depuis les premières analyses. Par exemple, de nombreuses études antérieures ont utilisé les résidus en tant que données, ce qui peut causer un biais si la variable de contrôle co-varie avec d’autres variables dans l’analyse; L’utilisation de la régression multiple avec la variable de confusion incorporée en covariable est maintenant recommandée 19 . En outre, de nombreuses études ont utilisé une phylogénie 20 qui est devenue obsolète et que toutes les longueurs de ramifications sont définies à 1, une transformation de longueur de branche relativement radicale qui suppose un modèle évolutif dans lequel des changements se produisent au moment de la spéciation dans les deux espèces filles.
Nous avons rassemblé un échantillon beaucoup plus grand et plus représentatif de primates (> 140 spp., Plus que tripler la taille de l’échantillon des études précédentes) et a testé si plusieurs mesures de la socialité (taille moyenne du groupe, système social et conjoint séparément) expliquent la variation de la taille du cerveau Après avoir contrôlé la taille du corps, l’alimentation et l’histoire phylogénétique. Bien que certaines études aient utilisé la taille relative du néocortex plutôt que la taille totale du cerveau, cette information n’est pas disponible pour un grand échantillon d’espèces de primates; En tout cas, les échelles de néocortex sont hyper-allométriquement avec la taille du cerveau 21 . Dans sa forme originale, l’hypothèse du cerveau social a été formulée pour expliquer l’intelligence des primates 12 , 13 et a ensuite été discutée comme une tentative d’explication de la taille 14 , 15 , 22 du cerveau. L’accent mis sur le néocortex n’a pas toujours été basé sur un raisonnement a priori, mais parce que les analyses de neocortex ont parfois montré les corrélations les plus fortes avec les variables sociales en cours d’examen 14 . Les régions en dehors du néocortex sont également impliquées dans des fonctions cognitives complexes (par exemple, cerebellum 23 , hippocampus 24 , striatum 25 ) et des études montrent que la taille globale du cerveau prédit la capacité cognitive globale à travers les primates non humains 24 , 26 . En outre, les études des principaux promoteurs de l’hypothèse du cerveau social continuent de présenter des analyses de la taille totale totale de cerveau 17 , 22 , 24 , en cohérence avec l’interprétation selon laquelle l’hypothèse du cerveau social vise effectivement à expliquer les augmentations évolutives non seulement dans le rapport néocortex, mais Dans la taille globale du cerveau.
Résultats
Pour chaque mesure de la socialité, le modèle complet (y compris tous les prédicteurs) comprenait la taille du cerveau comme variable dépendante, et la taille du corps, soit la catégorie de régime alimentaire, soit le pourcentage de frugivores et les mesures de socialité alternatives comme prédicteurs. Nous employons une régression phylogénétique des moindres carrés généralisés (PGLS) et une incertitude phylogénétique incorporée en utilisant deux phylogénies de consensus récentes 27 , 28 et testés à travers un bloc bayésien d’arbres alternatifs pour l’un d’entre eux 27 , en utilisant des modèles mixtes phylogénétiques bayésiens de moyenne maximum et Une analyse de régression phylogénétique entièrement bayésienne. Nous avons comparé les différentes transformations de longueur de branche et les modèles complets par rapport au modèle réduit en utilisant le critère d’information bayésien (BIC) 29 . L’effet possible de la variation de taille de groupe intra-espèce a été testé via un rééchantillonnage. Les analyses des arbres de consensus ont été répétées dans certains sous-groupes (anthropoïdes, catarrhines) et utilisent également des données de taille de corps et de cerveau uniquement pour tenir compte des effets possibles des changements de grade dans la nature de la socialité et du dimorphisme sexuel, respectivement. Enfin, nous avons reconstruit les états ancestraux pour visualiser le contexte évolutif de l’évolution de la taille du cerveau et de la socialité.
Contrairement aux prédictions de l’hypothèse du cerveau social, nos résultats indiquent qu’aucune des mesures de la socialité examinées ici n’explique la variation relative de la taille du cerveau chez les primates, ce qui n’est prédit que par un régime alimentaire, les frugivores ayant des cerveaux relativement plus grands que les folivores. Les résultats des analyses de tous les primates incorporant l’arbre de consensus 10kTrees 27 sont présentés ici en détail parce que cet ensemble fournit la plus grande taille d’échantillon d’espèces. Les estimations de lambda à maximum de vraisemblance ont été utilisées pour les transformations de longueur de branche, car d’autres modèles, en particulier ceux ayant une longueur de branchement fixée à 1 (comme dans la plupart des études précédentes), étaient plus forts ( tableaux 1 , 2 , 3 , 4 ). Dans tous les cas, les ANOVA de type I pour les modèles, y compris tous les prédicteurs, indiquent que, bien que la taille du corps et l’alimentation expliquent chaque fois une quantité importante de variation de la taille du cerveau, aucune des mesures de la société examinées explique les variations supplémentaires ( tableaux 1 , 2 , 3 ). Ce modèle de signification reste lorsque le pourcentage de frugivorité est inclus dans le modèle au lieu de la catégorie de régime ( tableaux supplémentaires 1-3 ) et lorsque l’ordre dans lequel les variables de régime et de la société sont entrées dans le modèle est commuté ( tableaux supplémentaires 5-10 ). L’incertitude phylogénétique n’affecte pas ces modèles, à la fois comme arbres consensuels ( tableaux 1 , 2 , 3 , tableaux supplémentaires 1-18 ), la plupart des modèles de vraisemblance maximale testés à travers le bloc de 1 000 arbres ( tableaux supplémentaires 19 à 26 ), mélanges phylogénétiques bayésiens Les modèles ( tableaux supplémentaires 30 à 37 ) et les analyses de régression phylogénétique bayésienne ( tableaux supplémentaires 27 à 29 ) fournissent des résultats statistiquement indiscernables. La variation intra-espèce n’affecte pas non plus ces résultats, car l’analyse du rééchantillonnage des modèles de taille totale des groupes a confirmé le manque d’effet pour la taille du groupe (modèle avec catégorie de régime: estimation médiane = -0.003, intervalle de confiance de 95% (IC) = – 0,021 à 0,017; modèle avec pourcentage de frugivorité: estimation médiane = 0,021, IC 95% = -0,008 à 0,047). Ces résultats ne sont pas confondus par le dimorphisme sexuel car les analyses effectuées à l’aide de données sur le cerveau et la taille corporelle uniquement ont produit des résultats similaires ( tableaux supplémentaires 38-59 ). Bien que certaines mesures de la socialité semblent expliquer une quantité importante de variation dans un petit ensemble d’analyses de sous-groupes, elles sont probablement dues à des violations de l’hypothèse du modèle et ne sont pas cohérentes lorsque différentes phylogénies ou proxies alimentaires sont utilisées (voir Texte complémentaire ).
Tableau 1: Résultats pour les modèles de régime et de taille de groupe (spp. N = 140): cerveau (log) ~ corps (log) + régime + taille du groupe (log).
Table pleine grandeur
Tableau 2: Résultats pour les modèles de régime et de système social (spp. N = 142): cerveau (log) ~ corps (log) + alimentation + système social.
Table pleine grandeur
Tableau 3: Résultats pour les modèles de régime et d’accouplement (spp. N = 142): cerveau (log) ~ corps (log) + alimentation + système d’accouplement.
Table pleine grandeur
Tableau 4: Résultats pour les modèles de régime (spp. N = 144): cerveau (log) ~ corps (log) + alimentation.
Table pleine grandeur
En outre, pour chaque proxy de la société, le modèle incluant tous les prédicteurs n’est pas un bon ajustement par rapport aux modèles, y compris la taille corporelle seule ou la taille du corps et le régime alimentaire ( tableaux 1 , 2 , 3 , tableaux supplémentaires 1-3, 11-13 et 15- 17 ), alors que les deux derniers sont statistiquement indiscernables l’un de l’autre ( tableaux 1 , 2 , 3 , 4 , tableaux supplémentaires 1-4, 11-14 et 15-18 ). Après correction des comparaisons multiples, les frugivores et les frugivores / folivores présentent un cerveau significativement plus grand que les folivores ( tableau 4 ), avec des estimations modèles suggérant que les frugivores présentent 25% (IC 95% = 8 à 44%) plus de tissu cérébral que les folivores du même corps poids. Selon les règles de mise à l’échelle des cellules cellulaires du cerveau de primate telles que déterminées par la méthode du fractionneur isotrope 30 , cette différence prédite représente une augmentation d’environ 1,08 milliard de neurones totaux pour un frugivore de poids corporel moyen. Relativement plus de neurones pour la même masse corporelle, cela indique probablement une augmentation du pouvoir de traitement qui n’est pas simplement liée à la maintenance et au contrôle du corps 31 . Dans certaines analyses supplémentaires, les omnivores présentent également des cerveaux significativement plus grands que les folivores ( tableaux supplémentaires 58, 66 et 80 ). Ces résultats sont soutenus par l’effet significatif et positif du pourcentage de frugivory ( tableaux supplémentaires 1-4, 15-18, 23-29 et 34-37 ). L’incertitude phylogénétique n’affecte pas ces différences entre les catégories alimentaires ( tableaux supplémentaires 14, 22 et 33 ). Les reconstructions ancestrales de la taille relative du cerveau (quotient d’encéphalisation, EQ) et les mesures de socialité susmentionnées ( figure 1 ; les figures supplémentaires 1 et 2 soulignent des écarts notables par rapport aux prédictions de l’hypothèse du cerveau social).
Figure 1: reconstructions ancestrales de l’EQ des primates (gauche) et de la taille moyenne du groupe (à droite).

Les valeurs inférieures pour EQ et la taille moyenne du groupe sont affichées dans des couleurs plus brèves; Les valeurs supérieures sont indiquées en bleu ( n = 140 espèces). Des exemples de dérogations aux prédictions de l’hypothèse du cerveau social comprennent les gibbons, qui présentent une diminution de la taille du groupe depuis leur dernier ancêtre commun avec les grands singes (associés à la transition vers la monogamie) et une augmentation de la taille relative du cerveau (parallèlement à la diminution de la taille du corps et Entretien ou légère augmentation de la taille absolue du cerveau 32 ). De même, bien que cebids et aye-aye n’aient pas augmenté la taille du groupe, leur taille relative du cerveau a augmenté (éventuellement par rapport à leurs comportements de recherche extractive 5 ).
Image pleine grandeur
Discussion
Les résultats présentés ici sont compatibles avec une gamme d’hypothèses écologiques et de développement axées sur le frugivor, y compris: (1) la nécessité d’un stockage et d’une récupération d’informations spatiales 3 , 4 ; (2) demandes cognitives de «fourrage extractif» de fruits et de graines 5 ; Et (3) un renouvellement d’énergie plus élevé et une meilleure qualité du régime alimentaire pour l’énergie nécessaire pendant la croissance du cerveau foetal 8 , 9, 10, 11 . Ensemble, il semble que le frugivory offre non seulement des pressions sélectives sur le traitement cognitif 3 , 4, 5 , mais compense les coûts d’un cerveau métaboliquement coûteux en facilitant un meilleur renouvellement d’énergie et / ou une réduction de l’allocation d’énergie à la digestion 8 , 9, 10, 11 . Il existe de nombreux exemples d’espèces étroitement liées avec des tailles de corps similaires, des tailles de groupes et des systèmes sociaux qui présentent une taille de cerveau et des différences alimentaires appropriées (par exemple, Ateles versus Alouatta , Tableau supplémentaire 107 ). Notamment, les reconstructions ancestrales suggèrent ailleurs que ces changements n’ont pas été entraînés par des réductions de la taille du corps 32 . Les résultats suggérant que les espèces antropoïdes omnivores, mais pas strepsirrhine, ont de gros cerveaux par rapport aux folivores, reflètent vraisemblablement différentes stratégies comportementales liées à faunivord. Alors que les strepsirrhines omnivores se nourrissent généralement d’insectes, une source de nourriture relativement abondante, les anthropoïdes omnivores souvent chassent également des vertébrés (comme le Cebus Capucinus 33 ). Bien que les frugivores aient tendance à avoir des tripes relativement plus petits, les travaux récents n’indiquent aucune corrélation négative entre la taille relative du cerveau et le tube digestif après avoir contrôlé la masse sans graisse 34 . Le manque de relation entre la taille relative du cerveau et la socialité indiquée ici est conforme à des études antérieures limitées aux streptodéhydes 35 et aux taxons non primates (par exemple, les cétacés 36 , les carnivores 37 , les oiseaux 38 ) et suggère que les hypothèses sous-jacentes au cerveau social des primates L’hypothèse et ses prédictions associées devraient être réévaluées.
Tout d’abord, les comportements sociaux complexes (par exemple, les coalitions, la réciprocité) qui étaient auparavant supposés être uniques aux primates ont maintenant été trouvés dans d’autres taxons qui ne présentent pas de cerveaux relativement importants par rapport aux autres membres de leur ordre (tels que les hyènes repérées 39 ) . Par conséquent, la prémisse selon laquelle la complexité sociale nécessite nécessairement une complexité cognitive peut ne pas toujours tenir, car les défis de la vie sociale ne nécessitent peut-être pas de solutions cognitives flexibles en temps réel, mais pourraient être résolus en utilisant des règles de pouce plus simples développées 40 . Des études d’observation et de simulation ont suggéré que des règles associatives simples peuvent effectivement expliquer de nombreux comportements complexes 40 .
Deuxièmement, l’hypothèse selon laquelle les environnements sociaux complexes sont plus exigeants sur le plan cognitif que les propriétés de l’environnement physique dérive en partie de l’idée que le premier est plus instable que ce dernier et nécessite plus de pouvoir de traitement pour naviguer 41 . Cela n’a pas été démontré quantitativement 41 , et les études indiquant une relation positive entre la taille relative du cerveau et la survie chez les espèces de mammifères introduites dans de nouveaux environnements suggèrent que la variabilité environnementale à long terme pourrait choisir une polyvalence comportementale 42 .
Les difficultés liées à l’attribution de proxies appropriées de complexité sociale et de complexité cognitive ne doivent pas être sous-estimées. Par exemple, la taille moyenne du groupe est, au mieux, un proxy brut de la complexité sociale 43 , car les groupes plus grands peuvent ne pas être caractérisés par une augmentation correspondante du nombre de relations / interactions différenciées 44 . Les études futures utilisant des proxies plus sophistiqués peuvent fournir un meilleur soutien pour l’hypothèse du cerveau social. Cependant, nos résultats remettent en question l’accent actuel sur les explications sociales plutôt que écologiques pour l’évolution des grands cerveaux chez les primates. L’expansion rapide du cervelet hominoïde suggère que l’intelligence technique était au moins aussi importante que l’intelligence sociale dans l’évolution cognitive humaine 45 . En outre, de nombreuses études suggèrent que les substrats de l’utilisation d’un outil neuronal peuvent représenter des précurseurs évolutifs pour l’évolution du langage chez l’homme 46 , 47 . Les innovations techniques ont également permis d’accroître l’incorporation de la viande dans l’alimentation et l’avènement de la viande et d’autres aliments 6 , 7 . Ensemble avec la présente étude, ce corpus de travail comparatif suggère que l’évolution du cerveau des êtres humains et des êtres humains non-humains a été principalement motivée par une sélection de l’efficacité accrue de l’alimentation, avec des changements associés, puis peut-être fournir l’échafaudage pour le développement ultérieur de compétences sociales.
Méthodes
Collecte et compilation de données
Nous avons compilé toutes les données moyennes de l’espèce sur les poids du cerveau et du corps à partir des sources publiées de la littérature ( Fiches Supplémentaires: ‘Célere Données’ et ‘Données du corps’ ). Les poids du cerveau représentent des moyennes de ce qui suit: (1) poids cérébral enregistrés dans plusieurs sources originales (compilé dans la référence 48 ); Et (2) les volumes endocraniens (ECV) enregistrés au réf. 49 , qui ont été converties en masses en multipliant par un facteur de 1,036 g cm -3 (la densité du tissu cérébral 50 ). La valeur finale utilisée pour chaque espèce représente une moyenne des valeurs fournies dans les études, pondérées en fonction de la taille de l’échantillon de l’étude ( Fiches supplémentaires: onglets ‘Brain Pivot’ et ‘Brain Final’ ). Cet ensemble de données a été complété par des données sources secondaires 51 . L’ensemble de données féminines représente le poids du cerveau et du corps des spécimens sexés de la réf. 49 . Le sous-ensemble des espèces pour lesquelles le poids du cerveau et les ECV étaient disponibles ( n = 79) a été testé pour évaluer les biais en raison de différentes méthodes de collecte. L’accord a été conclu étant donné que: (1) les mesures ECV corrigées et les mesures pondérales étaient fortement corrélées ( R 2 = 0,99); (2) la différence de moyenne (poids ECV corrigé) était de 0,62 g avec une IC à 95% comprenant zéro (-1,81 à 3,05 g); Et (3) il y avait une faible corrélation ( R 2 = 0,20) entre la valeur moyenne des deux méthodes et la différence. Comme les poids corporels étaient indisponibles pour de nombreux spécimens dans les études initiales, ils représentent les moyennes du Manuel de la CRC des masses corporelles des mammifères 52 et des bases de données AnAge 53 et PanTHERIA 54 . Des données supplémentaires provenant de sources secondaires 51 , 55 , 56 ont été ajoutées pour compléter cet ensemble de données et ont été calculées comme valeurs moyennes des hommes et des femmes. Au cours de la compilation de cet ensemble de données, nous avons exclu les personnes juvéniles, émaciées et les données «de mauvaise qualité» (indiquées dans la base de données AnAge 53 ) lorsque cette information était disponible.
Nous avons attribué des catégories alimentaires selon les désignations précédentes dans la littérature publiée 3 , 55 , 57 , 58, 59, 60, 61 et utilisé un schéma de quatre catégories, qui comprend le folivore, le frugivore / le folivore, le frugivore et l’omnivore ( Données supplémentaires : Onglet «Diètes de régime» ). Le pourcentage de frugivorité par espèce a été obtenu à partir de la réf. 62 ( Données supplémentaires: onglet ‘Données sur le régime’ ). Nous avons assigné des systèmes sociaux et d’accouplement après avoir consolidé les tâches énumérées dans les sources littéraires publiées 3 , 17 , 18 , 35 , 63 , 64, 65, 66 ( données supplémentaires: onglet «Données système» ). Les catégories de systèmes sociaux représentent le schéma de catégorisation à quatre voies généralement utilisé dans les études sur les primates 67 , y compris les solitaires, les paires, la polygynie du harem et la polygynandrie. Les catégories du système d’accouplement comprennent la polygynie spatiale, la monogamie, la polyandrie, la polygynie du harem et la polygynandrie. Ces deux systèmes de catégorisation, système social et système d’accouplement ont été utilisés pour se conformer à des études antérieures en utilisant l’un ou l’autre, et parce que les organisations sociales et les systèmes d’accouplement des primates décrivent des schémas de catégorisation distincts qui ne sont pas toujours congruents, bien qu’ils soient souvent utilisés indifféremment. Les données de taille de groupe ont été recueillies auprès de nombreuses sources primaires et secondaires 35 , 59 , 67 , 68, 69, 70, 71, 72, 73, 74 . La taille moyenne du groupe par espèce a été calculée après avoir supprimé les valeurs en double ( données supplémentaires: onglet ‘Pivot de taille de groupe’ ). Cela a donné lieu à une moyenne de 4,7 points de données de taille de groupe par espèce.
Aucune règle universellement acceptée n’existe quant au rapport entre la taille de l’échantillon et le nombre de prédicteurs; Cependant, une règle couramment utilisée indique que le nombre de cas devrait être d’au moins 10 fois le nombre de termes estimés 75 . Dans tous les modèles inclus dans ces analyses, le nombre maximal de termes à estimer est 10 (modèles de systèmes d’accouplement incluant tous les prédicteurs: 1 = interception, 1 = coefficient de taille de corps (log), 3 = coefficients de catégorie de régime, 4 = coefficients de système d’accouplement , 1 = paramètre de transformation de longueur de branche), et toutes les tailles d’échantillon dépassent 100 espèces.
analyses statistiques
Toutes les analyses statistiques ont été réalisées dans R 3.2.2. Les humains ( Homo sapiens ) ont été exclus de toutes les analyses parce que nous sommes un dépassement de la taille du cerveau et, par conséquent, en excluant les humains ou en présentant des résultats avec des humains omis est une pratique courante dans des études comparatives de la taille du cerveau 18 .
Pour chacune des trois mesures de la socialité (taille moyenne du groupe, système social, système d’accouplement), deux ensembles de modèles ont été construits pour intégrer la catégorie alimentaire ou le pourcentage de frugivorité comme mesure du régime alimentaire. Dans chaque ensemble, trois modèles différents ont été construits, dont chacun avait la taille du cerveau comme variable dépendante et soit la taille du corps, la taille du corps + régime, soit la taille du corps + régime + proxy de la vie sociale comme prédicteurs. Toutes les variables continues, sauf le pourcentage de frugivory, ont été transformées en logarithme avant les analyses. Les termes d’interaction n’étaient pas inclus dans le but d’être interprétables et d’empêcher la sur-paramétrisation 76 . Les hypothèses du modèle linéaire, à l’exception des erreurs non corrélées (voir ci-dessous), ont été testées et confirmées. Bien que la relation attendue entre la taille du corps et le régime alimentaire 77 ait été confirmée dans cet échantillon, tous les facteurs d’inflation de variance dans tous les modèles linéaires ne dépassaient pas 3,3, un seuil couramment utilisé 78 car il indique le point où R 2 = 0,70 entre les variables. Bien que les variances résiduelles ont tendance à différer entre les catégories alimentaires et les systèmes sociaux et d’accouplement, les modèles de régression multiple supposent que la variance de l’erreur est constante à travers les valeurs prédites à partir du modèle, et les parcelles de résidus par rapport aux valeurs prédites supportent cette hypothèse.
Les espèces représentent des cas non indépendants car elles peuvent partager des traits en raison de l’inertie phylogénétique, nous avons donc testé le signal phylogénétique dans les résidus modèles linéaires en estimant les valeurs de lambda ( λ ) de Pagel. Bien qu’il ait été une pratique courante dans la biologie comparative de tester les variables indépendantes et dépendantes du signal phylogénétique pour justifier une analyse à l’aide de méthodes phylogénétiques, PGLS suppose que les résidus du modèle de régression, et non les traits à l’étude, suivent une distribution normale multivariée avec des variances et des covariances Sont proportionnelles aux relations phylogénétiques de l’espèce. Comme signal phylogénétique significatif a été détecté, la régression du PGLS a été utilisée dans tous les cas. Nous avons utilisé les topologies et les longueurs de branchement de l’arbre de consensus de la taxonomie GenBank fourni sur le site web 10kTrees 27 (version 3) et avons également répété toutes les analyses en utilisant la phylogénie moléculaire de la réf. 28 .
Les comparaisons de modèles ont été effectuées à l’aide de BIC plutôt que du critère d’information d’Akaike, car le premier utilise une pénalité plus conservatrice pour des termes supplémentaires et est plus susceptible de suggérer le modèle le plus parcimonieux ou le plus petit nombre de paramètres à estimer. L’analyse séquentielle de la variance (ANOVA de type I) a été utilisée pour identifier les variables qui expliquent une quantité importante de variation de la taille du cerveau.
Dans certaines des analyses limitées aux catarrhines, les estimations de vraisemblance de lambda produites par les modèles PGLS ont donné une valeur de zéro. Il est peu probable que ces traits soient modélisés en utilisant la régression des moindres carrés ordinaires (équivalent à lambda = 0) et que ce résultat est dû à une diminution de la taille de l’échantillon. Les parcelles log-vraisemblance de lambda illustrent cela, car elles sont très plates (voir la figure 3 supplémentaire, par exemple). Par conséquent, ces modèles ont été exécutés à l’aide d’une valeur de lambda obtenue en calculant son IC à 95% (représenté par les lignes rouges dans la figure 3 supplémentaire ), en extrayant 100 valeurs espacées de lambda dans cet intervalle et en les faisant en moyenne avec chaque valeur pondérée selon son probabilité.
Nous avons également considéré l’influence de l’incertitude dans les relations phylogénétiques en utilisant 1000 arbres différents de 10kTrees, qui ont été créés à l’aide de méthodes phylogénétiques bayésiennes et échantillonnés proportionnellement à leur probabilité 27 . Nous avons examiné les modèles PGLS complets (tous les prédicteurs) pour chaque combinaison de combinaison sociale et alimentaire séparément pour chaque arbre. L’ANOVA de type I a été menée sur chacun des modèles résultants, et la gamme des valeurs de P pour chaque prédicteur a été comparée à celles produites par des analyses intégrant l’arbre de consensus. Nous avons également examiné le modèle PGLS, y compris la taille du corps et le régime séparément pour chaque arbre, afin de confirmer les différences de taille du cerveau entre les catégories alimentaires. Nous avons appliqué la moyenne des modèles, car cette procédure prend en compte le degré variable d’ajustement des modèles pour estimer les coefficients de régression 79 . Pour chaque modèle, nous avons permis au facteur de mise en échelle phylogénétique (lambda) de prendre la valeur de sa vraisemblance maximale 19 .
Nous avons également installé des modèles de régression à l’aide du programme «Continuous» dans BayesTraits V2 80 . Étant donné que cette fonction ne peut utiliser que des variables continues, nous avons utilisé des modèles utilisant le pourcentage de frugivory et la taille du groupe (log) comme proxies de la qualité du régime alimentaire et de la socialité, respectivement. Ce programme nous a permis de générer des distributions postérieures de modèles de régression PGLS (coefficients de régression et paramètres de mise à l’échelle) qui tiennent compte de la non-indépendance phylogénétique des données sur les espèces. L’analyse a échantillonné le bloc d’arbres de 1 000 arbres proportionnellement à leur probabilité postérieure pour tenir compte de l’incertitude phylogénétique, et le paramètre de mise à l’échelle lambda a été échantillonné au cours de l’analyse de régression de la chaîne de Markov Monte Carlo (MCMC). Des prieurs uniformes et non informatifs ont été utilisés, car ceux-ci reflètent l’hypothèse selon laquelle toutes les valeurs possibles des paramètres sont également probables a priori 81 , et cette analyse a été effectuée pour 2 millions d’itérations, échantillonnant toutes les 200 itérations, avec un burn-in de 200 000. Les diagnostics MCMC ont été exécutés en utilisant le paquet ‘coda’ dans R 82 . Nous rapportons les moyens postérieurs des variables incluses dans chaque modèle et leurs IC 95% 83 , et la probabilité que chaque valeur du paramètre explicatif soit> 0 ( P MCMC ) car tous ont été supposés avoir des associations positives avec la taille du cerveau.
Enfin, nous avons examiné l’effet possible de l’incertitude phylogénétique en utilisant des modèles mixtes bayésiens pour tester à travers un échantillon aléatoire de 100 arbres différents de l’ensemble précédent de 1000 10kTrees phylogénies. Ceci a été mis en œuvre en utilisant le paquet R ‘MCMCglmm’ 84 et le code R modifié de la réf. 85 . Cette procédure utilise une approche d’estimation MCMC et tient compte de la non-indépendance phylogénétique en incluant les relations phylogénétiques entre les espèces en tant que variable aléatoire. Nous avons confirmé la convergence entre les chaînes modèles à l’aide de la statistique Gelman-Rubin, avec tous les modèles nécessaires pour avoir un facteur potentiel de réduction d’échelle inférieur à 1,1 (réf. 86 ). La taille efficace des échantillons pour tous les termes dans tous les modèles était de> 1 000. Conformément aux travaux antérieurs 84 , 85 , nous avons utilisé une distribution inverse-Wishart non informative et un paramètre développé précédemment, avec une distribution à demi-Cauchy pour le facteur aléatoire. Chaque modèle a été adapté à chacun des 100 arbres, et les sorties du modèle ont été combinées pour créer des distributions de coefficients.
Nous avons mis en place une procédure de rééchantillonnage afin d’intégrer la variation de l’espèce à l’intérieur de la taille du groupe. Cette procédure consiste à choisir de manière aléatoire une donnée de taille de groupe pour chaque espèce et à la définir comme estimation spécifique de l’espèce 16 , 87 . À l’aide de ce schéma de rééchantillonnage, nous avons créé 1000 ensembles de données spécifiques aux espèces qui ont ensuite été analysés en utilisant le modèle de PGLS de taille de groupe complet (tous prédicteurs). Certaines itérations ont rencontré des erreurs d’optimisation, qui concernent le calcul de la probabilité maximale de lambda. Ceux-ci ont été ignorés et le rééchantillonnage s’est poursuivi jusqu’à ce que nous produisions 1000 modèles 16 . Pour faire des inférences sur ces modèles, nous avons déterminé l’IC à 95% des coefficients de terme de taille de groupe dérivés.
Avant les analyses ancestrales de reconstruction, les polytomies dans l’arbre phylogénétique ont été résolues en utilisant la fonction ‘multi2di’ dans le paquet R ‘ape’ 88 . Les reconstructions de l’état ancestral à maximum de vraisemblance des traits continus (taille relative du cerveau, taille moyenne du groupe) ont été estimées à l’aide de la fonction ‘fastAnc’ dans les «phytools» du paquet R 89 . L’EQ 31 a été utilisée comme mesure de la taille relative du cerveau, et l’équation a été dérivée de notre ensemble de données ( n = 144 espèces) en utilisant la formule allométrique E = kP α , où E est la masse cérébrale, P est la masse corporelle, k est le Proportionnalité constante, α est l’exposant allométrique et l’équation finale est E = 0,085 × P 0.775 . Le noeud racine a été défini 22 pour refléter une espèce caractérisée par une alimentation solitaire (taille du groupe = 1) et une taille relative du cerveau (EQ = 0,41) en fonction des estimations des poids du cerveau et du corps des primates fossiles Eocène précoce ( Smilodectes gracilis 90 : cerveau = 9,84 G, corps = 1 600 g, EQ = 0,38; Tetonius homunculus 91 : cerveau = 1,55 g, corps = 161 g, EQ = 0,45; voir Données supplémentaires: onglet ‘Données fossiles’ ).
Les reconstructions pour les variables discrètes (système social et accouplement) ont été menées à l’aide d’une méthode bayésienne empirique dans laquelle la matrice de transition est fixée à sa valeur la plus probable, exécutée par la fonction «make.simmap» dans le paquet R «phytools» 89 . La fonction correspond tout d’abord à un modèle de Markov réversible en continu pour l’évolution du trait en question, puis simule des histoires de caractères stochastiques en utilisant ce modèle et les états de pointe sur l’arbre donné 89 . Pour fournir des informations sur l’incertitude de reconstruction, des reconstructions ancestrales marginales ont été effectuées à chaque noeud en calculant l’ensemble des probabilités postérieures Bayes empiriques que chaque noeud est dans chaque état sur 500 simulations. Les probabilités antérieures du noeud racine ont été établies pour assumer la polygynie spatiale et la recherche solitaire comme états ancestrales pour le système d’accouplement et le système social, respectivement. Les différents modèles de taux de transition ont été considérés en utilisant BIC, y compris: (1) un modèle de taux égaux, dans lequel un seul paramètre gère tous les taux de transition évolutifs; (2) un modèle de taux symétrique, dans lequel les transitions évolutives vers l’avant et vers l’arrière entre les états sont contraintes d’être égales; Et (3) un modèle différent de tous les taux, où chaque taux reçoit un paramètre unique. Le modèle des taux symétriques a finalement été utilisé pour les deux reconstructions car il présentait la valeur BIC la plus basse.
Disponibilité des données
Les auteurs déclarent que toutes les données qui appuient les résultats de cette étude sont disponibles dans le document et dans ses fichiers d’ information complémentaire .
Information additionnelle
Comment citer cet article: DeCasien, AR, Williams, SA et Higham, JP La taille du cerveau Primate est prédite par le régime mais pas par la socialité. Nat. Ecol. Evol . 1, 0112 (2017).
Note de l’éditeur: Springer Nature reste neutre en ce qui concerne les revendications juridictionnelles dans les cartes publiées et les affiliations institutionnelles.
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¤ La taille de cerveau des primates est prédite par le régime mais pas (ou peu) par la sociabilité:

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La taille du cerveau des primats est prédite par le régime mais pas par la socialité
Alex R. DeCasien
⦁ , ⦁ Scott A. Williams
⦁ & ⦁ James P. Higham
⦁ Nature Ecology & Evolution 1 , numéro d’article: 0112 (2017)
⦁ Doi : 10.1038 / s41559-017-0112
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Anthropologie biologique
Évolution sociale
Reçu:
21 septembre 2016
Accepté:
07 février 2017
Publié en ligne:
27 mars 2017
Abstrait
L’hypothèse du cerveau social pose que la complexité sociale est le moteur principal de la complexité cognitive des primates et que les pressions sociales ont finalement conduit à l’évolution du grand cerveau humain. Bien que cette idée ait été soutenue par des études indiquant des relations positives entre la taille relative du cerveau et / ou du néocortex relatif et la taille du groupe, les effets signalés des différents systèmes sociaux et d’accouplement sont très conflictuels. Ici, nous utilisons un échantillon beaucoup plus vaste de primates, des phylogénies plus récentes et des techniques statistiques mises à jour pour montrer que la taille du cerveau est prédite par le régime, plutôt que de multiples mesures de la socialité, après avoir contrôlé la taille du corps et la phylogénie. Plus précisément, les frugivores présentent des cerveaux plus grands que les folivores. Nos résultats mettent en question l’accent actuel sur les explications sociales plutôt que écologiques pour l’évolution des grands cerveaux dans les primates et évoquent une gamme d’hypothèses écologiques et de développement axées sur le fructifère, y compris le stockage de l’information spatiale, la recherche extractive et le dépassement des contraintes métaboliques.
Les primats, en particulier les anthropoïdes, ont des cerveaux relativement importants par rapport aux autres mammifères. Ces observations ont conduit les chercheurs à proposer diverses explications pour l’évolution de la taille accrue du cerveau dans la lignée des primates. En conséquence, de nombreuses analyses comparatives ont été entreprises dans le but d’identifier des variables sociales et / ou écologiques qui expliquent la variation interspécifique de la taille globale du cerveau ou des régions spécifiques du cerveau 1 .
Les premières études ont suggéré que les facteurs écologiques, tels que le régime alimentaire, expliquent la variation relative de la taille du cerveau dans les primates non humains 2 , 3, 4, 5 . Ceci est conforme à l’idée que le traitement de la viande et d’autres aliments a contribué à des augmentations subséquentes de la taille 6 , 7 du cerveau hominin en remplissant les exigences énergétiques plus élevées correspondantes 8 , 9, 10, 11 . Les études comparatives ultérieures ont mis l’accent sur le rôle des facteurs sociaux. En particulier, l’hypothèse du cerveau social pose que la complexité sociale est le moteur principal de la complexité cognitive chez les primates et que les pressions sociales associées au maintien de la cohésion du groupe ont finalement conduit à l’évolution du grand cerveau humain 12 , 13, 14, 15 . Cette hypothèse a été soutenue par des études indiquant des relations positives entre la taille relative du cerveau et / ou du néocortex et la taille moyenne des groupes 2 , 14 , 15, 16, 17 .
Cependant, les recherches sur les relations entre la taille relative du cerveau et les différents types de systèmes sociaux et d’accouplement, qui peuvent différer dans leur complexité sociale relative, ont donné des résultats très contradictoires 17 , 18 . Certaines études ont montré que les espèces de primates polygynandreuses ont le plus grand cerveau 3 , 17 , en cohérence avec l’idée que les systèmes qui favorisent le plus d’interactions et les relations entre le plus grand nombre d’individus pourraient être les plus exigeants. À l’inverse, d’autres études ont montré que les espèces monogames ont le plus grand cerveau 18 et ont soutenu que la monogamie pourrait nécessiter une plus grande déception et des capacités de manipulation 18 pour obtenir des copulations extra-paires, produire un coût relativement élevé de coucou et / ou nécessiter une résolution de conflit et Aptitudes de coordination pour l’entretien des cautionnements 17 .
Ces résultats contradictoires suggèrent que des problèmes méthodologiques ont peut-être conduit différents chercheurs à des conclusions différentes. Tout au long de l’étude comparative de l’évolution de la taille du cerveau des primates, les tailles d’échantillon des espèces utilisées dans les analyses ont été petites et idiosyncratiques, alors que les techniques statistiques disponibles se sont considérablement améliorées depuis les premières analyses. Par exemple, de nombreuses études antérieures ont utilisé les résidus en tant que données, ce qui peut causer un biais si la variable de contrôle co-varie avec d’autres variables dans l’analyse; L’utilisation de la régression multiple avec la variable de confusion incorporée en covariable est maintenant recommandée 19 . En outre, de nombreuses études ont utilisé une phylogénie 20 qui est devenue obsolète et que toutes les longueurs de ramifications sont définies à 1, une transformation de longueur de branche relativement radicale qui suppose un modèle évolutif dans lequel des changements se produisent au moment de la spéciation dans les deux espèces filles.
Nous avons rassemblé un échantillon beaucoup plus grand et plus représentatif de primates (> 140 spp., Plus que tripler la taille de l’échantillon des études précédentes) et a testé si plusieurs mesures de la socialité (taille moyenne du groupe, système social et conjoint séparément) expliquent la variation de la taille du cerveau Après avoir contrôlé la taille du corps, l’alimentation et l’histoire phylogénétique. Bien que certaines études aient utilisé la taille relative du néocortex plutôt que la taille totale du cerveau, cette information n’est pas disponible pour un grand échantillon d’espèces de primates; En tout cas, les échelles de néocortex sont hyper-allométriquement avec la taille du cerveau 21 . Dans sa forme originale, l’hypothèse du cerveau social a été formulée pour expliquer l’intelligence des primates 12 , 13 et a ensuite été discutée comme une tentative d’explication de la taille 14 , 15 , 22 du cerveau. L’accent mis sur le néocortex n’a pas toujours été basé sur un raisonnement a priori, mais parce que les analyses de neocortex ont parfois montré les corrélations les plus fortes avec les variables sociales en cours d’examen 14 . Les régions en dehors du néocortex sont également impliquées dans des fonctions cognitives complexes (par exemple, cerebellum 23 , hippocampus 24 , striatum 25 ) et des études montrent que la taille globale du cerveau prédit la capacité cognitive globale à travers les primates non humains 24 , 26 . En outre, les études des principaux promoteurs de l’hypothèse du cerveau social continuent de présenter des analyses de la taille totale totale de cerveau 17 , 22 , 24 , en cohérence avec l’interprétation selon laquelle l’hypothèse du cerveau social vise effectivement à expliquer les augmentations évolutives non seulement dans le rapport néocortex, mais Dans la taille globale du cerveau.
Résultats
Pour chaque mesure de la socialité, le modèle complet (y compris tous les prédicteurs) comprenait la taille du cerveau comme variable dépendante, et la taille du corps, soit la catégorie de régime alimentaire, soit le pourcentage de frugivores et les mesures de socialité alternatives comme prédicteurs. Nous employons une régression phylogénétique des moindres carrés généralisés (PGLS) et une incertitude phylogénétique incorporée en utilisant deux phylogénies de consensus récentes 27 , 28 et testés à travers un bloc bayésien d’arbres alternatifs pour l’un d’entre eux 27 , en utilisant des modèles mixtes phylogénétiques bayésiens de moyenne maximum et Une analyse de régression phylogénétique entièrement bayésienne. Nous avons comparé les différentes transformations de longueur de branche et les modèles complets par rapport au modèle réduit en utilisant le critère d’information bayésien (BIC) 29 . L’effet possible de la variation de taille de groupe intra-espèce a été testé via un rééchantillonnage. Les analyses des arbres de consensus ont été répétées dans certains sous-groupes (anthropoïdes, catarrhines) et utilisent également des données de taille de corps et de cerveau uniquement pour tenir compte des effets possibles des changements de grade dans la nature de la socialité et du dimorphisme sexuel, respectivement. Enfin, nous avons reconstruit les états ancestraux pour visualiser le contexte évolutif de l’évolution de la taille du cerveau et de la socialité.
Contrairement aux prédictions de l’hypothèse du cerveau social, nos résultats indiquent qu’aucune des mesures de la socialité examinées ici n’explique la variation relative de la taille du cerveau chez les primates, ce qui n’est prédit que par un régime alimentaire, les frugivores ayant des cerveaux relativement plus grands que les folivores. Les résultats des analyses de tous les primates incorporant l’arbre de consensus 10kTrees 27 sont présentés ici en détail parce que cet ensemble fournit la plus grande taille d’échantillon d’espèces. Les estimations de lambda à maximum de vraisemblance ont été utilisées pour les transformations de longueur de branche, car d’autres modèles, en particulier ceux ayant une longueur de branchement fixée à 1 (comme dans la plupart des études précédentes), étaient plus forts ( tableaux 1 , 2 , 3 , 4 ). Dans tous les cas, les ANOVA de type I pour les modèles, y compris tous les prédicteurs, indiquent que, bien que la taille du corps et l’alimentation expliquent chaque fois une quantité importante de variation de la taille du cerveau, aucune des mesures de la société examinées explique les variations supplémentaires ( tableaux 1 , 2 , 3 ). Ce modèle de signification reste lorsque le pourcentage de frugivorité est inclus dans le modèle au lieu de la catégorie de régime ( tableaux supplémentaires 1-3 ) et lorsque l’ordre dans lequel les variables de régime et de la société sont entrées dans le modèle est commuté ( tableaux supplémentaires 5-10 ). L’incertitude phylogénétique n’affecte pas ces modèles, à la fois comme arbres consensuels ( tableaux 1 , 2 , 3 , tableaux supplémentaires 1-18 ), la plupart des modèles de vraisemblance maximale testés à travers le bloc de 1 000 arbres ( tableaux supplémentaires 19 à 26 ), mélanges phylogénétiques bayésiens Les modèles ( tableaux supplémentaires 30 à 37 ) et les analyses de régression phylogénétique bayésienne ( tableaux supplémentaires 27 à 29 ) fournissent des résultats statistiquement indiscernables. La variation intra-espèce n’affecte pas non plus ces résultats, car l’analyse du rééchantillonnage des modèles de taille totale des groupes a confirmé le manque d’effet pour la taille du groupe (modèle avec catégorie de régime: estimation médiane = -0.003, intervalle de confiance de 95% (IC) = – 0,021 à 0,017; modèle avec pourcentage de frugivorité: estimation médiane = 0,021, IC 95% = -0,008 à 0,047). Ces résultats ne sont pas confondus par le dimorphisme sexuel car les analyses effectuées à l’aide de données sur le cerveau et la taille corporelle uniquement ont produit des résultats similaires ( tableaux supplémentaires 38-59 ). Bien que certaines mesures de la socialité semblent expliquer une quantité importante de variation dans un petit ensemble d’analyses de sous-groupes, elles sont probablement dues à des violations de l’hypothèse du modèle et ne sont pas cohérentes lorsque différentes phylogénies ou proxies alimentaires sont utilisées (voir Texte complémentaire ).
Tableau 1: Résultats pour les modèles de régime et de taille de groupe (spp. N = 140): cerveau (log) ~ corps (log) + régime + taille du groupe (log).
Table pleine grandeur
Tableau 2: Résultats pour les modèles de régime et de système social (spp. N = 142): cerveau (log) ~ corps (log) + alimentation + système social.
Table pleine grandeur
Tableau 3: Résultats pour les modèles de régime et d’accouplement (spp. N = 142): cerveau (log) ~ corps (log) + alimentation + système d’accouplement.
Table pleine grandeur
Tableau 4: Résultats pour les modèles de régime (spp. N = 144): cerveau (log) ~ corps (log) + alimentation.
Table pleine grandeur
En outre, pour chaque proxy de la société, le modèle incluant tous les prédicteurs n’est pas un bon ajustement par rapport aux modèles, y compris la taille corporelle seule ou la taille du corps et le régime alimentaire ( tableaux 1 , 2 , 3 , tableaux supplémentaires 1-3, 11-13 et 15- 17 ), alors que les deux derniers sont statistiquement indiscernables l’un de l’autre ( tableaux 1 , 2 , 3 , 4 , tableaux supplémentaires 1-4, 11-14 et 15-18 ). Après correction des comparaisons multiples, les frugivores et les frugivores / folivores présentent un cerveau significativement plus grand que les folivores ( tableau 4 ), avec des estimations modèles suggérant que les frugivores présentent 25% (IC 95% = 8 à 44%) plus de tissu cérébral que les folivores du même corps poids. Selon les règles de mise à l’échelle des cellules cellulaires du cerveau de primate telles que déterminées par la méthode du fractionneur isotrope 30 , cette différence prédite représente une augmentation d’environ 1,08 milliard de neurones totaux pour un frugivore de poids corporel moyen. Relativement plus de neurones pour la même masse corporelle, cela indique probablement une augmentation du pouvoir de traitement qui n’est pas simplement liée à la maintenance et au contrôle du corps 31 . Dans certaines analyses supplémentaires, les omnivores présentent également des cerveaux significativement plus grands que les folivores ( tableaux supplémentaires 58, 66 et 80 ). Ces résultats sont soutenus par l’effet significatif et positif du pourcentage de frugivory ( tableaux supplémentaires 1-4, 15-18, 23-29 et 34-37 ). L’incertitude phylogénétique n’affecte pas ces différences entre les catégories alimentaires ( tableaux supplémentaires 14, 22 et 33 ). Les reconstructions ancestrales de la taille relative du cerveau (quotient d’encéphalisation, EQ) et les mesures de socialité susmentionnées ( figure 1 ; les figures supplémentaires 1 et 2 soulignent des écarts notables par rapport aux prédictions de l’hypothèse du cerveau social).
Figure 1: reconstructions ancestrales de l’EQ des primates (gauche) et de la taille moyenne du groupe (à droite).

Les valeurs inférieures pour EQ et la taille moyenne du groupe sont affichées dans des couleurs plus brèves; Les valeurs supérieures sont indiquées en bleu ( n = 140 espèces). Des exemples de dérogations aux prédictions de l’hypothèse du cerveau social comprennent les gibbons, qui présentent une diminution de la taille du groupe depuis leur dernier ancêtre commun avec les grands singes (associés à la transition vers la monogamie) et une augmentation de la taille relative du cerveau (parallèlement à la diminution de la taille du corps et Entretien ou légère augmentation de la taille absolue du cerveau 32 ). De même, bien que cebids et aye-aye n’aient pas augmenté la taille du groupe, leur taille relative du cerveau a augmenté (éventuellement par rapport à leurs comportements de recherche extractive 5 ).
Image pleine grandeur
Discussion
Les résultats présentés ici sont compatibles avec une gamme d’hypothèses écologiques et de développement axées sur le frugivor, y compris: (1) la nécessité d’un stockage et d’une récupération d’informations spatiales 3 , 4 ; (2) demandes cognitives de «fourrage extractif» de fruits et de graines 5 ; Et (3) un renouvellement d’énergie plus élevé et une meilleure qualité du régime alimentaire pour l’énergie nécessaire pendant la croissance du cerveau foetal 8 , 9, 10, 11 . Ensemble, il semble que le frugivory offre non seulement des pressions sélectives sur le traitement cognitif 3 , 4, 5 , mais compense les coûts d’un cerveau métaboliquement coûteux en facilitant un meilleur renouvellement d’énergie et / ou une réduction de l’allocation d’énergie à la digestion 8 , 9, 10, 11 . Il existe de nombreux exemples d’espèces étroitement liées avec des tailles de corps similaires, des tailles de groupes et des systèmes sociaux qui présentent une taille de cerveau et des différences alimentaires appropriées (par exemple, Ateles versus Alouatta , Tableau supplémentaire 107 ). Notamment, les reconstructions ancestrales suggèrent ailleurs que ces changements n’ont pas été entraînés par des réductions de la taille du corps 32 . Les résultats suggérant que les espèces antropoïdes omnivores, mais pas strepsirrhine, ont de gros cerveaux par rapport aux folivores, reflètent vraisemblablement différentes stratégies comportementales liées à faunivord. Alors que les strepsirrhines omnivores se nourrissent généralement d’insectes, une source de nourriture relativement abondante, les anthropoïdes omnivores souvent chassent également des vertébrés (comme le Cebus Capucinus 33 ). Bien que les frugivores aient tendance à avoir des tripes relativement plus petits, les travaux récents n’indiquent aucune corrélation négative entre la taille relative du cerveau et le tube digestif après avoir contrôlé la masse sans graisse 34 . Le manque de relation entre la taille relative du cerveau et la socialité indiquée ici est conforme à des études antérieures limitées aux streptodéhydes 35 et aux taxons non primates (par exemple, les cétacés 36 , les carnivores 37 , les oiseaux 38 ) et suggère que les hypothèses sous-jacentes au cerveau social des primates L’hypothèse et ses prédictions associées devraient être réévaluées.
Tout d’abord, les comportements sociaux complexes (par exemple, les coalitions, la réciprocité) qui étaient auparavant supposés être uniques aux primates ont maintenant été trouvés dans d’autres taxons qui ne présentent pas de cerveaux relativement importants par rapport aux autres membres de leur ordre (tels que les hyènes repérées 39 ) . Par conséquent, la prémisse selon laquelle la complexité sociale nécessite nécessairement une complexité cognitive peut ne pas toujours tenir, car les défis de la vie sociale ne nécessitent peut-être pas de solutions cognitives flexibles en temps réel, mais pourraient être résolus en utilisant des règles de pouce plus simples développées 40 . Des études d’observation et de simulation ont suggéré que des règles associatives simples peuvent effectivement expliquer de nombreux comportements complexes 40 .
Deuxièmement, l’hypothèse selon laquelle les environnements sociaux complexes sont plus exigeants sur le plan cognitif que les propriétés de l’environnement physique dérive en partie de l’idée que le premier est plus instable que ce dernier et nécessite plus de pouvoir de traitement pour naviguer 41 . Cela n’a pas été démontré quantitativement 41 , et les études indiquant une relation positive entre la taille relative du cerveau et la survie chez les espèces de mammifères introduites dans de nouveaux environnements suggèrent que la variabilité environnementale à long terme pourrait choisir une polyvalence comportementale 42 .
Les difficultés liées à l’attribution de proxies appropriées de complexité sociale et de complexité cognitive ne doivent pas être sous-estimées. Par exemple, la taille moyenne du groupe est, au mieux, un proxy brut de la complexité sociale 43 , car les groupes plus grands peuvent ne pas être caractérisés par une augmentation correspondante du nombre de relations / interactions différenciées 44 . Les études futures utilisant des proxies plus sophistiqués peuvent fournir un meilleur soutien pour l’hypothèse du cerveau social. Cependant, nos résultats remettent en question l’accent actuel sur les explications sociales plutôt que écologiques pour l’évolution des grands cerveaux chez les primates. L’expansion rapide du cervelet hominoïde suggère que l’intelligence technique était au moins aussi importante que l’intelligence sociale dans l’évolution cognitive humaine 45 . En outre, de nombreuses études suggèrent que les substrats de l’utilisation d’un outil neuronal peuvent représenter des précurseurs évolutifs pour l’évolution du langage chez l’homme 46 , 47 . Les innovations techniques ont également permis d’accroître l’incorporation de la viande dans l’alimentation et l’avènement de la viande et d’autres aliments 6 , 7 . Ensemble avec la présente étude, ce corpus de travail comparatif suggère que l’évolution du cerveau des êtres humains et des êtres humains non-humains a été principalement motivée par une sélection de l’efficacité accrue de l’alimentation, avec des changements associés, puis peut-être fournir l’échafaudage pour le développement ultérieur de compétences sociales.
Méthodes
Collecte et compilation de données
Nous avons compilé toutes les données moyennes de l’espèce sur les poids du cerveau et du corps à partir des sources publiées de la littérature ( Fiches Supplémentaires: ‘Célere Données’ et ‘Données du corps’ ). Les poids du cerveau représentent des moyennes de ce qui suit: (1) poids cérébral enregistrés dans plusieurs sources originales (compilé dans la référence 48 ); Et (2) les volumes endocraniens (ECV) enregistrés au réf. 49 , qui ont été converties en masses en multipliant par un facteur de 1,036 g cm -3 (la densité du tissu cérébral 50 ). La valeur finale utilisée pour chaque espèce représente une moyenne des valeurs fournies dans les études, pondérées en fonction de la taille de l’échantillon de l’étude ( Fiches supplémentaires: onglets ‘Brain Pivot’ et ‘Brain Final’ ). Cet ensemble de données a été complété par des données sources secondaires 51 . L’ensemble de données féminines représente le poids du cerveau et du corps des spécimens sexés de la réf. 49 . Le sous-ensemble des espèces pour lesquelles le poids du cerveau et les ECV étaient disponibles ( n = 79) a été testé pour évaluer les biais en raison de différentes méthodes de collecte. L’accord a été conclu étant donné que: (1) les mesures ECV corrigées et les mesures pondérales étaient fortement corrélées ( R 2 = 0,99); (2) la différence de moyenne (poids ECV corrigé) était de 0,62 g avec une IC à 95% comprenant zéro (-1,81 à 3,05 g); Et (3) il y avait une faible corrélation ( R 2 = 0,20) entre la valeur moyenne des deux méthodes et la différence. Comme les poids corporels étaient indisponibles pour de nombreux spécimens dans les études initiales, ils représentent les moyennes du Manuel de la CRC des masses corporelles des mammifères 52 et des bases de données AnAge 53 et PanTHERIA 54 . Des données supplémentaires provenant de sources secondaires 51 , 55 , 56 ont été ajoutées pour compléter cet ensemble de données et ont été calculées comme valeurs moyennes des hommes et des femmes. Au cours de la compilation de cet ensemble de données, nous avons exclu les personnes juvéniles, émaciées et les données «de mauvaise qualité» (indiquées dans la base de données AnAge 53 ) lorsque cette information était disponible.
Nous avons attribué des catégories alimentaires selon les désignations précédentes dans la littérature publiée 3 , 55 , 57 , 58, 59, 60, 61 et utilisé un schéma de quatre catégories, qui comprend le folivore, le frugivore / le folivore, le frugivore et l’omnivore ( Données supplémentaires : Onglet «Diètes de régime» ). Le pourcentage de frugivorité par espèce a été obtenu à partir de la réf. 62 ( Données supplémentaires: onglet ‘Données sur le régime’ ). Nous avons assigné des systèmes sociaux et d’accouplement après avoir consolidé les tâches énumérées dans les sources littéraires publiées 3 , 17 , 18 , 35 , 63 , 64, 65, 66 ( données supplémentaires: onglet «Données système» ). Les catégories de systèmes sociaux représentent le schéma de catégorisation à quatre voies généralement utilisé dans les études sur les primates 67 , y compris les solitaires, les paires, la polygynie du harem et la polygynandrie. Les catégories du système d’accouplement comprennent la polygynie spatiale, la monogamie, la polyandrie, la polygynie du harem et la polygynandrie. Ces deux systèmes de catégorisation, système social et système d’accouplement ont été utilisés pour se conformer à des études antérieures en utilisant l’un ou l’autre, et parce que les organisations sociales et les systèmes d’accouplement des primates décrivent des schémas de catégorisation distincts qui ne sont pas toujours congruents, bien qu’ils soient souvent utilisés indifféremment. Les données de taille de groupe ont été recueillies auprès de nombreuses sources primaires et secondaires 35 , 59 , 67 , 68, 69, 70, 71, 72, 73, 74 . La taille moyenne du groupe par espèce a été calculée après avoir supprimé les valeurs en double ( données supplémentaires: onglet ‘Pivot de taille de groupe’ ). Cela a donné lieu à une moyenne de 4,7 points de données de taille de groupe par espèce.
Aucune règle universellement acceptée n’existe quant au rapport entre la taille de l’échantillon et le nombre de prédicteurs; Cependant, une règle couramment utilisée indique que le nombre de cas devrait être d’au moins 10 fois le nombre de termes estimés 75 . Dans tous les modèles inclus dans ces analyses, le nombre maximal de termes à estimer est 10 (modèles de systèmes d’accouplement incluant tous les prédicteurs: 1 = interception, 1 = coefficient de taille de corps (log), 3 = coefficients de catégorie de régime, 4 = coefficients de système d’accouplement , 1 = paramètre de transformation de longueur de branche), et toutes les tailles d’échantillon dépassent 100 espèces.
analyses statistiques
Toutes les analyses statistiques ont été réalisées dans R 3.2.2. Les humains ( Homo sapiens ) ont été exclus de toutes les analyses parce que nous sommes un dépassement de la taille du cerveau et, par conséquent, en excluant les humains ou en présentant des résultats avec des humains omis est une pratique courante dans des études comparatives de la taille du cerveau 18 .
Pour chacune des trois mesures de la socialité (taille moyenne du groupe, système social, système d’accouplement), deux ensembles de modèles ont été construits pour intégrer la catégorie alimentaire ou le pourcentage de frugivorité comme mesure du régime alimentaire. Dans chaque ensemble, trois modèles différents ont été construits, dont chacun avait la taille du cerveau comme variable dépendante et soit la taille du corps, la taille du corps + régime, soit la taille du corps + régime + proxy de la vie sociale comme prédicteurs. Toutes les variables continues, sauf le pourcentage de frugivory, ont été transformées en logarithme avant les analyses. Les termes d’interaction n’étaient pas inclus dans le but d’être interprétables et d’empêcher la sur-paramétrisation 76 . Les hypothèses du modèle linéaire, à l’exception des erreurs non corrélées (voir ci-dessous), ont été testées et confirmées. Bien que la relation attendue entre la taille du corps et le régime alimentaire 77 ait été confirmée dans cet échantillon, tous les facteurs d’inflation de variance dans tous les modèles linéaires ne dépassaient pas 3,3, un seuil couramment utilisé 78 car il indique le point où R 2 = 0,70 entre les variables. Bien que les variances résiduelles ont tendance à différer entre les catégories alimentaires et les systèmes sociaux et d’accouplement, les modèles de régression multiple supposent que la variance de l’erreur est constante à travers les valeurs prédites à partir du modèle, et les parcelles de résidus par rapport aux valeurs prédites supportent cette hypothèse.
Les espèces représentent des cas non indépendants car elles peuvent partager des traits en raison de l’inertie phylogénétique, nous avons donc testé le signal phylogénétique dans les résidus modèles linéaires en estimant les valeurs de lambda ( λ ) de Pagel. Bien qu’il ait été une pratique courante dans la biologie comparative de tester les variables indépendantes et dépendantes du signal phylogénétique pour justifier une analyse à l’aide de méthodes phylogénétiques, PGLS suppose que les résidus du modèle de régression, et non les traits à l’étude, suivent une distribution normale multivariée avec des variances et des covariances Sont proportionnelles aux relations phylogénétiques de l’espèce. Comme signal phylogénétique significatif a été détecté, la régression du PGLS a été utilisée dans tous les cas. Nous avons utilisé les topologies et les longueurs de branchement de l’arbre de consensus de la taxonomie GenBank fourni sur le site web 10kTrees 27 (version 3) et avons également répété toutes les analyses en utilisant la phylogénie moléculaire de la réf. 28 .
Les comparaisons de modèles ont été effectuées à l’aide de BIC plutôt que du critère d’information d’Akaike, car le premier utilise une pénalité plus conservatrice pour des termes supplémentaires et est plus susceptible de suggérer le modèle le plus parcimonieux ou le plus petit nombre de paramètres à estimer. L’analyse séquentielle de la variance (ANOVA de type I) a été utilisée pour identifier les variables qui expliquent une quantité importante de variation de la taille du cerveau.
Dans certaines des analyses limitées aux catarrhines, les estimations de vraisemblance de lambda produites par les modèles PGLS ont donné une valeur de zéro. Il est peu probable que ces traits soient modélisés en utilisant la régression des moindres carrés ordinaires (équivalent à lambda = 0) et que ce résultat est dû à une diminution de la taille de l’échantillon. Les parcelles log-vraisemblance de lambda illustrent cela, car elles sont très plates (voir la figure 3 supplémentaire, par exemple). Par conséquent, ces modèles ont été exécutés à l’aide d’une valeur de lambda obtenue en calculant son IC à 95% (représenté par les lignes rouges dans la figure 3 supplémentaire ), en extrayant 100 valeurs espacées de lambda dans cet intervalle et en les faisant en moyenne avec chaque valeur pondérée selon son probabilité.
Nous avons également considéré l’influence de l’incertitude dans les relations phylogénétiques en utilisant 1000 arbres différents de 10kTrees, qui ont été créés à l’aide de méthodes phylogénétiques bayésiennes et échantillonnés proportionnellement à leur probabilité 27 . Nous avons examiné les modèles PGLS complets (tous les prédicteurs) pour chaque combinaison de combinaison sociale et alimentaire séparément pour chaque arbre. L’ANOVA de type I a été menée sur chacun des modèles résultants, et la gamme des valeurs de P pour chaque prédicteur a été comparée à celles produites par des analyses intégrant l’arbre de consensus. Nous avons également examiné le modèle PGLS, y compris la taille du corps et le régime séparément pour chaque arbre, afin de confirmer les différences de taille du cerveau entre les catégories alimentaires. Nous avons appliqué la moyenne des modèles, car cette procédure prend en compte le degré variable d’ajustement des modèles pour estimer les coefficients de régression 79 . Pour chaque modèle, nous avons permis au facteur de mise en échelle phylogénétique (lambda) de prendre la valeur de sa vraisemblance maximale 19 .
Nous avons également installé des modèles de régression à l’aide du programme «Continuous» dans BayesTraits V2 80 . Étant donné que cette fonction ne peut utiliser que des variables continues, nous avons utilisé des modèles utilisant le pourcentage de frugivory et la taille du groupe (log) comme proxies de la qualité du régime alimentaire et de la socialité, respectivement. Ce programme nous a permis de générer des distributions postérieures de modèles de régression PGLS (coefficients de régression et paramètres de mise à l’échelle) qui tiennent compte de la non-indépendance phylogénétique des données sur les espèces. L’analyse a échantillonné le bloc d’arbres de 1 000 arbres proportionnellement à leur probabilité postérieure pour tenir compte de l’incertitude phylogénétique, et le paramètre de mise à l’échelle lambda a été échantillonné au cours de l’analyse de régression de la chaîne de Markov Monte Carlo (MCMC). Des prieurs uniformes et non informatifs ont été utilisés, car ceux-ci reflètent l’hypothèse selon laquelle toutes les valeurs possibles des paramètres sont également probables a priori 81 , et cette analyse a été effectuée pour 2 millions d’itérations, échantillonnant toutes les 200 itérations, avec un burn-in de 200 000. Les diagnostics MCMC ont été exécutés en utilisant le paquet ‘coda’ dans R 82 . Nous rapportons les moyens postérieurs des variables incluses dans chaque modèle et leurs IC 95% 83 , et la probabilité que chaque valeur du paramètre explicatif soit> 0 ( P MCMC ) car tous ont été supposés avoir des associations positives avec la taille du cerveau.
Enfin, nous avons examiné l’effet possible de l’incertitude phylogénétique en utilisant des modèles mixtes bayésiens pour tester à travers un échantillon aléatoire de 100 arbres différents de l’ensemble précédent de 1000 10kTrees phylogénies. Ceci a été mis en œuvre en utilisant le paquet R ‘MCMCglmm’ 84 et le code R modifié de la réf. 85 . Cette procédure utilise une approche d’estimation MCMC et tient compte de la non-indépendance phylogénétique en incluant les relations phylogénétiques entre les espèces en tant que variable aléatoire. Nous avons confirmé la convergence entre les chaînes modèles à l’aide de la statistique Gelman-Rubin, avec tous les modèles nécessaires pour avoir un facteur potentiel de réduction d’échelle inférieur à 1,1 (réf. 86 ). La taille efficace des échantillons pour tous les termes dans tous les modèles était de> 1 000. Conformément aux travaux antérieurs 84 , 85 , nous avons utilisé une distribution inverse-Wishart non informative et un paramètre développé précédemment, avec une distribution à demi-Cauchy pour le facteur aléatoire. Chaque modèle a été adapté à chacun des 100 arbres, et les sorties du modèle ont été combinées pour créer des distributions de coefficients.
Nous avons mis en place une procédure de rééchantillonnage afin d’intégrer la variation de l’espèce à l’intérieur de la taille du groupe. Cette procédure consiste à choisir de manière aléatoire une donnée de taille de groupe pour chaque espèce et à la définir comme estimation spécifique de l’espèce 16 , 87 . À l’aide de ce schéma de rééchantillonnage, nous avons créé 1000 ensembles de données spécifiques aux espèces qui ont ensuite été analysés en utilisant le modèle de PGLS de taille de groupe complet (tous prédicteurs). Certaines itérations ont rencontré des erreurs d’optimisation, qui concernent le calcul de la probabilité maximale de lambda. Ceux-ci ont été ignorés et le rééchantillonnage s’est poursuivi jusqu’à ce que nous produisions 1000 modèles 16 . Pour faire des inférences sur ces modèles, nous avons déterminé l’IC à 95% des coefficients de terme de taille de groupe dérivés.
Avant les analyses ancestrales de reconstruction, les polytomies dans l’arbre phylogénétique ont été résolues en utilisant la fonction ‘multi2di’ dans le paquet R ‘ape’ 88 . Les reconstructions de l’état ancestral à maximum de vraisemblance des traits continus (taille relative du cerveau, taille moyenne du groupe) ont été estimées à l’aide de la fonction ‘fastAnc’ dans les «phytools» du paquet R 89 . L’EQ 31 a été utilisée comme mesure de la taille relative du cerveau, et l’équation a été dérivée de notre ensemble de données ( n = 144 espèces) en utilisant la formule allométrique E = kP α , où E est la masse cérébrale, P est la masse corporelle, k est le Proportionnalité constante, α est l’exposant allométrique et l’équation finale est E = 0,085 × P 0.775 . Le noeud racine a été défini 22 pour refléter une espèce caractérisée par une alimentation solitaire (taille du groupe = 1) et une taille relative du cerveau (EQ = 0,41) en fonction des estimations des poids du cerveau et du corps des primates fossiles Eocène précoce ( Smilodectes gracilis 90 : cerveau = 9,84 G, corps = 1 600 g, EQ = 0,38; Tetonius homunculus 91 : cerveau = 1,55 g, corps = 161 g, EQ = 0,45; voir Données supplémentaires: onglet ‘Données fossiles’ ).
Les reconstructions pour les variables discrètes (système social et accouplement) ont été menées à l’aide d’une méthode bayésienne empirique dans laquelle la matrice de transition est fixée à sa valeur la plus probable, exécutée par la fonction «make.simmap» dans le paquet R «phytools» 89 . La fonction correspond tout d’abord à un modèle de Markov réversible en continu pour l’évolution du trait en question, puis simule des histoires de caractères stochastiques en utilisant ce modèle et les états de pointe sur l’arbre donné 89 . Pour fournir des informations sur l’incertitude de reconstruction, des reconstructions ancestrales marginales ont été effectuées à chaque noeud en calculant l’ensemble des probabilités postérieures Bayes empiriques que chaque noeud est dans chaque état sur 500 simulations. Les probabilités antérieures du noeud racine ont été établies pour assumer la polygynie spatiale et la recherche solitaire comme états ancestrales pour le système d’accouplement et le système social, respectivement. Les différents modèles de taux de transition ont été considérés en utilisant BIC, y compris: (1) un modèle de taux égaux, dans lequel un seul paramètre gère tous les taux de transition évolutifs; (2) un modèle de taux symétrique, dans lequel les transitions évolutives vers l’avant et vers l’arrière entre les états sont contraintes d’être égales; Et (3) un modèle différent de tous les taux, où chaque taux reçoit un paramètre unique. Le modèle des taux symétriques a finalement été utilisé pour les deux reconstructions car il présentait la valeur BIC la plus basse.
Disponibilité des données
Les auteurs déclarent que toutes les données qui appuient les résultats de cette étude sont disponibles dans le document et dans ses fichiers d’ information complémentaire .
Information additionnelle
Comment citer cet article: DeCasien, AR, Williams, SA et Higham, JP La taille du cerveau Primate est prédite par le régime mais pas par la socialité. Nat. Ecol. Evol . 1, 0112 (2017).
Note de l’éditeur: Springer Nature reste neutre en ce qui concerne les revendications juridictionnelles dans les cartes publiées et les affiliations institutionnelles.
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¤ L’expansion du cerveau humain pendant l’évolution est indépendante du contrôle et de la cuisson des incendies:

* https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://journal.frontiersin.org/article/10.3389/fnins.2016.00167/full&prev=search

L’expansion du cerveau humain pendant l’évolution est indépendante du contrôle et de la cuisson des incendies
Alianda M. Cornélio 1,2 * , Ruben E. de Bittencourt-Navarrete 3 , Ricardo de Bittencourt Brum 1 , Claudio M. Queiroz 1 et Marcos R. Costa 1 *
⦁ 1 Institut du cerveau, Université fédérale de Rio Grande do Norte, Natal, Brésil
⦁ 2 Département de Morphologie, Centre des Biosciences, Université fédérale de Rio Grande do Norte, Natal, Brésil
⦁ 3 Département de physiologie, Institut des sciences biologiques, Université fédérale de Juiz de Fora, Juiz de Fora, Brésil
Qu’est-ce qui rend les humains uniques? Cette question a fasciné les scientifiques et les philosophes pendant des siècles et il s’agit encore d’un débat intense. De nos jours, l’expansion du cerveau humain pendant l’évolution a été reconnue pour expliquer nos capacités cognitives renforcées. Les moteurs de cette expansion accélérée restent toutefois inconnus. Dans ce sens, des études ont suggéré que la cuisson des aliments pourrait être une condition préalable à l’expansion de la taille du cerveau dans les premiers hominins. Cependant, cette hypothèse attrayante n’est soutenue que par un modèle mathématique suggérant que le nombre croissant de neurones dans le cerveau limiterait la taille du corps chez les primates en raison d’une quantité limitée de calories provenant des régimes alimentaires. Ici, nous montrons, en utilisant un modèle mathématique similaire, qu’un échange entre la masse corporelle et le nombre de neurones du cerveau imposés par les contraintes alimentaires lors de l’évolution de l’hominin est peu probable. Au lieu de cela, le nombre prévisible de neurones dans le cerveau hominin varie beaucoup plus en fonction de l’efficacité de la nourriture que de la masse corporelle. Nous examinons également les données archéologiques pour montrer que l’expansion du volume du cerveau dans le lignage hominin est décrite par une fonction linéaire indépendante de la preuve du contrôle du feu et, par conséquent, le traitement thermique des aliments ne tient pas compte de ce phénomène. Enfin, nous rapportons des expériences sur des souris montrant que le traitement thermique de la viande n’augmente pas sa disponibilité calorique chez la souris. Au total, nos données indiquent que la cuisine n’est ni suffisante ni nécessaire pour expliquer l’expansion du cerveau hominin.
introduction
L’évolution humaine est marquée par une augmentation significative de la taille totale du cerveau par rapport à la taille du corps, appelée encéphalisation. Bien que l’encéphalisation accrue soit une caractéristique claire de l’évolution cognitive et culturelle humaine, il y a peu de consensus sur les causes d’un tel phénomène. En partie, ce manque d’accord reflète la difficulté de tester directement de nombreuses hypothèses proposées pour expliquer la croissance du cerveau dans la lignée hominin.
Les études sur l’évolution du cerveau humain reposent en grande partie sur deux grandes lignes de preuve: (i) les enregistrements fossiles, appelés paleoneurologie; Et (ii) des preuves indirectes provenant d’une comparaison anatomique, physiologique et comportementale entre les humains et les primates existants étroitement apparentés, comme le chimpanzé. Alors que le premier permet des inférences sur le volume total du cerveau des hominins disparus, les comparaisons entre les primates existants permettent une analyse plus détaillée de la façon dont l’organisation microscopique et grossière du cerveau est en corrélation avec différents comportements, ce qui permet des inférences sur les aspects anatomiques et fonctionnels du cerveau. Cependant, il est important de garder à l’esprit que les espèces vivantes existantes, comme le chimpanzé, le gorille et le macaque, sont les points forts de leurs propres lignes évolutives et non de nos ancêtres ( Holloway, 1968 ). Par conséquent, la combinaison de preuves directes et indirectes est obligatoire afin de mieux comprendre le moment et le développement du cerveau humain.
Sur la base de ces preuves «directes» et «indirectes», de nombreuses théories différentes ont été proposées pour expliquer la croissance disproportionnée du cerveau dans la lignée humaine, compte tenu du coût énergétique élevé des cerveaux plus grands ( Mink et al., 1981 ). L’hypothèse coûteuse des tissus, par exemple, explique l’évolution du cerveau en proposant un compromis entre la taille du cerveau et celle du tube digestif, ce qui est plus petit que prévu pour un primate de notre taille corporelle ( Aiello et Wheeler, 1995 ). Cependant, une étude importante, dans laquelle la masse corporelle a été contrôlée pour la masse corporelle sans graisse, a échoué à trouver des corrélations négatives entre la taille relative du cerveau et du tube digestif (ou tout autre organe coûteux comme le cœur, les poumons, les reins, la rate , Ou le foie) pour les 100 espèces de mammifères analysés, y compris 23 primates ( Navarrete et al., 2011 ).
Récemment, il a été proposé que des contraintes énergétiques imposent un compromis entre la croissance du corps et du cerveau pendant l’évolution des primates ( Fonseca-Azevedo et Herculano-Houzel, 2012 ). Selon cette hypothèse, les limites pour les calories obtenues au cours des heures de soins forages imposent une pression sélective sur la croissance du corps et du cerveau. Dans ce cas, les primates avec une plus grande taille de corps présentaient une masse cérébrale proportionnellement plus petite en raison des contraintes diététiques. Les ancêtres humains, mais pas les autres primates, sont supposés avoir contourné ces contraintes par la cuisine. Cela augmenterait la teneur calorique disponible dans les aliments ( Carmody et al., 2011 ; Fonseca-Azevedo et Herculano-Houzel, 2012 ).
Dans ce travail, nous examinons les corrélations entre la taille du cerveau et la cuisson au moyen de données archéologiques et neuroanatomiques, ainsi que de nouvelles données métaboliques sur le contenu énergétique des viandes crues et cuites. Nous montrons que l’encodalisation des grands primates a été atteinte des millions d’années avant le contrôle répandu du feu, une condition préalable à la cuisson, et fournit des preuves indiquant que les premiers hominins étaient susceptibles d’obtenir suffisamment de calories provenant de la viande crue pour se permettre la taille de leur cerveau.
Matériaux et méthodes
Modèle mathématique
La loi de Kleiber ( Kleiber, 1947 ) a été utilisée pour déterminer le besoin énergétique quotidien du corps ( E BD ) selon l’équation:
E B ré = Z × M B ré 0 . 75 ( 1 )
Où Z est un facteur de correction qui varie selon les espèces et selon l’activité physique et la BDM est la masse corporelle. Pour maintenir les fonctions physiologiques appropriées et la masse corporelle stable pendant l’exercice ou les conditions sédentaires, nous avons utilisé l’équation de Harris et Benedict (1918) , dans laquelle:
E B ré = B M R × 1 . 2 ( 2 )
Où BMR est le taux métabolique basal du corps. Selon cette approche ( Harris et Benedict, 1918 ), BMR peut être calculé en utilisant l’équation suivante (pour les hommes):
B M R = 66 + ( 13 . 7 × W ) + ( 5 × H ) – ( 6 . 8 × une ) ( 3 )
Où w est le poids (en kilogramme), h est la hauteur (en centimètre), et a est l’âge (en années). En combinant les équations (1) et (2), on obtient:
B M R × 1 . 2 = Z × M B ré 0 . 75 ( 4 )
En utilisant Equations (3, 4), il est possible de calculer le facteur Z pour une hominine masculine précoce (70 kg, 1,6 m et 30 ans) dans des conditions de repos ( Harris et Benedict, 1918 , Kleiber, 1947 ):
B M R × 1 . 2 = Z × M B ré 0 . 75 [ 66 + ( 13 . 7 × 70 ) + ( 5 × 160 ) - ( 6 . 8 × 30 ) ] × 1 . 2 = Z × 70 0 . 75 1621 × 1 . 2 = Z × 24 . 2 Z = 80 . 3
Les travaux antérieurs ( Fonseca-Azevedo et Herculano-Houzel, 2012 ) ont adopté Z = 70, probablement sous-estimant le besoin énergétique quotidien (voir Discussion). Ici, nous nous attendons à ce que les premiers hominins aient au moins une activité physique modérée (par exemple, au moins 60 minutes par jour, 5 fois par semaine) et, par conséquent, aurait un besoin énergétique 1,55 fois le BMR ( Harris et Benedict, 1918 ). Mise à jour de l’équation (4) à:
B M R × 1 . 55 = Z × M B ré 0 . 75 ( 5 )
mène à
[ 66 + ( 13 . 7 × 70 ) + ( 5 × 160 ) - ( 6 . 8 × 30 ) ] × 1 . 55 = Z × 70 0 . 75 1621 × 1 . 55 = Z × 24 . 2 Z = 103
Sauf indication contraire, cette valeur du facteur Z a été utilisée dans tous les calculs suivants.
Les volumes de cerveaux pour différentes espèces ont été obtenus à partir de publications précédentes (voir tableau 1 ). Pour permettre des comparaisons entre les études présentes et antérieures, le nombre estimé de neurones par cerveau était le même utilisé par Fonseca-Azevedo et Herculano-Houzel (2012) . Les tests graphiques et statistiques ont été effectués à l’aide du programme Matlab (version 7, R14, Mathworks) ou GraphPad Prism version 5.00 (San Diego, Californie, États-Unis, www.graphpad.com ). L’intervalle de confiance a été fixé à 95%.
TABLEAU 1

Tableau 1. Volume du cerveau et masse corporelle des espèces d’hominidés tout au long de l’évolution .
Données archéologiques
Nous avons classé la preuve de la lutte contre le feu (par les hominins) en forte (SE), faible (WE), très faible (VWE) et inexistante (NE) selon James (1989) . En bref, nous avons classé les résultats archéologiques dans deux catégories principales: (1) Suggestive d’action humaine: bois dur au feu (FHW), os brûlés (BB), coquilles brûlées (BS), aliments brûlés (BF), roches craquées par le feu ( FR), les lithiques brûlés (BL) et le foyer (H); Et (2) Potentiellement accidentel: charbon (C), dépôt brûlé (BD), argile cuite (BC), cendres (A), zone rouge (RA). Ensuite, nous avons examiné l’association de ces résultats avec les os humains (HB) et les outils (T). La preuve du contrôle humain du feu a été classée comme forte lorsque au moins un résultat archéologique du feu était associé à des os ou des outils humains; Une preuve faible a été classée lorsque l’association n’était pas claire; Et des preuves très faibles pour les sites où seuls les décès potentiellement accidentels de feu étaient présents, sans association avec les os ou les outils humains (tableau 2 ).
TABLEAU 2

Tableau 2. Preuves archéologiques du contrôle du feu par les hominidés .
Gain énergétique des viandes crues et cuites
Pour tester directement si le traitement thermique de la viande pourrait augmenter le gain énergétique, nous avons utilisé le protocole décrit par Carmody et al. (2011) . En bref, les souris adultes mâles adultes de 31 à 51 g ont été nourries avec des œufs de boeuf crus ou cuits (B. Taurus). La viande a été acquise dans un supermarché local (Nordestão, Natal, RN) et conservée au réfrigérateur à 4 ° C pendant tous les jours de tests. La viande a été coupée en cubes (~ 1,5 cm par côté) et pondérée en portions (30,0 ± 0,5 g). Les échantillons de viande cuits ont été placés dans des boîtes de Petri et rôti dans un four à convection préchauffé à 220 ° C pendant 15 min. Les échantillons de viande crue ont été conservés au réfrigérateur pendant le même temps de torréfaction. Les régimes ont été maintenus à température ambiante pour équilibrer avant l’alimentation commencée (figure complémentaire 1).
Les souris ont logé l’eau reçue individuellement et le régime expérimental fourni dans les boîtes de Petri, pendant toute la période d’expérience. Les cages, les revêtements, les régimes alimentaires et l’eau ont été changés tous les jours. Les souris ont été nourries pendant quatre jours consécutifs avec des régimes de viande crue (RW) ou cuits (CK). Les deux régimes ont été offerts chaque jour à tous les animaux. Le poids corporel a été enregistré quotidiennement. Les aliments résiduels des 24 heures précédentes ont été collectés et pesés pour analyse. Toutes les expériences ont été effectuées conformément aux lois brésiliennes et internationales pour les soins des animaux et ont été approuvées par le Comité institutionnel des soins et de l’utilisation des animaux (IACUC).
Résultats
L’efficacité énergétique est importante pour maintenir un grand nombre de neurones
Des travaux récents suggèrent que le coût énergétique du cerveau est proportionnel à son nombre de neurones. Par conséquent, l’augmentation du nombre de neurones lors de l’évolution des primates imposerait une contrainte métabolique aux dimensions du corps et du cerveau ( Fonseca-Azevedo et Herculano-Houzel, 2012 ). Les modèles mathématiques en supposant que l’apport calorique par heure entre les échelles d’hominins en fonction de la masse corporelle ( M BD ) avec un exposant égal à 0,526 ( M BD 0,526 ) confirme cette conclusion ( Fonseca-Azevedo et Herculano-Houzel, 2012 ). Cependant, cette fonction ( M BD 0.526 ) découle d’estimations comprenant les heures quotidiennes de nourriture et les masses corporelles de 10 primates non humains avec un régime largement végétarien ou frugivore ( Richards, 2002 ). Il convient de noter que ce modèle ne prend pas en compte d’autres changements probables dans le régime alimentaire des premiers hominins, comme une augmentation de la consommation de protéines animales et de graisse. Par conséquent, nous nous sommes efforcés de réévaluer si les limitations métaboliques imposeraient un compromis entre la taille du corps et le nombre de neurones du cerveau dans l’évolution humaine, en supposant que l’efficacité de la nourriture ne varie pas selon la masse corporelle.
Tout d’abord, nous avons supposé que l’apport énergétique quotidien ( E IN ) est directement proportionnel au nombre d’heures fourragères ( H ) et à la quantité moyenne de calories obtenue par heure de nourriture, ce qui représente l’efficacité alimentaire ( Q ). Ensuite, nous avons calculé le besoin énergétique du corps ( E BD ) avec une activité modérée (dépensée pendant la nourriture) par espèce en utilisant la loi de Kleiber ( E BD = 103 × M BD 0.75 , voir Equation 1, Matériaux et Méthodes). Dans l’état stationnaire, E IN = E BD ou H × Q = 103 × M BD 0,75 . Pour séparer les coûts énergétiques du cerveau et du corps, nous avons soustrait la masse cérébrale ( M BR ) de M BD dans l’équation (1) et a inclus l’énergie du cerveau ( E BR ) comme nouvelle variable:
H × Q = 103 × ( M B ré – M B R ) 0 . 75 + E B R ( 6 )
Puisque M BD comprend M BR , nous avons cela
M B ré – M B R = ( 1 – R ) × M B ré ( 7 )
Où r = M BR / M BD , c’est-à-dire le rapport entre le cerveau et la taille du corps. Enfin, en supposant que le coût énergétique du cerveau est une fonction linéaire de son nombre de neurones et que le coût énergétique de chaque neurone est de 6 × 10 -9 kcal par jour dans différentes espèces ( Herculano-Houzel, 2011 ), nous pouvons dériver le équation:
H × Q = 103 × ( ( 1 – R ) × M B ré ) 0 . 75 + ( N × 6 × dix – 9 ) ( 8 )
Où N est le nombre total de neurones.
En utilisant Equation (8), nous avons d’abord simulé comment le nombre de neurones varie en fonction de la masse corporelle pour cinq valeurs différentes de E IN (500-4500 kcal / jour) et quatre valeurs du rapport ( r ) M BR / M BD (Figure 1 ). Fait intéressant, le rapport M BR / M BD n’a pas influencé significativement le nombre de neurones dans le cerveau (la fonction de chaque r est à peine discernable l’une de l’autre). En revanche, l’augmentation de la consommation quotidienne d’énergie de 1000 kcal a considérablement stimulé le nombre de neurones offerts dans un corps, quelle que soit sa masse. Ainsi, cette simulation suggère que l’apport énergétique pourrait être un facteur limitant pour une échelle allométrique de la taille du corps et le nombre de neurones dans le cerveau. En outre, il montre également que les espèces qui obtiennent une quantité donnée de calories par jour peuvent varier leur nombre de neurones du cerveau dans l’ordre de milliards sans des changements significatifs dans leur masse corporelle. Par exemple, un gorille pesant 110 kg aurait besoin de 3695 kcal / jour pour maintenir un cerveau avec 33 milliards de neurones (figure 1 ). En réduisant son poids à 100 kg (~ 10% de réduction), le même gorille pourrait probablement maintenir un cerveau avec 60 milliards de neurones (semblable au nombre inféré pour Homo erectus ) tout en conservant la même quantité d’énergie (point rouge de la figure ). Ces données suggèrent que l’hypothèse attrayante d’un compromis entre la masse corporelle et le nombre de neurones du cerveau imposés par les contraintes alimentaires lors de l’évolution des primates est peu probable.
FIGURE 1

Figure 1. Effets théoriques de l’efficacité de la nourriture sur le nombre de neurones du cerveau liés au poids corporel . Le graphique prédit le nombre de neurones à différentes efficacités de recherche, 500 (bleu foncé), 1500 (vert), 2500 (orange), 3500 (bleu clair) et 4500 (violet) kcal par jour. Les ratios du cerveau et de la masse corporelle varient de 0,5 à 2%. Les espèces de primates sont indiquées dans le graphique (cercles noirs). Observez que de petites variations dans la masse corporelle sont associées à des augmentations spectaculaires du nombre de neurones. Un primat avec une efficacité alimentaire de 3500 kcal, comme le gorille, pourrait facilement se permettre le même nombre de neurones qu’un Homo erectus en réduisant simplement son poids en environ 10 kg (cercle rouge).
Ensuite, nous avons simulé le nombre d’heures fourragères ( H ) en fonction de la masse corporelle ( M BD ) à cinq valeurs de N (10-130 milliards de neurones) et de trois valeurs d’efficacité fourragère ( Q ) (Figure 2 ). Nous avons observé que l’efficacité croissante de l’alimentation aurait un effet dramatique sur le nombre d’heures de recherche nécessaires pour maintenir un nombre élevé de neurones, même dans les espèces à grande masse corporelle. Par exemple, un homo sapiens pesant 70 kg pourrait facilement maintenir 10 11 neurones à travers 5 h de fourrage avec une efficacité de 500 kcal / h (Figure 2B ). En outre, l’augmentation du poids corporel affecte les heures de fourrage plus fortement que le nombre augmenté de neurones, surtout lorsque l’efficacité de la nourriture est faible (figure 2A ). Pour une efficacité énergétique élevée (500 et 750 kcal), des augmentations subtiles du nombre d’heures fourragères pourraient suffire à maintenir des augmentations d’un ordre de grandeur dans le nombre de neurones par cerveau, en maintenant le même poids corporel (figures 2B, C ). Ainsi, le modèle actuel suggère que l’évolution de la taille du cerveau dans la lignée humaine dépendrait fortement des stratégies visant à accroître l’efficacité de l’alimentation, plutôt que sur un compromis entre le cerveau et la taille du corps. En fait, nous n’avons observé aucune corrélation entre les volumes du cerveau et les masses corporelles pour 16 espèces de primates analysées dans ce travail (Figure complémentaire 2B).
FIGURE 2

Figure 2. L’efficacité de la fourrage augmentée permet d’augmenter le poids corporel, d’économiser les heures d’alimentation journalières et de maintenir un grand nombre de neurones . (A-C) Les graphiques montrent des variations dans les heures de recherche liées à la masse corporelle pour les primates soutenant 10 (bleu foncé), 40 (vert), 70 (orange), 100 (bleu clair) ou 130 (pourpres) milliards de neurones Trois efficacités de fourrage différentes: 250 kcal / h (A) , 500 kcal / h (B) ou 750 kcal / h (C) . Observez que l’augmentation de l’efficacité énergétique à 750 kcal / h, les primates pourrait peser facilement plus de 100 kg et avoir 100 milliards de neurones en dépensant> 5 h en nourriture.
Le début de l’expansion de la taille du cerveau humain ne correspond pas au contrôle du feu et de la cuisine
Quelles stratégies les premiers hominins ont peut-être développé pour accroître leur efficacité fourragère? Récemment, il a été suggéré que le traitement thermique de l’alimentation pourrait être le point tournant dans l’évolution du cerveau humain une fois qu’il permettrait une efficacité accrue de l’alimentation (c.-à-d. Augmenter la teneur en énergie par quantité d’aliments) sans augmentation significative du temps de fourrage ( Carmody et al . 2011 , Fonseca-Azevedo et Herculano-Houzel, 2012 ). De toute évidence, le traitement thermique de la nourriture nécessitait le contrôle du feu par les premiers hominins. Cependant, le contrôle humain du feu et son association avec la cuisine au début de l’expansion du cerveau humain sont très controversés.
La première preuve d’incendie dans les archives archéologiques remonte à environ 1 million d’années (MYA). En 1988, Brain et Sillen ont décrit la présence d’os brûlés dans les grottes de Swartkrans (Afrique du Sud). En dépit de la preuve d’un os découpé indiquant la boucherie, ces auteurs sont prudents, déclarant que le feu n’était pas nécessairement utilisé pour la cuisine ( Brain et Sillen, 1988 ). Plus récemment, Berna et ses collaborateurs ont trouvé des os brûlés et des cendres des plantes sur le site de la grotte de Wonderwerk (Province du Cap du Nord, Afrique du Sud). Pourtant, aucune association claire avec l’activité humaine n’a été décrite ( Berna et al., 2012 ). De même, les données archéologiques dans les localités de Yanmou (Chine), Chesowanja et Koobi Fora (Kenya, Afrique) 1.5 MYA ne soutiennent pas l’origine humaine des restes d’incendie ( James, 1989 ). Weiner et al. (1998) ont analysé les preuves de l’utilisation du feu dans les sédiments accumulés depuis environ 500 000 à 200 000 ans (YA) à Zhoukoudian, en Chine, et ont conclu qu’aucune inférence tirée de l’origine humaine de ces dépôts n’est définitive. La complexité des dépôts fossiles conduit généralement à des interprétations erronées. L’origine de ces incendies pourrait être attribuée, par exemple, à l’association fortuite entre l’action des hominins et des causes naturelles comme l’éclairement ou la flamme des éruptions volcaniques. En outre, des résidus de combustion pourraient avoir été transportés dans des grottes par des courants d’eau ou des fractures sismiques. Weiner et al. (1998) soulignent l’absence de cendres et de charbon de bois et aussi le manque de preuves de l’action humaine dans ces sites.
Un scénario différent se pose concernant le site de Gesher Benot Ya’aqov en Israël ( Alperson-Afil et al., 2009 ). Les foyers restent conservés dans la même région à travers plusieurs générations d’hominins qui se situent entre 790 000 et 690 000 YA. Dans ces sites, la présence de noix brûlées suggère l’utilisation du feu par les humains, même si elle a également été associée à l’utilisation d’outils lithiques. Malgré la présence claire du feu humain, son but n’est pas encore clair. Les applications alternatives peuvent inclure l’éclairage, le chauffage ou même une approche pour éviter les prédateurs et les insectes.
En faveur d’un contrôle humain antérieur sur le feu, il a été suggéré qu’aucune occupation de l’Europe par les hominins ne serait possible sans elle. Néanmoins, Roebroeks et Villa (2011) montrent que «de manière surprenante, la preuve de l’utilisation du feu dans le Pléistocène moyen précoce et début de l’Europe est extrêmement faible. Ou, plus exactement, c’est inexistant, jusqu’à ~ 300,000-400,000 YA. «Selon ces auteurs, la preuve la plus ancienne de l’utilisation du feu en Europe serait présente à Beeches Pit (Angleterre) et à Schöningen (Allemagne), soit environ 400 000 YA. Arsuaga et al. (1993) fournissent des données anciennes dans la Sierra de Atapuerca (Espagne), où H. Les enregistrements fossiles de Heidelbergensis datent de 600 000 YA, sont associés aux foyers. Plus récemment, Karkanas et al. (2007) ont décrit l’utilisation constante du feu dans la grotte de Qesem (Israël), entre 382 000 et 200 000 YA, à plusieurs fins, y compris la cuisine. Par la suite, l’utilisation du feu par les hominins est largement documentée dans l’ancien monde ( James, 1989 ). Il y a aussi des cas intéressants où le feu a été utilisé avec des objectifs non liés à la cuisine, comme pour rendre les pierres plus réalisables, observées pour la première fois dans la culture de Stillbay (Province du Cap, Afrique du Sud), 164-72,000 YA ( Brown et al. 2009 ). En ce qui concerne l’utilisation spécifique du feu à des fins de cuisson, il est raisonnable d’accepter son apparition archéologique de 700 000 YA dans les localités de Gesher Benot Ya’aqov.
Cependant, Foley and Gamble (2009) a identifié le contrôle des incendies avec des fins de cuisson dès 800 000 YA. Wu (1999) soutient que H. erectus pekinensis a pu cuisiner dans la grotte de Getzetang (dans le complexe des grottes de Zhoukoudien) autour de 450 000 YA. Un peu plus tard, selon Thieme (1997) , H. heidelbergensis a chassé et fait cuire des chevaux à Schöningen, dans le nord de l’Allemagne, ce qui représenterait les premières chasses collectives, soit environ 400 000 YA. Pendant ce temps, les hominins de Qesem (Israël) ont fait cuire des cerfs et des tortues 400 000 YA, pratique pratiquée dans 200 000 YA à la même localité ( Karkanas et al., 2007 ).
En Espagne, Cortés-Sanchez et al. (2011) décrivent comment H. neanderthalensis a mangé des moules cuites dans la grotte de Bajondillo, Malaga, 150 000 YA, tandis que Blasco (2008) rapporte la pratique de la cuisson des tortues dans leurs coquilles, qui ont ensuite été brisés avec des pierres, environ 130 000 YA dans la grotte De Bolomar, Valence.
Bref, selon les données archéologiques disponibles, il est raisonnable de supposer que le contrôle du feu par les hominins a eu lieu au cours des 1 dernières MYA et, pendant la première moitié de cette période, les preuves sont clairsemées (tableau 2 ). L’utilisation cohérente de cet élément, probablement associé à la cuisson, représente un processus lent avec un début d’environ 790 000 YA. L’utilisation réellement répandue du contrôle des incendies s’effectue avec nos «cousins» de Néandertal, autour de 450 000 YA, et notre espèce actuelle l’a finalement universalisé.
Sur la base de ces preuves archéologiques, nous avons corrélé le volume maximal du cerveau de différentes espèces d’hominins en fonction de leur temps d’apparition et de la force de la preuve de leur lutte contre le feu (figure 3 ). Tout d’abord, nous avons observé une augmentation linéaire du volume du cerveau dans les lignes évolutives humaines au cours des 4 millions d’années (MY) (Figure 3A et Figure complémentaire 2A). Il suggère qu’aucun saut évolutif n’a eu lieu dans l’ascendance humaine, mais un processus régulier et régulier a eu lieu. Plus important encore, l’ajout de preuves de la lutte contre le feu n’améliore pas la description de l’évolution du cerveau (figure 3A ). En effet, les espèces avec de grands cerveaux apparaissent à des périodes où il n’existe aucune preuve de contrôle du feu ( H. ergaster ) ou des preuves de feu sont très faibles ( H. antecessor et H. latianensis ). Fait intéressant, les volumes de cerveaux de fossiles distincts de H. erectus datés de périodes avec des preuves faibles et fortes pour le contrôle humain du feu présentent des volumes de cerveau très similaires (figure 3B ). Ces données suggèrent que le traitement thermique des denrées alimentaires est peu susceptible d’expliquer l’augmentation de l’efficacité énergétique nécessaire à l’évolution des cerveaux importants, ou, en variante, l’augmentation du cerveau résulte de voies évolutives encore inconnues. Par conséquent, la preuve archéologique du contrôle du feu dans le lignage humain ne supporte pas l’idée selon laquelle le traitement thermique des aliments a contribué à l’évolution du cerveau humain en augmentant l’efficacité de l’alimentation.
FIGURE 3

Figure 3. L’augmentation de la taille du cerveau pendant l’évolution humaine est indépendante du contrôle des incendies. (A) Volume maximal du cerveau de différentes espèces d’hominines liées à leur plus ancien temps possible d’origine (tableau 1 ). Les données indiquent que le volume du cerveau a augmenté linéairement dans le temps ( R 2 = 0,8032; p <0,0001). Les couleurs représentent la force des preuves archéologiques soutenant la cuisson par les hominins tout au long du temps ( C , voir aussi le tableau 2 ). (B) Volume maximal du cerveau de différents fossiles d’ Homo erectus liés à leur plus ancien temps possible d’origine (tableau 3 ). Observez que des volumes similaires de cerveaux de fossiles datent de périodes avec des preuves faibles et fortes pour le contrôle humain du feu. (C) Résumé des preuves archéologiques utilisées pour classer la force des données soutenant le contrôle du feu dans la lignée hominin. Observez que les fortes preuves du contrôle des incendies ne sont présentes que dans les 790 000 dernières années et les données archéologiques sont plus importantes au cours des 400 000 dernières années avec Homo neanderthalensis et Homo sapiens . Aussi, notez que les espèces avec un volume maximal de cerveau, aussi grand que les humains modernes, comme Homo erectus , apparaissent parfois quand aucune preuve de lutte contre le feu n’est présente. Légendes: a) Aus. Afarensis ; B) Aus. Africanus ; C) Aus. Garhi ; D) Aus. Sediba ; E) Homo rudolphensis ; F) Homo habilis ; G) Homo ergaster ; H) Homo georgicus ; I) Homo erectus (Modjokento, Indonésie); J) Homo erectus (Sangiran I, Indonésie); K) Homo erectus (Olduvai, Tanzanie); L) Homo lantianensis ; M) Homo antecessor ; N) Homo cepranensis ; O) Homo rhodesiensis ; P) Homo heidelbergensis ; Q) homo pekinensis ; R) Homo neanderthalensis ; S) Homo sapiens .
TABLEAU 3

Tableau 3. Volume maximal du cerveau des fossiles d’ Homo erectus .
Oeufs de viande crue et cuit Contenu énergétique similaire
Contrairement au manque de preuves du contrôle des incendies, il existe des preuves considérables de la consommation de graines ( Richards, 2002 ; Strait et al., 2009 ) et de la viande ( Heinzelin, 1999 ) datant de plus de 2 MY. Néanmoins, si l’on supposait que le traitement thermique des aliments pourrait se produire à un stade similaire et contribuerait à l’efficacité de la nourriture, la viande cuite fournirait une teneur calorique plus élevée que la viande crue. Pour évaluer directement cette possibilité, nous avons nourri des souris adultes pendant 4 jours avec des quantités similaires de viande crue et cuite. En tant que lecture du contenu énergétique du régime, nous avons mesuré le poids des animaux tous les jours et calculé si la variation absolue ou relative du poids était en corrélation avec la consommation de viande (figure 4 ).
FIGURE 4

Figure 4. Les souris nourries avec de la viande cuite ou crue présentent des variations de poids similaires. (A) Variation de poids quotidienne relative de souris alimentées exclusivement sur un régime de viande crue (carrés blancs) ou régime de viande cuite (carrés noirs). (B) Quantité moyenne de viande consommée par jour dans des groupes nourris avec de la viande crue (bar blanc) ou cuite (barre noire). (C) Variation de poids absolu dans les groupes de régime de viande brut (barre blanche) et cuit (barre noire). Notez que seul le premier jour, il y a une petite diminution du poids des deux groupes. (D) Corrélation entre la variation de poids et la consommation de viande pendant 4 jours. Observez que la régression linéaire pour le groupe de viande crue (rouge) est décalée vers la gauche, par rapport au groupe cuit (bleu), indiquant que pour une variation de poids similaire, les animaux nourris avec un régime de viande crue ont besoin d’une quantité inférieure de moi à.
Nous avons observé une variation de poids similaire chez les animaux nourris avec de la viande cuite ou crue (figure 4A ). Fait intéressant, les animaux nourris avec de la viande cuite ont ingéré, en moyenne, plus de viande que les animaux nourris avec de la viande crue (figure 4B ). Dans les deux groupes, l’ingestion de viande était plus faible le premier jour, probablement en raison de l’adaptation à un nouveau régime alimentaire. En conséquence, les animaux des deux groupes ont perdu environ 2 g ce premier jour de l’alimentation, mais après leur poids stabilisé (figure 4C ). Enfin, nous avons corrélé la variation de poids et la consommation de viande pour chaque animal (figure 4D ) et a observé que, pour une valeur donnée de variation de poids, les animaux nourris avec de la viande cuite nécessitaient une ingestion plus importante que les animaux nourris avec de la viande crue, reflétant probablement la Perte de graisse due au traitement thermique ( Sheard et al., 1998 ). Ainsi, nos données indiquent que le gain énergétique dans un régime basé exclusivement sur la viande crue est similaire ou même plus élevé qu’un régime de viande cuite.
Discussion
L’augmentation disproportionnelle de la taille du cerveau par rapport à la taille du corps est une caractéristique évolutive distinctive de l’homme. Compte tenu du coût métabolique élevé du cerveau humain, de nombreux auteurs ont suggéré que les modifications alimentaires jouaient un rôle important au cours de l’évolution humaine ( Heinzelin, 1999 ; Richards, 2002 ; Strait et al., 2009 ; Organ et al., 2011 ; Wrangham, 2013 ) . Cette contrainte métabolique envisageable a été extrapolée pour suggérer un compromis entre le cerveau et la taille du corps ( Fonseca-Azevedo et Herculano-Houzel, 2012 ). Ici, nous montrons que l’apport énergétique est susceptible d’avoir influencé l’évolution humaine, mais pas d’imposer un compromis direct entre ces variables. En outre, nous fournissons des preuves directes de la probabilité que le traitement thermique soit un facteur important pour augmenter la disponibilité calorique afin de maintenir le nombre accru de neurones cérébraux dans le lignage hominin.
L’apport énergétique est un produit direct du nombre d’heures fourragères ( H ) et de la teneur calorique moyenne des aliments (c.-à-d. L’efficacité fourragère, Q ). Ici, nous montrons que les premiers hominins sont susceptibles d’avoir obtenu suffisamment d’énergie pour maintenir un grand cerveau sur un régime alimentaire brut avec 5-6 h de nourriture par jour. Ces observations sont en contradiction flagrante avec les données antérieures dans la littérature suggérant que les premiers hominins nécessiteraient plus de 9 h de nourriture par jour pour soutenir leur masse corporelle et leur nombre de neurones ( Fonseca-Azevedo et Herculano-Houzel, 2012 ). Nous croyons qu’un tel écart s’explique par le fait que le travail précédent a sous-estimé l’apport énergétique des hominins et, par conséquent, a supposé une efficacité alimentaire extrêmement limitée (~ 200-250 kcal / h) pour les hominins précoces ( Fonseca-Azevedo et Herculano-Houzel , 2012 ). En fait, Fonseca-Azevedo et Herculano-Houzel (2012) ont utilisé un facteur Z de 70 pour calculer les besoins énergétiques des primates non humains, ce qui sous-estime probablement l’efficacité fourragère de ces espèces ( Alperson-Afil et al., 2009 ). En outre, ils ne tiennent compte que du régime alimentaire des primates non humains principalement frugivores ou herbivores, ce qui nous conduit à la conclusion que l’équation utilisée dans leur travail pour estimer l’efficacité de l’alimentation ( E IN = 25.352 × M BD 0 . 526 × H ) ne reflète pas le régime omnivore des espèces dans le lignage hominin ( Richards, 2002 ).
En conséquence, des éléments de preuve indiquent que, par rapport aux primates non humains, les humains modernes sont des valeurs aberrantes évolutives claires pour le nombre d’heures consacrées à l’alimentation ( Organ et al., 2011 ). Par exemple, les chasseurs-cueilleurs, tels que les Bushmen de Kalahari et Hadza de Tanzanie, dépensent en moyenne 3-5 h par jour, obtenant de 2140 à 3000 kcal / jour ( Cohen, 2000 ). Ces valeurs indiquent un rendement d’alimentation de 430 (minimum) à 1000 kcal / h (maximum), ce qui est bien supérieur à celui estimé par Fonseca-Azevedo et Herculano-Houzel (250 kcal / h) et plus proche de nos estimations prédisant que les premiers hominins Pourraient facilement se passer de leur cerveau et de leur taille corporelle environ 5 h de nourriture. L’efficacité énergétique des premiers hominins pourrait également avoir été fortement influencée par la chasse et le massacre coopératifs ( Dominguez-Rodrigo et al., 2010 ) ainsi que par de nouvelles formes de communautarisme. Ces formes de coopération, y compris l’égalitarisme, le développement de l’empathie sophistiquée et de la lecture de l’esprit, de la transmission linguistique et culturelle sont maintenant considérés comme des aspects clés de l’évolution de l’hominine, comme l’ont proposé l’hypothèse «créneau socio-cognitif» ( Whiten et Erdal, 2012 ). Ainsi, l’amélioration de la complexité cognitive et comportementale a transformé nos ancêtres dans les prédateurs les plus efficaces sur Terre malgré leur manque d’adaptation à la chasse anatomique.
Les hominins précoces ont probablement augmenté leur efficacité alimentaire en faisant varier leurs régimes, y compris les graines et la viande, qui sont plus d’aliments caloriques que les plantes sauvages et les fruits. Nous fournissons des preuves convaincantes indiquant que le traitement thermique des aliments est peu susceptible d’expliquer l’augmentation de l’efficacité de la nourriture des premiers hominins. Premièrement, il n’y a pas de preuve archéologique de la lutte contre le feu au début de l’expansion du cerveau dans la lignée humaine. Deuxièmement, les données archéologiques établissant une relation claire entre la lutte contre le feu et la cuisson par les hominins ne sont présentes que dans les 790 000 YA. Troisièmement, le traitement thermique de la viande n’augmente pas la teneur en énergie, comme l’indiquent les variations de la masse corporelle des souris alimentées par un régime alimentaire brut ou cuit. Bien que les avantages énergétiques possibles de la viande cuite aient évolué lentement au fil du temps et ne soient pas appréciables chez les souris, nos données dans ce modèle animal sont importantes pour réfuter les données précédentes dans la littérature soutenant l’hypothèse de la cuisson ( Carmody et al., 2011 ). Dans ce travail, Carmody et ses collègues suggèrent que la cuisson des tubercules et de la viande augmente le gain énergétique chez la souris, comme en témoigne le gain de poids. Ici, nous avons répété la même expérience avec de la viande et avons échoué à trouver un tel avantage énergétique dans le traitement thermique de la viande. Fait intéressant, Carmody et Wrangham (2009) ont correctement souligné dans un travail antérieur la pénurie d’études comparant directement la viande crue et cuite par rapport à l’énergie. Ils soulignent également que les résultats obtenus à partir des quelques études à ce jour étaient souvent contradictoires. Par conséquent, nous concluons que d’autres expériences doivent être effectuées afin de répondre aux avantages énergétiques possibles du traitement thermique de la viande chez les humains.
Notamment, même les gardiens des théories indiquant qu’une augmentation relativement rapide de la taille du cerveau, observée chez l’ Homo erectus , est le résultat de la culture reconnaissant le manque de preuves archéologiques ( Wrangham, 2013 ) en leur faveur. De telles théories doivent inclure des preuves obligatoires du contrôle du feu associé à la cuisine, au moins 2 MYA, ce qui n’est pas question actuellement.
Par conséquent, dans cette étude, nous favorisons la vision la plus classique suggérant que les premiers hominins ont augmenté leur efficacité de nourriture en incluant de nouvelles sources de nourriture dans leur alimentation, en particulier les graines et la viande ( Milton, 1999 ; Richards, 2002 ). En outre, l’utilisation des outils est bien documentée ( Keeley et Toth, 1981 ; Domínguez-Rodrigo et al., 2005 ) et est fortement en corrélation avec l’augmentation de la taille du cerveau au cours de l’évolution humaine ( Klein, 1977 ; Holloway, 1997 ). En effet, des preuves récentes indiquent que l’utilisation de technologies paléolithiques inférieures pour traiter la viande et les tubercules a réduit le nombre de cycles de mâchois et la force de mastication totale ( Zink et Lieberman, 2016 ), expliquant l’efficacité alimentaire accrue des premiers hominins au début de l’expansion du cerveau . Par conséquent, l’augmentation de l’utilisation des outils, plutôt que la cuisson, est plus susceptible d’expliquer comment les hominins précoces ont augmenté leur apport énergétique quotidien.
Il est également possible que l’émergence de nouveaux mécanismes physiologiques a amélioré la capacité des premiers hominins à obtenir de l’énergie provenant de l’apport alimentaire. Par exemple, l’expression différentielle des transporteurs de glucose dans le cerveau humain pourrait faciliter l’allocation d’énergie ( Fedrigo et al., 2011 ) et même des changements dans le microbiota intestinal pourraient contribuer à augmenter l’absorption des nutriments, augmentant ainsi le contenu calorique obtenu à partir des aliments ( Bäckhed Et al., 2005 ).
En conclusion, l’hypothèse attrayante du traitement thermique des aliments comme condition préalable à l’expansion du cerveau pendant l’évolution n’est pas étayée par des preuves archéologiques, physiologiques et métaboliques. Très probablement, le contrôle du feu et de la cuisine est plutôt une conséquence de l’apparition d’une connaissance sophistiquée chez les hominins. Nous préconisons donc que l’hypothèse sur ce qui crée l’unicité de l’humanité nécessite des données archéologiques et physiologiques cohérentes avant d’être annoncée.
Contributions d’auteur
MC et AC ont écrit le manuscrit. RDN et RDB révisé les données archéologiques. CQ, AC et MC ont travaillé dans le modèle mathématique. AC a recueilli des données provenant d’expériences sur des animaux. MC a conçu l’étude et compilé des résultats. Tous les auteurs ont lu et approuvé la version finale du manuscrit.
Déclaration de conflit d’intérêts
Les auteurs déclarent que la recherche a été réalisée en l’absence de toute relation commerciale ou financière qui pourrait être interprétée comme un conflit d’intérêts potentiel.
Remerciements
Nous remercions le Dr Sergio Neuenschwander pour la lecture critique et les discussions utiles sur les premières versions du manuscrit. Ce travail a été soutenu par des subventions du Conseil national du développement technologique et scientifique (CNPq). AC a été soutenu par une bourse postdoctorale PNPD / CAPES.
Matériel complémentaire
Le document complémentaire pour cet article se trouve en ligne à l’ adresse suivante : http://journal.frontiersin.org/article/10.3389/fnins.2016.00167
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Mots-clés: évolution humaine, taille du cerveau, contrôle des incendies, traitement thermique des aliments, cuisson
Citation: Cornélio AM, de Bittencourt-Navarrete RE, de Bittencourt Brum R, Queiroz CM et Costa MR (2016) L’expansion du cerveau humain pendant l’évolution est indépendante du contrôle et de la cuisson des incendies. De face. Neurosci. 10: 167. Doi: 10.3389 / fnins.2016.00167
Reçu: 20 janvier 2016; Accepté: 04 avril 2016;
Publié: 25 avril 2016.
Édité par:
J. Michael Williams , Université Drexel, États-Unis
Revu par:
Matt Joseph Rossano , Université sud-est de la Louisiane, États-Unis
Rosemary Hopcroft , Université de Caroline du Nord à Charlotte, États-Unis
Copyright © 2016 Cornélio, de Bittencourt-Navarrete, de Bittencourt Brum, Queiroz et Costa. Il s’agit d’un article à accès libre distribué sous la licence Creative Commons Attribution License (CC BY) . L’utilisation, la distribution ou la reproduction dans d’autres forums est permise, à condition que l’auteur original (s) ou le donneur de licence soit crédité et que la publication originale dans cette revue soit citée, conformément à la pratique académique acceptée. Aucun usage, distribution ou reproduction n’est autorisé qui ne soit pas conforme à ces termes.
⦁ Correspondance: Alianda M. Cornélio, ⦁ alianda@neuro.ufrn.br ;
Marcos R. Costa, ⦁ mrcosta@neuro.ufrn.br

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Author: Stevie Stamm

Last Updated: 23/06/2023

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